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Eddas Vanes [Fini]

Hunk Moroshi
~ Chef Anbu de Kumo ~
Hunk Moroshi~ Chef Anbu de Kumo ~
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▌Messages : 2427
▌Age : 28
▌Inscription : 29/06/2010

Feuille de Ninja
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Eddas Vanes [Fini] Left_bar_bleue1377/2000Eddas Vanes [Fini] Empty_bar_bleue  (1377/2000)
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MessageSujet: Eddas Vanes [Fini] Eddas Vanes [Fini] Icon_minitimeLun 31 Jan 2011 - 21:59

Présentation de Eddas Vanes .
" La beauté n'est que la promesse du bonheur."

Prénom et Nom : Eddas Vanes
Âge : Une trentaine de Printemps. Après…
Village / organisation désirée : Suna


MON PERSONNAGE


Description physique : Avant que mon corps ne soit pas bienfaisance incarnée, j’étais un immonde personnage, un amas de chair difforme, complètement maussade amenant un essaim de mouches dansant autour de moi dans un bourdonnement intensif. Mon apparence frêle et fétide telle une branche d’arbre morte. D’un simple coup, mes os auraient pu se briser dans un bruit de craquement délicieux. Mes cheveux maintenant d’un blanc paradisiaque, étaient avant, aussi noir que le charbon consumé. Sale et gras comme une plaquette de beurre périmée… Des yeux aussi creux que le gouffre du destin.

Parfait. Parfait est le seul et unique mot pouvant décrire mon être. Je suis l’apogée de la beauté et du magnifique. Chaque parties, même infimes de mon sublime corps serait en mesures de faire fantasmer n’importe quel êtres humains avec un temps sois peu de bon sens. Ce médiocre cadavre qu’était le miens n’est plus de ce piètre monde. La magnificence la remplacée avec grâce et délicatesse. Une silhouette peut être efféminée du premier regard pourrait-dire certains, ils ne se trompent pas. Autant de délicatesse et de finesse pouvant être exprimé par mon corps ne peut être que de nature féminine. Grande et attirante. Mais ne vous détrompez pas. Je ne suis pas une femelle. Non. Nullement. Cela n’est qu’une prestation à la perversion que je peux effectuer grâce à mon apparence aussi pure que le cristal. Mon enveloppe corporelle est décorait d’une grandiose musculature semblable à la plus dure des pierres. Cela n’est pas pour autant que je ressemble à une montagne de muscles. Comme déjà dit, je suis le féminin et le féminin est moi. Plusieurs magnifiques fils de dorures partent du bas ma nuque pour descendre en ligne parfaitement droite jusqu’à mes fessiers. Pourquoi cela ? L’or est le plus noble des bijoux existants sur ce pauvre bout de terre. Je me devais de l’intégrer à mon aspect. Je suis le paradis des délices tordus et toutes formes de richesse ne seront que le bienvenu. Que dis-je ? Seront obligatoire. Simplement et purement. Le cuir qui recouvre mon corps est pâle. Frôlant avec de doux doigts l’albinisme. La blancheur est une preuve de noblesse et d’un signe de supériorité. Ma peau macabre peut, sous différent angles, luminosités, laissait apparaitre certaines veines bleuâtres, preuve de la pureté et de la beauté de mon physique parfait. Mes gestes sont gracieux tout comme mes nombreux déplacements. Chaque pas est une dance ensorcelante capturant les âmes de ses misérables passants. Chaque courbe de mon preux ectoplasme se déplace avec une élégance sans pareille.

Mon visage. Parfait lui aussi. La pure froideur de ma peau complète avec merveille les veines qui apparaissent sous ce drapé transparent de la mort. Mes iris sont d’une couleur semblable au violet. Un violet foncé. Mais, si on s’en approche. Vous pourrez apercevoir de temps à temps des visages… Oui, des visages hurlant dans un concert de sonorité plus alléchante les unes que les autre. Ces douces voix aboyant leur décadence sanglante. Quel douce mélodie qui titillent mes oreilles. Grâce à un simple regard, on connait tout sur la personne concernée. Cela s’appelle le reflet de l’âme. J’apporte les âmes en mon regard et elles dansent et crient pour moi. M’offrant un splendide spectacle à la magnifique personne que je suis. Ce preux spectacle est accompagné de fines lèvres douces et rosées. Lèvres qui cachent mes dents acéré, affûté comme le revers d’une lame impeccablement taillée. Tranchante comme le fléau qui s’abat sur le condamné. Quel doux délice quand la chair se plante dans mes crocs. Mâchouillant avec une délicate ardeur cette pulpe rosâtre au goût tellement… appétissant. Exquis. Tellement de saveur dans mon palet. J’adore cette attirance à la chair humaine ou animale. Mais, je m’égare dans mes préférences culinaires. Revenons sur mon visage idéaliste. Et sur mes cheveux, d’une magnifique couleur nacre voir blanche. Pas un blanc transparent comme celui de ma peau, non. Un blanc divin. Telle la pureté d’un ange qui descendrait du ciel comme un faux prophète. Mes cheveux étant de simples plumes tombant de cette misérable chose. La pauvre créature c’est remis à moi. Donnant ses plumes comme gages de grâce. Il fut aveuglé par ma splendide personne. Pauvre créature angélique. Tellement pathétique. Généralement, mes doux et soyeux cheveux d’ange sont en bataille. Ils sont tellement beaux et ravissant que même remplient de boue mes plumes seraient toujours d’une couleur éblouissante.

