Prénom et Nom : Kumiko Hanawa
Age : 15 ans
Sa description Morale (en 5 lignes):
Kumiko est une jeune fille dotée d’une grande gentillesse. Elle se montre très sympathique envers ses amis les plus fidèles, ses proches et sa famille. Elle n’est pas du tout le genre de fille à provoquer des histoires mais elle serait bien capable d’en faire tout un plat si elle est affamée. Peut être qu’elle est un petit peu gourmande des fois mais il est facile de l’écoeurer de la nourriture. Il suffirait de lui montrer une image de rat disséqué pour qu’elle recrache tout ce qu’elle vient d’avaler. L’adolescente adore les steaks hachés avec des frites et également les tartes aux myrtilles. Quand elle était petite, elle se barbouillait le contour des lèvres afin de les avoir de couleur violette. C’est une personne loyale sur qui on peut compter lorsqu’on a un quelconque problème. Toujours à l’écoute, elle tente d’aider ses camarades du mieux qu’elle le peut. Son grand courage fait éventuellement parti de ses qualités. Elle serait bien capable d’enfreindre les règles si elle n'avait pas d'autre choix. Elle a un très bon sens de l’orientation et un sacré caractère quand elle le veut. Cela fait d’elle quelqu’un qu’il ne faut pas embêter, ni éveiller sa colère puisqu’elle ne se laisse pas marcher sur les pieds.
Des fois, elle peut avoir beaucoup de culot mais c’est une fille très franche. Étant petite, elle a souvent menti aux gens mais elle a prit de la maturité depuis ces dernières années. Le fait d’avoir été fille unique ne l’a pas renfermée sur elle-même. Kumiko sortait une fois par jour dehors pour aller saluer la voisine ou encore le jardinier de la ville. Et lorsque ses sentiments et émotions commencent à la submerger, elle part en courant évacuer ce qu’elle ressent. Elle a toujours voulu cacher ses faiblesses à ses amis puisque ces derniers l’a connaît presque par cœur. La rouquine ne pleure plus maintenant contrairement à avant, comme le jour où sa dent est tombée. Comme la plupart des gens, elle n’apprécie pas trop que l’on se soucie pour elle. Ses problèmes sont les siens, et non ceux des autres. Néanmoins, la jeune fille sait qu’il est bon de se confier à ses plus fidèles car cela enlève un poids lourd que l’on a sur le cœur. fait partie de ces personnes qui ont fait leur possible pour aider la rouquine. En général, ses amis partagent le même opinion qu’elle. Ensemble, les sujets de conversations sont plus ou moins fréquents : les garçons ou les études, par exemple. La jeune Hanawa a toujours eu le sens de l’humour, certainement hérité de sa mère qui était presque tout le temps d’humeur facétieuse.
Toutefois, elle trouve agaçant qu’on se mêle de ses histoires d’amours. Elle veut sa liberté mais sa mère Maya tente des fois de la protéger des soucis qu’elle peut avoir en fréquentant telle personne. Malgré cela, elle est déterminée. Lors de ses huit ans, on lui avait interdit de monter sur une balançoire de grands mais elle n’avait pas hésité à s’asseoir dessus. Résultat : elle était tombée par terre. Bien sur, après être rentrée à la maison, les vêtements salis de terre, elle a été grondée et a reçu la morale de la part de ses parents. Cette tendance à être surprotégée avait été très horripilante pour elle. S’imposer n’avait pas été chose facile. La rouquine voulait leur prouver qu’elle était parfaitement capable de se débrouiller seule, de mener à bien sa vie sans aide. Et pourtant, elle dut admettre que des fois, il était difficile de passer de conseils. En général, elle essaie de se faire conseiller par ses amis.
Côté amour, le Tsuchikage Migaru Saru fut la première personne pour qui elle eut une sorte de ‘coup de foudre’. Elle n’avait jamais réussi à contrôler ses sentiments lorsque la présence de ce garçon était proche. C’est lui qui parvint à la rendre timide et lui faire perdre ses moyens. D’ailleurs, elle l’avait aimé avant même qu’il ne soit promu Kage d’Iwa. Elle n’ose pas lui dire directement car elle craint que cet amour ne soit pas réciproque. C’est pour cela qu’elle préfère lui envoyer des roses, le complimenter et lui faire quelques sous entendus…elle espère qu’un jour qu’il comprenne tout. Elle a même un album où sont collées des photos de lui prises en cachette lorsqu'il a du faire un discours à la Citadelle et lorsqu'il se promenait tranquillement dans le village.
