Réveil rapide ce matin. Les yeux immédiatement ouvert, je soulevais la couverture qui me recouvrait rapidement, avant de sortir de mon lit. Une fois descendu, je courais de toute ma vitesse en direction de la salle de bain, évitant les meubles et chaises qui me barraient la route. Rapidement, j'ouvris la porte grinçante des toilettes. Je plaquais mes mains légèrement au dessus du nombril, pour enfin baisser mon pantalon et, faire couler ce liquide jaunâtre qui émettait ce bruit, un bruit long, rythmé et désagréable. Une fois mon obligation matinale terminée, je frissonnais silencieusement. Le sol froid au contact de mes pieds me troublait. Ce n'est qu'après avoir enfilé mes pantoufles de velours, que je me suis rapprochais de l'évier. Devant moi, un visage heureux, fière, déterminé. Je récupérais rapidement d'une main la brosse à dent gisante dans son verre sale. Je la recouvrait de dentifrice habilement, appliquant exactement la bonne dose. Je l’insérais dans ma bouche sèche. Des larmes me montèrent aux yeux. La saveur menthe de cette substance me réveillais les sens. Je profitais de cette humidité pour retirer les croûtes encrassées, suspendu à mes yeux rouges vifs. Je plaquais mes mains sur le lavabo, remuant le reste de mon brossage mêlé à de l'eau. Je crachais violemment le contenu. J'attrapais lentement le verre de plastique qui reposer dans l'angle du meuble. Je le remplissais d'eau rapidement avant d'insérer une partie de sa masse dans ma bouche et boire son essence liquide. Rapidement, je retirais mon caleçon pour faire glisser la porte de la cabine de douche. Je la refermais et tirais le rideau pour ouvrir le robinet de métal. Après quelque minute, je me rappelais une chose. Un fait plutôt important. Aujourd'hui n'étais pas un jour comme les autres. Après tout, j'aillais réaliser ma première mission de rang C, seul. Je sortais de la salle de bain avec hâte pour me redirigeais vers ma chambre. Encore une fois, j'ouvris la porte de celle-ci pour y récupérais mes habits habituelles. Je m'habillais rapidement, regardant l'heure qui tournait sans m'attendre. Je pris sans vraiment m'y intéressais une quinzaine de kunaïs et leurs équivalent en shurikens pour enfin, après avoir plaçais dans mon sac, un croissant pour la route, sortir de ma maison, et enfin passer le portail.
C'était le matin, une rosée qui me trempait les belles chaussures que je portais. On entendait les oiseaux qui commençaient à poussaient leurs cris semblables à des chants. Les volets claquaient, un vent violent perturbait les arbres. Comme n'importe quelle enfant, je m'amusais avec mon ombre, créer par les premiers rayons du zénith. La démarche lente, je balançais mes bras en progressant dans le long couloir menant aux portes du village. Je voyais quelques marchands qui sortaient de leurs maisons, mendiant des pièces par-ci par-là. Enfin, après quelque minutes de marche distrayante, je pouvais admirer les remparts de Kumo Gakure No Sâto. Grand, beau, majestueux. Ils étaient dressés devant moi, attendant mon départ. Je vérifiais d'un geste rapide mes provisions et partis. Je ne pouvais que me dépêchais. En effet, j'étais légèrement en retard. Il me fallait être au point de rendez vous dans deux heures. Ma nature pressante n'arrangeais pas les choses ; en réalité, j'avais une petite heure d'avance. Les cheveux flottant au contact d'un mistral doux et frais, je pensais à l'ordre de mission du Raïkage lui même. Je devais protéger une caravane d'une attaque qui visait à voler des objets précieux, sentimental. Evidemment, j'étais obliger d’accepter. Une mission de protection, c'est parfait pour moi. Kakuzô ne devait pas m'avoir choisis au hasard. Je répétais les mudras rapidement avant de m'apercevoir que, dans quelque seconde, j'allais arriver à ma destination. Plus je m'approchais, plus j’accélérais le pas. Devant moi, une étendue vide, légèrement recouverte d'une couche de gazon verte, luisante et pétillante. Une herbe humide, idéal pour se reposer. Mais à peine je glisser mon bras par dessous la sangle de mon sac, que j'entendais des cris de terreur. Des sons aigus, de femmes et d'enfants. Je pivotais ma tête légèrement, et apercevais au loin, un étrange camp, blindé de caravane et de tante. " Un campement ? " Je soufflais de flemmardise. Il est vrai que, même si j'avais hâte de mener ma mission à bien, je devais me reposer après cette heure de marche fatigante. Peu importe, la mission est plus importante et il est en mon devoir d'agir dans son bon déroulement. Je courrais en direction des cris et des sons atroces, affligeant à l'oreille. J’enjambais les cailloux, les roches, les brindilles et les racines gênante. Une fois arrivé, je vis une quinzaine de caravane, toute détériorées, munis de portes rafistolées. Je progressais lentement des les " rues " de ce petit lotissement lorsqu'à travers les cris j'entendais des sifflement. Des bruits simples, léger, comme un soufflement. Là, au petit coin, entre deux habitations et caché par un masque, je voyais un homme qui me faisait signe de venir. C'est dans ces moments la que l'on voit que Jizo Kai à encore les défaut d'un enfant. Ma curiosité mi fit venir. Je m'approchais lentement, prudemment, cherchant les moindres pièges et failles dans une éventuelle stratégie. Le regard déterminer je gardais mes distances avec cette individu, complètement bizarre, il fallait l'avouer. Soudain, il entama une discussion qui, immédiatement, me fit changer d'opinion sur son sujet.