Vous ai-je parlez de mes affaires personnelles ? Mes délicieuses tenues que je porte sur mon voile blanchâtre si parfait ? Toutes plus extravagante et provocante les unes des autres. La plus part du temps, je transporte sur moi une armure finement ouvragée de dessins exquis, pervers, tordu, magnifique… La fine cuirasse de fer laissant apparaitre seulement ma tête. Pourtant, n’allez pas croire que cette orfèvre métallique est encombrante. Faux. Chaque plaque forgée épouse parfaitement mes sublimes formes si délicieuses. Elle me donne simplement l’air d’un Dieu. Oui, l’air. Moi-même je ne peux fantasmer à l’idée d’être égal à Meretrix… Personne ne peut égaler La Grande Ennemie… D’une fabuleuse couleur pourpre aux bords rehaussés d’éléments d’or. Ma gorge est protégée par un gorgerin des mêmes motifs excentriques que le reste de ma sublime armure. Comme dans les prunelles de mes yeux. Les motifs de mon armure dansent. Réalisant les fantasmes les plus cachés de mes adversaires et m’offrant par la même occasion une douce vision pour mes pupilles enflammées en pleins combat. Qu’ils soient sexuels ou non. L’armure est alors saturée d’âmes m’offrant une production supplémentaire. L’offrande de la Grande Dévoreuse étant une barrière psychique. Sinon, quand je ne suis point dans cette délicieuse armure, il m’arrive de porter des tenues plus soi-disant normales pour les individus. Sinon, dans la pure intimité, une seule toge d’une douce couleur crème m’habille et cache mon corps magnifiquement parfait.


Description morale : Douce perversion qui m’entraine dans une suite de plaisirs plus divins les un que les autres. La dépravation est la raison de ma simple existence. Mon âme est à la Grande Ennemie et mon corps tellement sublime appartient lui aussi à Elle. La perfection est mon art. Je me dois de la cultivée avec sensualité et magnificence. La recherche de la perfection de mon être doit s’étendre à plusieurs horizons d’art culturel. Que cela soit par le dessin, la musique, la littérature et bien d’autres encore. Le Prince des désirs charnels ne peut être un analphabète ou un de ses ragoûtants illettrés. Ces douces connaissances ne rendent mon être que plus magnifique et exquis. En combat, ma victime subira les supplices de la chair. Chaque seconde de sa pauvre lutte contre moi ne seront accompagné que part de doux cris d’agonies et de gémissements intenses. Leur pauvre carapace qui leur sert de peau sera ôtée avec une délicatesse semblable aux douces caresses d’une mère mais la douleur ne sera nullement semblable. Chaque millimètre de leur membrane contiendra une vague de mal-être. Des supplices que personnes n’oseraient annoncer leur nom de peur de perdre leur âme tellement insignifiante. Je suis le porteur de leur délicieuse et malsaine déchéance. Chaque effleurassions d’une lame contre mon adversaire est une jouissance à son apothéose. Orgueil aurait pu être mon deuxième prénom. Mais après tout, n’est-il pas vrai que je suis la perfection incarnée ? Je suis la lumière qui apportera l’apocalypse dans ce vaste monde. Les îles s’engouffreront dans l’eau dans un bruit strident. Les océans se teinteront d’une couleur violacée. Les terres se craqueront. Les démons s’agripperont alors des nouvelles crevasses pour venir se délecter de la douce chair des humains. Cette douce lumière que je suis ne pourra être évincée par la lente mort qui me recherche.

Je suis tellement remarquable, que la simple vue d’un mortel à mon égard lui causera de perdre instantanément son âme. Devenant alors l’esclave consentant de mon être. Leur spiritualité rentrant dans mes iris pour subir de lente torture. Le délice de la chair ne m’est nullement inconnu. J’en raffole. Doucereux comme jamais. Cette sensation. Ces désirs du cœur. Magnificence et bien être sont les maitres mots de la perversion qui m’anime chaque seconde de ma vitalité. Elle dirige chaque gracieux geste que j’exécute. Je me complais dans mes extravasions les plus tordus les unes que les autres. La perversion n’est pas seulement un de ses arts que je cultive avec fanatisme et rigueur mais un magnifique état d’âme lui offrant de splendides hantises plus délicieuses que les doux vices qui animent vos fantasmes les plus enfouis. Mon être si parfait se doit par conséquent d’abhorrer certaines choses. La déchéance physique doit assurément la chose qui doit le plus me déplaire. Un corps bouffi de nombreuses pustules ainsi que de viscères pendante et suante de pus. Rien n’est plus immonde qu’un corps décrépi et ancien. Cela est totalement l’opposé de mon magnifique être. Je vous est parlez du physique qui me répugne. Parlons maintenant. De l’attitude qui me répugne au plus au point. La barbarie. La violence. La haine. De telles tenues ne peuvent être exquises. La buverie de sang n’est que acte monstrueux est nullement raffiné. La simple vision de ne pas faire souffrir une seule seconde me débecte me donnant la nausée. La violence se doit d’être une chorégraphie des plus intimes avec la personne qu’on combat. Nos deux corps rentrant dans une symbiose parfaite et corporelle. Et enfin… La chasteté. Le retenu d’une personne est un acte qui, même après plusieurs heures de méditations n’arrive point à comprendre. La retenu même du corps, des pensées, des envies n’est une chose incompréhensible.

Imbu de ma personne. Je suis un serviteur d’Elle parmi vous. Simple mortel. Mon corps si parfait ne peut rien faire contre vous. La sublime personne vous éclaira vos journées lente et monotone. Ma douce et magnifique voix mielleuse vous ensorcellera lentement. Vous tomberez des nus quand je vous adresserez la parole. Qu’importe les phrases que j’annoncerais avec déliquescente. Croyant de ma personne. Comme déjà dit, ma douce sensualité appartient totalement à la Grande Meretrix. Cette bienfaisante vivante est ma raison de vivre. Ma mère fondatrice. Mon démon gardien. Ma protection qui vielle sur moi. L’œil du faucon. Mon nouveau corps n’est qu’à Elle. Mes meurtres sont à qu’à Elle. La Grande Ennemie est la Déesse de la perversion est j’en suis son porte-parole. Elle m’a accordée la réalisation de mes désirs en échange d’une éternité de dépravation. Des conditions que j’ai acceptées sans entendre une seule seconde. Ma vie misérable n’est plus. Mon éternité commence juste. Et rien. Non, rien. Ne pourra m’arrêter. Même une penaude de lames affûtées comme la lame de la faucheuse qui apportera avec elle les nombreux ectoplasmes qui subiront les caprices de la Déesse Sombre. Je suis le centre de mon attention. Sur cette Terre. Je suis le seul important. Personne ne pourra prendre ma place. Personne ne pourra conquérir cœur. Mon amour porte seulement à Meretrix et à ses disciples. D’ailleurs, je et moi seul suis en mesure d’entrainer les futurs dépravations vivantes de la Grande Ennemie. Je suis… Moi. Et moi et le synonyme Parfait.