Kumiko est quelqu’un d’ouvert, ce qui lui permet de se faire rapidement des amis. Elle sourit beaucoup et a toujours été heureuse dans sa vie si on excepte le divorce de ses parents. Son niveau de vie est moyen et de toute façon, l’argent ne fait pas le bonheur. Niveau études, la rouquine a toujours été très timide en classe, elle ne parlait presque jamais. En revanche, elle s’en sortait à l’écrit. Il lui arrive d’avoir d’excellentes notes et des mauvaises qu’elle essayait de rattraper par la suite. Elle aime son village et désirerait devenir une grande ninja aussi puissante que celui qu’elle l’aime.
Sa description Physique (en 5 lignes):
Nous avons les blonds, les bruns, les cheveux colorés (bleu, vert, violet etc.) et les roux sur Terre. Ces derniers sont plus rares mais ils existent toujours et ne sont pas prêts de disparaître. Effectivement, nous pouvons citer les Hanawa, cette famille composée que de roux. Aucun n'a échappé à cette teinte si belle ! Même Kumiko a eu comme tous les membres de sa famille, cette couleur de cheveux. A l’école, beaucoup de gamins lui ont fait des réflexions à propos de cela mais elle a apprit à les ignorer avec l’habitude et aussi à se défendre. De plus, elle est fière de sa chevelure et s’accepte telle qu’elle est. Le soleil lui donne même un très bel effet lui apportant un peu plus de charme. Devant, ses mèches et sa frange sont courtes mais derrière, ses cheveux sont longs et lui tombent en cascade jusqu’au dos. Ils sont lisses et soyeux. Habituellement, ils sont toujours détachés mais il lui arrive de se munir d’un ou deux élastiques.
L’adolescente est de petite taille avec son mètre cinquante cinq et est plutôt fine. La rouquine ne cherche pas à atteindre le poids idéal comme tant de filles. Du moment qu’on ne lui fait pas remarquer qu’elle est trop grosse ou trop maigre, tout va pour le mieux. Elle ressemble beaucoup à sa mère. Sur son visage, il n’y a aucune tâche de rousseurs contrairement à ses cousins et cousines. Kumiko possède de beaux yeux aussi bleus que le ciel mais ils sont parfois aussi semblables que ceux d’un psychopathe. Son teint est blanc avec un peu de couleurs. Ce n’est pas qu’elle hait bronzer mais c’est le soleil a du mal à bronzer sa peau. Ses lèvres sont fines parfaitement en accord avec son visage. La petite ne met que très rarement du maquillage voire jamais. A quoi cela sert puisque Migaru-sama est aveugle ? Quand elle rougit, cela ne se voit pas beaucoup puisque sa blancheur l’emporte sur le teint rosé. Elle garde le sourire au lèvre ce qui la rend encore plus charismatique et il lui arrive de temps à autre d’être inexpressif. Corporellement, elle a presque tout ce que doit avoir une jeune fille ; quelques formes au niveau des hanches mais pas une poitrine très imposante. D’ailleurs, celle-ci est assez petite mais ce n’est pas ce qui dérange la jeune fille. En fait, elle se fiche complètement de son bonnet A puisqu’elle n’a que quinze ans. Jamais elle ne se sert de son corps pour séduire les gens. Elle préfère mettre en avant son caractère.
A la maison et en dehors, elle porte des vêtements simples mais avec un peu de charme. En général, ils sont bleus afin d’être en parfaite harmonie avec ses cheveux. En temps normal, lorsqu’elle est chez elle, la jeune demoiselle n’a pas un style particulier. Celle-ci peut porter un pantalon en jean, un haut assez décoré ou un pull normal et des ballerines. Il faut dire que depuis que son père est parti et qu’elle vit avec sa mère qui est fleuriste, elles n’avaient plus autant d’argent qu’avant. De toute façon, Kumiko n’a jamais été une fanatique de vêtements à la mode. Certes, elle aime les jolies choses mais ne fait pas sa capricieuse pour obtenir le dernier tee-shirt sorti en magasin. Ce sont les idiotes sans neurones qui ont ce genre de comportement. En revanche, elle est très maniaque en ce qui concerne les costumes et robes que l’on doit porter durant les grandes fêtes ou festivals. Ce genre d’évènements est très important pour elle ! Ce sont des moments où il faut montrer à quel point nous sommes charmants et présentables. En plus, presque toutes les filles aimeraient être les plus belles lors d’un bal.