- C'est toi, Jizo Kai ?
Un léger silence ce fût entrevoir. J'hochais la tête en guise de réponse. Une fois qu'il avait compris mon geste, il ôta son masque, sa veste, enfin tous ses vêtement qui le cachait. Il tendu sa main vers moi :
- Enchanté, je suis Kazushi Yo. Chef de ce village. J'ai contacter le Raïkage pour qu'il nous envoi un genin, c'est toi si j'ai bien compris.
Soudain, il se mit à genoux et commença à me prier. Je le regardais avec pitié, lui, qui s'accrochait à mes jambes. Me demandant de l'aide, priant de le sauver. Mes yeux se remplissaient de larmes de tristesse. Je comprenais ce qu'il se passait malgré ma naïveté permanente. On entendait des sanglotement, et des gouttes qui tombaient de mes joue, glissantes sur les mains de Kazushi. Soudain, d'une voix pleine de volonté, je répondis à son appelle. Je saisissais un kunaï d'un geste ferme, le fit tourner le doigt glissé dans le cercle, histoire de l’impressionner et dit :
- Ne vous inquiétez pas, je vous protégerez au péril de ma vie.
Après quelque seconde, il leva la tête, retira ses bras de mes jambes, et se leva lentement. Je le poussais, et partis au centre du champ de bataille. J'ai était bête. Je n'ai pas chercher a avoir des informations sur les assaillants. Peu importe, il était trop tard pour reculer. Les yeux rivées sur ma destination, la démarche héroïque, j'avançais vers mes adversaires. C'était des ninjas. Aucun bandeau ? Qui pouvait-il être ? Il est vrai que j'ai entendu parler d'un village de ninja criminels. Jiyu je crois. Il n'était pas très qualifiaient. De toute manière, il en fallait peu pour détruire un camp d'une centaine d'habitant, civil. Il détruisaient les bâtiments et tuer les personnes le plus souvent à l'aide de kunaïs. Je glissais ma deuxième main dans la poche derrière mon épaule pour attraper un deuxième kunaï. Mes deux armes à la main, je courais en direction de mon premier adversaire. Je déversais toute ma rage dans ces coups. Verticalement, horizontalement, je ne pouvais que le battre. Le duel ne se déroulait que dans un sens. Après une ou deux minute, je croisais mes kunaïs pour réaliser un coup en ciseaux et trancher le coup à l'adversaire. La peau déchirer au niveau de la trachée, je l'achevais avec un coup de pied retourné dans les poumons. Il tomba au sol, laissant voler la poussière qui y traînait. Je plaquais ma main gauche sur le kunaï qui avait au dessus de mes fesses, et ma main opposée sur l'épée que je détenais. Le regard haineux, je courrais sans regarder à la recherche d'autres adversaires. Je me suis, par hasard, rendus sur le toit d'une maison où, en-dessous, je voyais trois adversaire qui pillaient un coffre de richesses. Sans plus tarder, j'effectuer quelque mudras et j'ai plaquais ma main sur ma joue. Un souffle boueux sortis de celle-ci, et recouvra mes adversaires, surpris. Il était fixaient au sol à cause de cette boue adhesive. Sans plus tarder, je composer des signes, puis un couloir de terre sortis du sol et recouvra les adversaires. Je soufflais de fatigue. Le ninjutsu est un art puissant mais utilisateur en chakra. Je dégainer quelque note explosive et je lai ai placer sur les points stratégique de ma création de terre. Après quelque seconde, je fis exploser mon Tsuchi Kairô. La démarche héroïque, je rentrais au village la tête haute, et le regard confiant.