J’aime tellement faire faire souffrir ces pauvres et misérables humains, que ma culture est venue apprendre les différentes tortures et délices que je puis affliger à mes victimes. Cela ne passe pas seulement par la douleur physique. Mais bien par la douleur mental. Une magnifique méchanceté gratuite. Que de parfaite attention pour une personne aussi parfaite que mon adversaire. Après tout, mon adversaire ne peut être que parfait ? Puisque je le suis moi-même. Toute chose peut être prise pour infliger de tels délices !

Son histoire :
Chapitre numéro un : La naissance d’un Dieu parmi les mortels…

Je suis, ce qu’on pourrait appeler selon certaines croyances, un demi-dieu ou bien, un batard. Une partie de moi est la magnificence absolue et incarné. La création même de la beauté. La perversion à l’état pur. Le plaisir charnel de chaque homme et chaque femme sur cette petite planète du système solaire. Et l’autre partie n’est que banalité infligeant et monstruosité décimant. En d’autre terme, pour un dialecte qui vous serait plus accessible pauvres mortels que vous êtes, je suis né d’une mère Déesse. Ainsi que d’un sordide père humain sois disant tolérant… Que cette infâme conscience qu’est la sienne subisse les douleurs les plus atroces qu’un pauvre homme comme lui ne pourra supporter. Je naquis alors entre deux champs de bataille, alors que ma divine mère tentait tant bien que mal de regagner son magnifique trône de chair impurs. Siège de douces intimités humides et chaudes… Un jour, je pourrais avoir juste la pensée de pouvoir m’assoir sur cette montagne d’appétit à proprement dit : sexuel… Rien n’y personne ne vint me chercher dans cette magnifique atmosphère de mort. Le goût du sol souillé par le sang de ces impures personnes. La texture de leur crâne dans mes petites paumes. Mes doigts dans leurs orbites creuses cherchant le moindre bout de viande encore restant ou bien, des insectes ou tout être soi-disant comestibles. Chaque soirée de ma misérable vie, les visions d’une douce silhouette me berçait dans la nuit noire. Pourtant, tout n’était que poussière et brume blanchâtre. Je ne compris que bien plus tard qu’était-ce cela. Je m’extirpai que quelques mois plus tard de cette terre noir et brulée par les rêves humains maintenant complètement anéanti. Trois mois d’existence et un corps de petit enfant androgyne de sept ans. Rien n’était encore beauté. Tout était horreur et damnation du magnifique. Tout comme mon sale père inconnu. Je n’avais rien d’humains. Et je le voyais quand, par des matinées aussi brumeuses que l’ectoplasme qui me bordait avec la peau des animaux mal éventrés j’allais voler des marchandises sur la grande place… Me comparant une demi-seconde aux autres enfants qui devait avoir mon âge. Puis, tel une ombre rampant au coin du mur je retournais à mon champ de bataille comme si rien n’était avec mon butin entre mes pâles mains. De mes minuscules pupilles violette, j’observais jour après jour les ravages du temps sur ce bout de charbon aussi noir que les ailes d’un corbeau que j’appelais affectueusement : mon chez moi. J’observais sans comprendre aussi mon corps. Pourquoi était-il comme cela ? Pourquoi aussi, avais-je une mentalité surement supérieur à celle des autres personnes de mon espèce. Peut-être car du sang divins coule dans mes veines… Mais tout cela, je n’en savais encore strictement rien. Le doux goût du savoir mettait encore inconnu et l’ignorance imprégnait mon corps tel une atroce odeur de puissant digestif. En bref, je vivais ma vie tranquillement. Jusqu’au jour où, Ils arrivaient.

Je fuyais alors à toute hâte, regardant de temps à autre derrière moi si je l’ai avais distancé. J’y arrivais, mais avec une grande difficulté. J’étais à bout de souffle. Ma vue était trouble. Je ne voyais plus grand-chose. J’esquivais tant bien que mal les différents cadavres qui jonchaient avec nonchalance le sol. Me fixant durement de leurs deux orbites vides. Aussi vide que les âmes de mes poursuivants. Le vent soufflait violement contre moi, comme s’il voulait m’apporter contre Eux. Qu’avait-je fais ? Je n’en savais rien. Voulait-il me mettre en prison pour les nombreux vols que j’avais commis ? Ou bien, mon voyeurisme ? Certes, je l’avoue, il n’était pas rare que je regardais ce que j’appelais les géantes personnes. Je ne comprenais pas ce qu’ils faisaient, n’y pourquoi. Mais, cela était sûr, le spectacle était alléchant. Même délicieux. Un douce dance. En tout cas, mes jambes continuaient leur course effrénée sur le champ de bataille. Il m’arrivait de tomber quelques fois, pourtant à chaque fois, mon enveloppe corporelle ce relevait telle une machine de guerre continuant sa marche silencieuse. A chaque pas que j’engendrais, deux pour Eux. Ils allaient me rattrapait si cela continuer. Je ne pouvais pas fuir éternellement, même si l’envie ne me manquer pas. Finalement, je m’effondrai dans la boue. Mon corps frêle, nue, difforme aux yeux de tous. Mon regard exprimait la peur. La peur à l’état pur. Ma bouche balbutiait de fiables mots, sans valoir de toute façon. Le vide m’emporta lentement. Et puis. Rien. Oui. Rien. J’étais là. Vivant. Sans aucune blessure autre celle faite de par la longue distance parcourue. Je ne comprenais pas. Cela était-il seulement un rêve ? Un rêve qui indiquerait le futur ? Une nouvelle fois l’ignorance était en moi. Encré telle une sangsue sur ma peau. Impossible d’en enlever la présence. Je reprenais peu à peu mes esprits. Ma vue se faisait peu à peu plus lucide. Mon être rampait parmi la terre boueuse et les os en décomposition. Mon physique n’avait pas changé, pourtant je sentais une chose en moi. Elle bougeait. Elle vivait. Elle grandissait. Je me tiens alors l’estomac. Plantant mes doigts au plus loin dans ma légère graisse pour extirpait cette masse vivante qui s’était loger en moi à mon incus. Mes phalanges s’enfoncèrent avec tant bien que mal dans mes entrailles, Ma peau perforée tombait lentement contre le sol, tout comme mon sang qui venait s’accompagner à mon épiderme maintenant sali du terreau noir. Ma vue redevenait de nouveau trouble. Du sang sortait telle une fontaine de ma bouche ainsi que de mon ventre disloqué. Ma poigne s’évertuer à chercher dans mon preux estomac. Griffant de mes ongles sales mes organes internes. Je l’avais. Enfin. Après différentes recherches, il était emprisonnait de mes doigts. Cette saloperie était vivante et se débâter tant bien que mal. Voilà. Ma main était de moi. Avec… Rien. Je ne comprenais pas. Et sans rien dire et sans rien faire. Je succombai aux ténèbres…