Son Histoire (en 20 lignes) :
Tout commença un soir d’été, lors d’un rendez vous galant entre deux jeunes amoureux. Le lieu de cette rencontre était un restaurent assez prestigieux dans le village d’Iwa qui connaissait beaucoup de succès en ce moment. Une jeune femme, appelée Maya, âgée d’une vingtaine d’années était arrivée dans cet endroit la première et attendait Akira, son copain. Ce dernier l’avait prié de venir puisqu’il avait une révélation très importante à lui dire. La demoiselle était vêtue de sa plus belle tenue de soirée qui mettait en valeur sa chevelure rousse et ondulée. Elle dut attendre au moins dix minutes avant qu’il n’arrive et n’hésita point à montrer son mécontentement. Seulement, s’était-elle doutée de ce qui l’attendrait ? Non, bien sur. Son amoureux lui avait souri et s’était mis à genoux devant elle. A ce moment-là, le cœur de la jeune femme s’était accéléré et les battements de ce muscle se faisaient entendre lorsqu’on était situé à moins d’un mètre d’elle. Cela ne perturba pas l’amant qui avait enfin prit la parole afin de lui demander si elle accepterait de l’épouser. Cette question stupéfia la magnifique rouquine dont le teint était semblable à celui d’une pivoine. Durant un très bref instant, elle avait cru s’évanouir et n’avait pas su quoi répondre. Elle l’aimait très fort mais avait pensé qu’un mariage serait peut être trop précipité. Devant le regard de son amoureux qui était plein d’espoir, elle n’avait pas pu refuser. Elle avait accepté.
Ils avaient mis trois mois pour finir les préparatifs de cet évènement. Cela n’avait pas été bien difficile avec l’aide de généreux voisins et amis. Le mariage s’était admirablement bien passé et deux mois plus tard, les jeunes mariés avaient songé à faire un enfant. Durant sept mois, ils avaient essayé mais cela n’avait donné aucun résultat. Les conjoints avaient été désespérés et pensaient qu’il y avait un problème qui les empêchait de féconder ensemble. A cause de cela, Maya s’était mise à tromper son mari et jouissait avec son meilleur ami. Quelques temps plus tard, Maya apprit qu’elle était tombée enceinte et laissa tomber son ami pour faire croire à son époux qu’il était le vrai père de ce bébé. Pendant neuf mois, la future maman avait du supporter le poids de cet enfant et son homme avait trouvé un emploi pour nourrir et répondre aux besoins de sa famille. Il avait obtenu un poste dans l’administration du village.
Enfin, Kumiko naquit le 1 er avril, le jour du poisson d’avril. Ce prénom lui avait été donné par sa grand-mère qui avait refusé les noms stupides des parents. Ils n’avaient pas bons goûts dans ce domaine, d’après la vieille femme. Elle prit le nom de jeune fille de sa mère qui était Hanawa. Les cheveux de la petite étaient blonds vénitiens et ses yeux étaient colorés d’un joli bleu qu’elle tenait de son vrai père. Maya en était satisfaite car elle avait pu trouvé une excuse à propos de cette couleur azur. Elle lui expliqua que le fait qu’il ait des yeux verts mélangés à ses iris marron avait donné à la petite, la couleur bleue. Inutile de décrire trop précisément ses premières années. Kumiko dormait presque en permanence dans son berceau avant d’avoir un petit lit entouré de barreaux. Cela donnait l’impression qu’elle était enfermée dans une cellule de prison. Le bébé apprit à marcher à dix mois grâce à la voisine qui avait consacré un peu de son temps pour aider la mère quand Akira travaillait. A douze mois, elle commençait à dire quelques mots banals comme ‘Maman’, ou bien ‘Papa’ ou encore ‘Bonzour’. La petite était le centre d’intérêt des adultes. Lorsque sa mère l’emmenait au parc d’Iwa, les grandes personnes ne cessaient de dire ‘Oh mais elle est mignonne, cette petite choute !’ et lui pinçaient doucement la joue de droite. Les années suivantes, la gamine attrapait souvent des petites maladies comme un rhume, une angine ou une gastro mais elle finissait toujours par guérir grâce aux progrès de la médecine. La famille Hanawa n’avait aucun soucis financier : le père avait un bon poste à son travail et la mère était fleuriste. A six ans, son grand-père l’apprenait à écrire et c’est à partir de cette année-là qu’elle décida d’écrire tout ce qu’elle ressentait sur un journal intime. Sa mère lui en acheta un tout rose avec des motifs de cœurs et de fleurs comme elle les aimait. Maya lui offrit même une plume d’aigle et un encrier afin d’écrire. A l’intérieur du journal, la petite y décrivait ses journées. En voici un bon exemple :
Cher journal, (le 16 juillet)
Aujourd’hui, j’ai perdu ma première dent. Une canine du haut d’après ce que m’a dit la voisine d’en face. Au début, j’ai eu très peur car je ne savais pas que les enfants comme moi perdaient leurs dents. J’ai eu peur de finir comme ma grand-mère qui a un dentier. J’ai eu honte de moi car j’ai pleuré pendant une heure. Je me disais que les enfants de mon âge se moqueraient de moi en me voyant sans dents. Je n’ose plus sourire maintenant, c’est tellement moche ! Quand mon père est revenu de son boulot, il a ri de ma situation, m’a dit que c’était normal et que j’allais avoir une récompense demain matin. Oui, en fait, c’est l’histoire d’une petite souris qui aime beaucoup les enfants et qui donne des surprises à ceux-là quand ils perdent leurs dents. En fait, je dois mettre ma dent sous mon oreiller et la souris viendra me la prendre et me donner quelque chose, de l’argent peut être. J’ai vraiment hâte ! J’ai demandé à mon père s’il pouvait inviter la petite souris à la maison mais il m’a dit que la souris était si discrète qu’il était impossible de lui parler. Il m’a aussi dit que je devais dormir sinon la petite bêbête ne viendrait pas. Ce soir, je vais rêver de la souris j’en suis sûre !
