Je ressens comme une boule dans ma gorge, j’ai peine à respirer, mes yeux commencent à briller mes larmes ne sont plus très loin. J’ai une invraisemblable envie de hurler, de maudire ce monde, cette vie … je suis au beau milieux d’un champ de pierre polie par la main de l’homme toute sont sertie d’un nom. Celle situer a mes pieds porte le nom de ma bien-aimer Isani. En posant mon regard, sur sa tombe une pensée me presse le cœur.
« Comment est-ce arriver ? Depuis combien de temps ton corps et ici, sous terre, froid comme la glace? Et tu seulement heureuse? As-tu chaud? Ou es-tu? Est-ce que tu m’attends ?»
Mes jambes tremblantes perdent d’un coup la force de me maintenir debout, je m’écroule à genoux le corps en avent maintenu par mes mains. Je me retrouve là, à quatre pattes sur la tombe de mon amour, dont je revoie le visage, ses sourires, ses yeux, ses cheveux, je sens encore son odeur, sa douceur, j’entends ses rires, ses pleures…
«STOP je n’en peux plus. »
mes larmes frappent le sol par millier, mon cœur bât a un tel point que j’ai la sensation qu’il veut sortir de mon torse.
« tu est partie, tu n’est plus là auprès de moi, tu me manque tellement, aujourd’hui plus que jamais j’ai besoin de toi, j’ai mal, si mal, ton absence et insupportable, je t’aimais tant, je t’aime tant, reviens moi je t’en pries !! »
Un flot incontrôlable de larmes s’épanche sur le sol. Une main au sol l’autre sur la gorge, je n’arrive plus à respiré, je pousse des cris de désespoir
« je veux mourir! être a tes côtés! »
quand soudain, je la revois dans sa maison, me souriant elle me dit :
« Chéri souvient toi que personne n’est éternel. Mais mon amour pour toi il l’est. Et n’oublie jamais… je t’aime. »
Ce souvenir m’arracha un petit sourire, Puis un autre souvenir.
« vie je t’en prie mon amour »
Celui si mis un terme a mes larmoiements. Un autre lorsqu’elle était enfant cette fois:
«Ne jamais abandonner, toujours faire de mon mieux, telle est mon nindo. »
Les battements de mon cœur commencent à ralentire. En y repensant pendant les entraînements, elle était toujours joyeuse, son visage débordait de bonheur.
Mes yeux fixé sur la tombe je me relève :
« Isani tu ne sauras jamais a quel point ces paroles sont importantes pour moi »
nous partagions ce nindo comment ai-je pue l’oublier merci mon amour je tiendrai ma promesse. Je viendrais te voir plus souvent cela manque de fleur ici »
A peine eu je, fini ma phrase me voilà en train de marcher direction la tours du hokage un dernier regard autour de moi il est étrange mais j’espérais voir shikamaru assis quelque part a m’attendre peut être n’a t’il pas reçu mon invitation … des cris, et une grande agitation s’installèrent les cris semblaient venir du pied de la falaise au hokage que pouvais t’il bien ce passer encore une légère monter d’adrénaline me poussa a aller voir.