Une table d’opération. Diverses aiguilles plantaient telles des vers cherchant une cage pour leur progéniture futur. Plusieurs personnes étaient autour de mon être, affûter de blouses blanches. Tous autour de moi, tel des chiens autour un os rongé par le temps. Je sentis la douleur des aiguilles percées les restes de mon squelette. De ma bouche, un hurlement d’affliction me déchira mes lèvres avec une violence inouïe. Jamais une souffrance repentante comme celle-là n’avait apparue en moi. Mes yeux s’écarquillèrent, aux limites du déchirement. Ongles plantés dans la vielle table en bois, mon beuglement n’avait nullement fini sa vocalise. Ils me saisirent alors le crâne de leurs mains gantées. Et puis, rien. Les ténèbres étaient de nouveau là. Le noir du chaos était en moi, me consumé lentement, par petit feu. Ma dernière vison n’était autre qu’un objet pointu semblable à un scalpel rouillé… Alors que ces nombreux être inférieurs devaient bien s’amusaient à faire mumuse avec mon corps encore immonde. Mon esprit vagabondait dans un univers parallèle semblable au monde du rêve puéril et enfantin. Un espace nullement semblable à ce que j’ai connu. Un marbre d’un blanc crème. Des colonnes obsidiennes d’une longueur vertigineuse. De nombreuses personnes totalement nues, et d’une apparence des plus étranges étaient derrière les colonnes, tentant de ce caché. La peur était dans leurs yeux. Pourtant, on irait directement dit des personnes comme vous et moi. Enfin, dans la mesure où je suis bien différents de vous au point de vue anatomique pour cette période de ma vie… Au centre de la pièce, une ligne s’étendant dans toute la longueur de la pièce. Une ligne d’homme et de femme, au corps divin, parfait, sublime. Cela était comme les personnes que j’expié en cachette… Mon regard parcourra chaque partie de ces beautés vivantes. Mon sang s’érigea plus bas dans mon corps, c’est alors que la file se divisa en deux, forma un couloir de chair. Chaque regard plaqué sur moi comme des vautours sur un cadavre en décomposition. Je trépignais d’impatience rien qu’à m’avancer, ce que je fis après quelques secondes de réflexion. J’essayais d’avancer le plus élégamment possible, mais rien n’y fessait. Finalement, c’était moi le centre de l’attention. Une situation plutôt plaisante. Vraiment plaisante pour tout dire. La vue que j’avais était une jouissance à elle seule. Presque une sensation d’écœurement tellement cela était divin. Un doux parfum de plaisir et de bien-être. Un immense trône construit sur une base de verge et de fort membre. Comme habitait par une force démoniaque, je me m’étais violement à genoux et mon corps explosa dans une gerbe de sang noirâtre…

Une odeur d’humidité. Des bruits de rongeurs et d’insectes. Une impureté salissante sur les parois de la pièce. Aucun halo de lumière ne parvint dans le piètre logement. Nullement de matelas pour pouvoir poser mon corps. Seulement un vieux bout de tissu attaché d’une couverture de poussière. Surement une vielle serviette qui doit avoir servi pour plusieurs personnes qui seraient venu avant moi ici. J’étais dans un coin de la pièce, dans l’obscurité totale. Pendant les premiers jours, mes pupilles n’était nullement habituées, et puis, avec le temps, mon sens de la vue c’est développer comme un asticot qui passe du state de simple cocon pour finir en majestueux papillon aux ailes divines pleins de couleurs aussi plaisante que magnifique. Maintenant, je voyais un peu mieux, bien que cela ne fût absolument pas exceptionnel. Maintenant, je pouvais me voir, mon corps n’était que bandage et pansement. J’avais déjà pu sentir la sensation du papier contre les paumes de mes mains, mais, maintenant, j’en étais sûr. Une momie, voilà ce que j’étais. Seulement une momie. Je commençai à sangloter. Pourquoi moi ? Qu’avais-je fait ? Mystère… Dans un grincement de fer rouillé, la porte de la pièce s’ouvrit lentement. Mes oreilles auraient pu se mettre à saigner à flot si ce bruit déchirant n’avait pas arrêté sa mélodie. Les dents serraient telles un mur j’observais de mes yeux la silhouette qui arrivait devant moi. Elle se baissa à ma hauteur, et là, j’écarquillai les yeux, le mur blanc se brisa pour vouloir laisser s’échapper un hurlement. Mais rien n’en sortit. Seulement un gargouillis de mort en sortit. Le rythme de mon cœur s’accéléra. Voilà c’était la fin de ma misérable vie de sale personne poussant des squelettes pour chercher le moindre morceau de nourriture. Cette silhouette, elle était celle du rêve… La femme sur le trône…