Ce journal l’accompagnera jusqu’à ses dix ans puisque après, elle se rendra compte qu’il est inutile de graver ses souvenirs dans un journal car on se rappelle toujours des moments les plus marquants de notre vie. A sept ans, elle intégra l’académie des shinobis de son village afin d’être bien formée quand elle sera grande. Comme chaque enfant de son âge, elle avait peur de ses camarades et des professeurs. Kumiko les saluait d’une voix timide et n’osait pas les regarder dans les yeux. Il était très dur pour elle de combattre sa timidité. La pauvre craignait ce que les autres pensaient d’elle et essayait d’être gentille avec tout le monde. Cette même gentillesse lui apporta beaucoup de chance : lorsqu’elle commettait une bêtise, le professeur l’excusa rapidement et les autres élèves l’aimaient bien. En revanche, il y avait une minorité de gamins qui se moquaient de sa couleur de cheveux. Le blond vénitien qui était la couleur de ses cheveux lorsqu’elle était bébé avait laissé place à du roux, comme celui de sa mère. La fillette lia une grande amitié avec une fille appelée Yuki. Cette dernière n’avait pas de mère mais deux pères ! En effet, elle avait été adoptée par ces messieurs. Elle eut elle aussi droit à des blagues idiotes à propos de ses parents mais cela ne l’empêchait pas de sourire et d’aimer la vie. A l’école, la rouquine ne participait que très rarement à cause de sa timidité. En revanche, elle avait de très bonnes notes à l’écrit. Un jour, elle dut se mettre avec deux personnes afin de réaliser un exposé sur les techniques de type Doton. La petite y passa toute l’après-midi pour le faire avec ses camarades en s’aidant des livres qu’elle possédait à la maison. Il était important de connaître l’élément de la Terre qui était spécialisé à Iwa. Deux semaines plus tard quand elles durent le présenter, l’enfant était restée immobile durant les explications des deux autres filles. Elle n’avait pas sorti un seul mot et cela avait réduit sa note de l’exposé. Elle n’avait jamais aimé aller au tableau en sachant que tous les regards seraient rivés vers elle. Cependant, elle n’était pas du tout timide en dehors de l’école.
Pleins de gens étaient surpris de ce contraste de timidité. Kumiko savait se défendre contre les gens qui médisaient dans son dos mais en général, elle s’énervait trop vite et avait tendance à vouloir se battre. Lors des examens, elle révisait pendant cinq heures ce qui fait qu’elle se plantait souvent. Ce n’est que peu après qu’elle décida d’alléger son temps de travail et de lire au lieu d’apprendre par cœur. Puis vint le jour le plus triste de sa vie ; la séparation de ses parents lorsqu’elle avait onze ans. Elle ignorait ce qu’il s’était passé mais en fait, Maya venait d’avouer à Akira qu’il n’était pas le père biologique de la fillette. Sa fureur fut grande et il eut envie de mettre fin à ses jours. Seulement, Maya parvint à le convaincre de ne pas faire cette erreur et d’essayer de supporter la séparation jusqu’à ce qu’il trouve une autre conjointe. La mère mentit à Kumiko en lui inventant un motif de ce divorce. Elle lui avait expliqué qu’elle ne s’entendait pas avec son père et que leur tempérament était opposé. Maya ne comptait jamais avouer la vérité à sa fille car elle craignait la perdre comme elle venait de perdre son mari. L’enfant fut plongée dans une petite dépression pendant quelques mois mais est parvenue à se ressaisir pour poursuivre ses études jusqu’à l’examen final qui lui permettrait de devenir Genin si elle obtient le diplôme. Elle s’était entraînée toute la matinée et la journée pour parfaire ses capacités aux lancés de Kunaï et aux techniques les plus simples. Finalement, elle avait bien réussi ce qu’on lui avait demandé et cela lui avait semblé très facile, une fois l’examen terminé. Elle s’était même demandée comment elle avait pu trembler aussi fortement qu’une feuille, des heures auparavant.
On lui donna son bandeau avec gravé dessus, le symbole d’Iwa et c’est avec fierté qu’elle le posa tout autour de sa tête.
Village / Organisation désirée : Iwa no kuni
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