Une enlace… Un câlin… Des mots doux… Mon rythme cardiaque diminua peu à peu. Lentement mais surement. Je sentais une douce chaleur apprenait mon corps. Une sensation encore inconnue pour moi. Mais pourtant, je savais que je pouvais plus m’en passer. Mes bras passèrent autour de la nuque de cette femme, tellement divine et posait ma tête bandée contre sa poitrine volumineuse. Morphée, le Dieu et maitre du sommeil m’agrippa doucement, venant de bercer dans son lit moelleux et chaud… Au petit réveil, j’étais toujours les bras de cette inconnue que je semblais pour autant connaitre depuis toujours. Mes yeux s’ouvrirent lourdement, et vint alors se posaient en ce de la créature femelle. Sourire gêné sur mon visage, elle me le rendit. Finalement, elle se leva, et donc, je dus faire de même. Toujours dans cette obscurité flagrante, mon regard ne l’avait pas quittée. C’est alors qu’elle disparue par la porte en déposant juste avant un tendre et magnifique baiser sur le coin de mes lèvres… Et depuis cette apparition, cette prison qu’était la salle close me paraissait être littéralement le paradis. Certes, la Déesse ne venait pas tous les jours, même pendant des semaines, mais, durant mais chaque secondes passées avec elle était un bonheur à son apothéose, un fouissement compulsif, une chaleur semblable à celle d’un volcan en éruption. Mon sang bouillonnait, partant plus bas dans mon corps, et à chaque fois, il se passait de drôle de chose alors… La première fois, je ne savais que faire, mais après, j’avais pris l’habitude et à chaque fois, des cris inhumains sortaient de d’elle… Puis, elle m’embrassait sur le front, encore, puis partait en m’adressant un petit sourire. Mais, autant j’étais joyeux quand elle était là, autant mon corps était toujours habillé de ces immondes bandelettes de papiers. Sales et pourris.
Et puis, enfin, finalement, un jour vint, où mes bandelettes n’étaient plus. Mais pour cela je dus partir de ma pièce tellement sale. Mais cette fois ci, nullement accompagné de cette femme au nom toujours inconnue. Mais des personnes que jamais vue tantôt. Sur la table d’opération. Une rage meurtrière m’agrippa les tripes, me poussant à devenir tel un animal frénétique. Finalement, j’arrivais à arracher une oreille d’un des scientifiques… Le sang se répandant alors sur mon visage. Je passa ma langue sur mes fines lèvres rosâtres. Un goût délicieux…


Chapitre numéro 2 : Le commencement d’un ninja…

Peu à peu, les petites bandes très étroites tombèrent sur le sol en métal de la pièce des scientifiques. Ils étaient aux nombres de cinq, tous plus moches les uns que les autres. Moi, je ne bougeai pas, je n’osais pas. Et puis, enfin, ma peau put respirer à l’air libre. Cela était la première fois depuis énormément de temps. Une inexplicable impression. La lumière était vive dans cette pièce, et j’avais encore du mal à pouvoir ouvrir pleinement mes paupières, et donc, à voir mon corps. Me posant par terre, mon corps nue semblait alors plus fluide et me permettait de faire des mouvements plus ample, voir plus gracieux… J’étais là, au centre de ces humains, sans vraiment comprendre pourquoi. Je les voyais écrire différentes notes sur des bouts de papiers ou bien sur des cahiers rectangulaires noirs. Des fois, il me piquer à coups de crayons et parler fort tout en rigolant… Moi, j’étais toujours assis, sur le sol froid. Du haut de mes dix ans, du moins, c’est leurs paroles. Et puis, d’un seul coup. Je La vis. Toujours aussi magnifique et belle, d’un bond, je me levais, pour venir dans ses bras. Me loger dans ses bras tellement doux. Sa main vint alors se posait sur mes cheveux, c’est alors que je remarqua une mèche. Blanche. Je ne comprenais pas, mes cheveux étaient noirs et ceux de la Déesse de la même couleur que les miens. Bien que beaucoup plus soyeux… C’est alors qu’elle me tendit le manche d’un miroir. D’une main tremblante j’attrapa fermement l’objet en parure d’or. Le portant à mon visage, une vision d’horreur me frappa. Enfin, d’horreur pas vraiment. Je ne me reconnaissais plus. Mes yeux, mes cheveux, les traits de mon visage, mes gestes plus gracieux. Tout devenait clair maintenant… Les scientifiques avaient changés mon corps, pour le rendre semblable à la femme…

Nous sommes une semaine plus tard. J’ai enfin découvris le nom de cette magnifique créature : Meretrix… Quel doux nom. Aujourd’hui, je ne comprends pas. J’ai réussi à sortir en douce de ma cage malpropre, poisseux. Et puis, telle une ombre, je me suis faufilé avec grâce et magnificence jusqu’à l’une des chambres de ces immondes scientifiques. Pourquoi avais-je fait cela ? Nous étions en pleine nuit, et de ma chambre je pouvais entendre les bruits du tonnerre frappait contre le sol, la pluie s’écrasa contre le toit. Normalement, je serais allé sangloter dans les bras de la Déesse, mais, apparemment, elle m’avait dit qu’elle partirait pour une semaine… J’avais donc eu l’idée de venir dans la chambre le plus proche. Et puis, rien. Personne, ne serait-ce une trace d’humanité. Tout n’est que poussière. Chaque partielle de la pièce est une montagne de poussière rien qu’à elle, tous les livres, meubles, outils de travails… Tous ne sont que sous la poussière. J’engendra le pas, puis m’assis sur le lit crasseux du scientifique. C’est alors que je remarqua plusieurs fiches sur les draps de son lit. La curiosité me piqua alors au vif. Après tout, cela devait être surement des rapports sur moi, apparemment, hormis moi, les cinq immondes scientifiques ainsi que Meretrix qu’il relève heureusement le niveau… Personne tellement magnifique qu’elle est. Je désire sa chair ainsi que son âme tout entière. L’avoir en moi n’est que plaisir charnel et délicieuse attention… Un sourcil levé vers le haut, j’attrapais donc le premier bout de papier. Enfin, ici, plutôt un paquet de feuilles. Donc, plutôt un dossier. Je lisais le titre écrit en gros caractère : - Expérience numéro trois-cent-vingt-deux : Le projet Kama - Le sourcil toujours levé, je me demandais bien ce que cela pouvait être. Regardant à droite puis à gauche. Personne. J’ouvris le dossier une once de peur dans mon esprit…

-Rapport du professeur Ichigo Kanchii -

A transmettre au plus vite au Maitre Orochimaru.

Une arme parfaite de combat hautement sophistiquée grâce à la médecine ninja et les différentes techniques interdites. Dotée d’une intelligence propre et se situant dans la moyenne, le projet est capable d’obéir à des ordres programmés par Meretrix (Arme crée par vous pour le projet Kama) tel est le monstre que nous avons tenté de créer (qui, pour l’instant est une franche réussite.) nous l’avons baptisé : " Eddas ".

Malheureusement, dès l’origine du projet, nous avons rencontré un obstacle considérable et de taille : il était quasiment impossible de se procurer un sujet vivant pour servir de base au projet Eddas. Le stock d’êtres humains génétiquement adaptables à l’Eddas est extrêmement réduit…

Cela est dû à Meretrix elle-même.

La variante de Meretrix aurait dû être idéale pour la génération d’Eddas à venir… La symbiose de départ, celle de Meretrix était parfaite pour presque chaque femme. Environ un total de deux sur trois. Malheureusement, pour le sujet de type mâle. La chirurgie ainsi que l’implantation des cellules hormonales ce passe véritablement mal. Et, le plus souvent les humains finissent avec un défaut considérable : la dégénérescence des cellules cérébrales. Transformer le porteur en Eddas supposait de conserver un certain niveau d’intelligence. A savoir, celui d’un être humain normal. Voire plus si cela est possible.

Afin de surmonter ce problème qui bloquait nos recherches, Yato a travaillé sur l’extraction d’une variable causant le moins de dégâts possible au cerveau tout en étant parfaitement adaptée pour le porteur.

En revanche, les humains possédant les caractéristiques génétiques correspondant à cette variable se sont révélés particulièrement rares. Comme les porteurs de l’origine même du projet. Le rapport du reste de l’équipe (les trois membres restant.) nous a appris que seule une personne infectée sur cinq millions était stable pour survivre au projet Eddas. Les autres, devenant alors de simples morts, ou bien, serait comme dit plus haut, atteins de dégénérescence des cellules cérébrales. Le problème grandit donc chaque jour.

Il aurait peut-être été possible de développer une souche plus avancée du projet Meretrix capable de transformer davantage d’humains en Eddas. Cependant, poursuivre les recherches nécessiterait avant tout de disposer de sujets humains capable de contenir votre projet. Et donc d’être stable à la nouvelle variante. Ma probabilité d’obtenir de tels spécimens étant si infime dans la mesure où, même en écumant tout le Pays du Feu, nous n’aurions pu en découvrir qu’une cinquantaine…
En réalité, à l’époque, malgré les efforts déployés, il n’a été possible de rassembler que quelques spécimens au potentiel génétique approchant des spécifications requises. Dès l’origine de ce si grand projet, nos recherches étaient paralysées. Mais, pourtant, grâce au nouveau venu, le projet Eddas est en route et marche parfaitement bien. Espérons que cela continue comme ça.

-Fin du rapport du professeur Ichigo Kanchii -

Dans une brutalité sans pareil, je refermais le dossier, je ne voulais pas en savoir plus. Nullement, les informations que j’avais glanées m’avaient suffisamment appris sur moi-même et sur ma véritable nature. J’étais un monstre, ressoudant d’une expérience interdite pour les fantasmes d’un inconnu. Bien, si cela était ma destinée, elle sera celle-là. Je vais devoir prendre information auprès de Meretrix. Ma nouvelle raison de vivre… Elle est l’encense même de moi, c’est grâce à elle que j’existe et donc, c’est pour cette divine créature que je mourrai avec dignité. M’appuyant sur mes poings, je jeta le dossier de feuilles contre le mur marron. Une rage poignante m’attrapa les tripes. Je claqua la porte, et revenait alors dans ma cage. Mon paradis. Mon nouveau chez moi. D’un pas errant, je tournais en rond dans la pièce, m’asseyant pendant une fraction de secondes, puis me relevant immédiatement. Plusieurs jours passèrent, et elle m’apparut de nouveau. C’est alors que je me jeta avec violence dans ses bras, la serrant du mieux que je pouvais, je ne voulais plus jamais qu’elle parte pendant autant de temps maintenant que je savais le lien qui nous animait… Et les gestes habituels arrivaient, les douces et tendres caresses, les délicats baisers contre mes lèvres si fines et rosées, ces petites morsures contre le lobe de mon oreille et tant de plaisirs aussi onctueux que délicieux. Ces plaisirs charnels, je ne pouvais plus m’en passer. Ils étaient devenus la raison de ma vie. Bien entendu, Meretrix était toujours dans mon cœur. Elle était mon Déesse, je la vénéré maintenant, je comprends mieux pourquoi je suis né entre deux champs de bataille… Oui. Je suis une arme de destruction massive. Mon seul but et de faire souffrir les personnes qui m’entoure. Je suis…La mort incarnée.

Quelques semaines plus tard, l’équipe scientifique était réunie autour de moi. Apparemment, ils avaient un nouveau projet pour moi. Ils parlaient d’examen ninja pour le rang de " Genin ". Moi, personnellement, je ne comprends pas vraiment mais une chose était sûre, il fallait se battre, et cet aspect du combat était, il me semble vraiment intéressant. Mais pourtant, bien que je fantasmer déjà rien qu’à l’idée de faire souffrir un être humain, je ne connaissais nullement les techniques de combat à mains-nue, ou bien, ce qu’ils appelaient les affinités ninjas. Ce nouvel univers qui mettait alors inconnu, commençait à devenir intéressant. Mais, apparemment, cela demandera d’énormes efforts ainsi qu’une volonté de fer. Que cela ne tienne. C’est donc comme cela que les scientifiques commenceraient les rudiments ninjas. Bien entendu, il offrait la partie technique. Et puis, la partie pratique était Meretrix. Je n’avais jamais vue cette partie d’elle. Une dance envoutante mêlant corps à corps et techniques de distances. Le maniement des armes. Kunai. Sabre. Bouclier. Les mois passèrent, et plus les minutes passées, plus les entrainements étaient plus durs. Mon corps était décoré de multiples microcoupures. Le sang saignait à flot, se répandant dans une douce mélodie. Chaque goutte de sang qui s’écraser contre le sol était une symphonie à elle toute seule pour mes oreilles. C’est alors qu’on me prépara, pour ce qu’il semblait être une sorte de passage spirituel, un entrainement final, l’acte dernier. C’était selon leur mot. Tout ou rien. J’exécutais les ordres, tué, gagné…


Chapitre numéro 3 : Rapport des membres.


-Journal de Turia Hikoma-

Voilà maintenant une trentaine d’années que nous travaillons sur le projet Eddas. Et, je dois dire que cela est une franche réussite. Le sujet a réussi à s’intégrer au village de Suna. Engagé comme ninja. Pourtant, j’admets le doute qu’un jour Eddas trouve une personne qui remplacerait Meretrix. N’étant plus sous surveillance, et le projet de type femelle est morte… Une explosion des cellules. Qu’elle tristesse. Mais j’ai déjà parlé de cela dans certaines pages précédentes. Espérons qu’il garde son objectif en tête…

Maitre Orochimaru nous a dit…

-Fin du journal de Turia Hikoma-

La suite est impossible à lire…


-Note sur le projet Eddas S-

Impossible… Je ne comprends pas. Mon avons reçu une nouvelle commande de notre maitre préféré. Ce dernier nous demande un Eddas à la puissance décuplée. D’où le nom : S. Comme les missions à hauts risques. Je post ici les idées en vrac…

-Stocks hormonales mort. Demande de nouvelles cellules.
- Ne pas hésiter de prendre des gênes d’animaux puissants, tel un ours ou bien un requin…
- Peut être mettre en profil la force pour une zone d’intelligence moindre. A voir avec l’équipe.

-Fin des notes sur le projet Eddas S –

Ecrit sur un vieux bout de tissu poussiéreux.


-Décès d’un membre de l’équipe : Requim –

Notre bien-aimé chef d’équipe et de projet est mort en ce jour, tué de la main d’Eddas, le garçon ne dit alors plus rien, même le projet Meretrix n’a réussi à lui arracher un mot. Ce garçon prend trop confiance en lui… Pas étonnant qu’à l’âge de vingt-cinq ans il s’affirme… Nous allons droit à la mort si cela continue comme ça. Enfin, apparemment le sujet habite déjà dans le village et aurait continué sa vie comme si rien n’était. Eddas aurait passé certains examens ninjas. Après, a-t-il réussi ? Mais je m’égare du sujet-là.

Paix-à –toi…



"Je certifie que cette présentation est la propriété de Paul Isard / Hijikata Toshizo Administrateur du forum Naruto Ninja Rpg .

-Fin de décès d’un membre de l’équipe : Requim-

Page numéro trente-trois dans le dossier Eddas.



MOI

Question à répondre qui prouve que vous avez lu le règlement* :

Validé par Ryu.
    Comment avez-vous connu ce forum : Google.
    Connaissez-vous les RPG : Oui, trois ans maintenant.
    Decrivez-vous dans la vie réel : Un monstre.... Or not.
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MessageSujet: Re: Eddas Vanes [Fini] Eddas Vanes [Fini] Icon_minitimeLun 31 Jan 2011 - 22:47

Je proposes un Juunin rang B. ( avec test rp à l'appui bien sur ) !

Autre avis ?
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Eddas Vanes [Fini] Eddas Vanes [Fini] Icon_minitimeLun 31 Jan 2011 - 23:01

Juunin rang B aussi, j'ai bien aimé ^^'

Voici ton test:

- Un jour, on t'assigne une mission. Celle-ci consiste a retrouver puis capturer un groupe de Déserteur fraîchement échappés de la prison de Suna. Raconte nous comment tu les combat, si tu les épargne, ou non. Bref, raconte nous cette mission...

Si ça ne te convient pas, MP.
Hunk Moroshi
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MessageSujet: Re: Eddas Vanes [Fini] Eddas Vanes [Fini] Icon_minitimeMer 2 Fév 2011 - 18:38

Test Rp :

La dépravation, acte des plus malsains de ces petits jouets que sont les hommes. Au fil des années, cette culture c’est développer d’innombrable façons, plus perfide les unes que les autres. Chaque culture a un maitre, un Dieu, un spécialiste qui connait toute les ficelles de cet art. Les moindres techniques, les moindres astuces. Ces personnes cultivent leur savoir-faire avec prestance et une parfaite connaissance de leur culture. Une connaissance presque effrayante, mais, qui force à un respect des plus amble. Ils guident avec sagesse les âmes de ces pauvres égarés dans la voie du savoir. Eux-mêmes étant complètement plongés dans une déchéance de pauvreté intellectuelle. Une pauvreté de culture affligeante. La dépravation de l’âme et du corps ne doit pas avoir d’adepte moindre voir sous développer. La Grande Ennemie ne peut être vénérée par une bande d’hérétiques seulement à la base du savoir de la traitrise humaine. Cet art n’est pas accessible à n’importe quel inconnu qui se dit être la magnificence à l’état pure. Les guides de cette culture ancienne doit être menés par les plus puissants esprits qui existe sur cette pauvre et misérable Terre. Ils apporteront un halo de lumière dans cette part de ténèbres que sont la retenue des hommes. Nous devons laissés parler notre corps par tous les moyens possibles. L’esprit doit avoir une culture pointue et donc, connaitre d’où vient la dépravation elle-même. La perversion elle-même. La naissance de la beauté. Cet art parmi les âges. Les Dieux ne peuvent plus jouer avec nous. Nous ne sommes pas des jouets qu’ils peuvent jeter quand bon leur semble. L’ère de l’ignorance est finie. La lumière de la vérité nous baignera tous dans une mélancolie douce et divine, dont la magnifique symphonie plongera nos oreilles dans une extase à son apogée. Et je suis ce maitre, ce Dieu. J’amènerais la délivrance dans ce monde perfide et, aux limites démesurées. Moi, Eddas Vanes.

C’est donc ces petits pantins, jouets des Dieux, cette bande de malpropre que j’ai pour mission de ramener au village de Suna. Que cela ne tienne, une mission des plus simplistes pour mon être tellement parfait, mes techniques de combat sont parfaitement mortelles, ma lame, impeccablement affutée tranchera l’air pour venir se loger dans un bruit de borborygme atrocement suprême. La lame des mille murmures les fera tombée comme une bande d’insectes insignifiants. Ils seront hypnotisés par ma simple et tendre personne. Eux, viendront à moi, lâchant leur armes insignifiantes pour venir me supplié d’épargner la vie tellement misérable qui est l’a leur. Et pourtant, les limbes seront leurs cercueils. Ces êtres maléfiques étaient sortis de leur prison des sables ? Que cela ne tienne. La destinée sera cette prison. Et je veillerais personnellement que cette destinée sois la leur. Bien qu’il ait surement des malencontreuses tentatives d’échappatoire, je ne pense pas que la délégation qui me fut transmît soit d’un niveau élevé. Une modeste marche dans le désert. Ce qu’on appelle, une promenade de santé. J’avais déjà pris renseignement au prêt du bureau pour les informations qui pourrait être important de connaitre. C’était amusant de voir comment ces individus avaient réussi à s’échapper de leur cage. Dans l’absolue, le Kazekage ferait mieux de faire appel à une nouvelle équipe pour surveillé les délinquants de cette espèce pathétique et moindre. Apparemment, ces êtres démoniaques seraient aux nombres de cinq. Le nombre de personnes ne me fit point haussier, ne dit ton pas : plus on est de fous, plus on rit ? En tout cas, j’acceptai la mission, un peu de chair fraiche à me mettre sous la dent de temps à autre n’est pas de refus. En tout cas, cela allait être une charge des plus intéressantes. Bien que j’aie déjà fait de cette sorte de mission, j’étais ravi. C’était toujours une occasion de s’amuser…

Cela faisait maintenant plusieurs jours que mes pas s’imprimaient dans les colossales buttes de gravier beige. Les émanations de lumières frappaient telle une massue de l’Inquisition s’abattant sur l’impureté des hérétiques. Ma cuirasse métallique était un poids non négligeable, et cela me ralentissait dans ma progression dans ce vaste étendu. Heureusement, j’avais ôté une partie de mon armure, le torse était resté en lieu ainsi qu’une partie des jambières. M’arrêtant alors, j’observai le paysage qui s’offrait à moi. Une tonne de sables, étendu sur plusieurs milliers de kilomètres, du sable à perte de vue. Quelque fois, un oasis apparaissait. Une nostalgie m’emporta peu à peu, certes, le paysage était linéaire Mais d’une beauté sans pareille. Je me pinça la lèvre inférieure par mes dents, une nature morte, jamais dérangé par l’homme, un endroit indomptable. Rien n’y personne ne pouvait édifier des bâtiments, crée une civilisation descente. Presque, seul le village de Suna avait réussi cette tâche onéreuse. Perdu dans mes pensées, je restais là, sans rien faire, j’observais. Encore et encore. Cet endroit était la forme d’une puissance inimaginable. Combien de personne avait dû mourir de ses mains ? Après avoir porté encore une fois ce regard de contemplation sur cette terre d’insolence, sauvage, vide. J’engendrais une nouvelle fois le pas, reprenant cette marche interminable dans le sable chaud. La position de ces cinq ninjas mettaient inconnu. Je devais prendre position en hauteur, sinon, je risquais de perdre la trace de ces évadés. Trace que je n’avais pas encore… La montée dura près de deux demi-heures. Sois une heure. Mon armure étant lourde, je m’enfonçais dans le sable et glissait en arrière. Mais finalement, j’avais réussi. Après tout. Un être aussi parfait et puissant que moi ne peut que réussir. Et cette bouche béante de substances molles ne m’attrapera point dans ses filets vicieux et perfides. Maintenant que j’étais sur l’une des plus grandes montagnes de sable, je pouvais observer avec attention le paysage. Encore une fois. Mais cette fois-ci, avec une idée précise en tête. Des silhouettes, il me fallait des silhouettes ! Je refusai de revenir les mains vides. Chaque mission que j’effectue et réussie avec une prestance sans pareil, des éloges de sept jours et de sept nuits sont organisés par les villageois…

Mon armure s’illumina, ses motifs exquis commencèrent à danser. Les visages semblaient hurler, supplier, pleurer. D’autres, effectuer des positions paradisiaques. Tellement perverse que la lumière provoquait par l’orfèvre dut me faire plisser des yeux, de plus, le halo de soleil n’aidait pas. Mais maintenant, je savais qu’ils étaient proches, extrêmement proches que je pouvais sentir leur odeur mesquine et crasseuse. Comme cette prison qui fut ma maison pendant plusieurs années. Mes pupilles violacées aperçu enfin ce groupe de malencontreux. Une série de signe, une morsure sur le dos de ma main, le sang rependu sur mon épaulière, les ailes de mon épaulière scintillaient pendant une fraction de seconde. Une ombre se forma dans le ciel et puis, plus rien. J’effectua un léger saut, puis, glissa au contre-bas de la grande dune, laissant dernière moi une trainée de poussière orangée et granuleuse. J’arrivais en bas, juste à quelques mètres d’eux. Une trentaine, tout au plus. Dans un bruit régulier, je sortis ma lame, elle sembla me murmurer quelque chose. Elle avait soif. Soif de combat et de sang. Cette vague de métal n’était pas les mille murmures pour rien. Je la rapprocha de mes fines lèvres rosées. Rapidement, ma langue sortit pour venir caresser le plat de la lame. Prenant appui sur ma jambe, je me propulsa vers le petit groupe de Nukenins. La mort incarnée frappera avec une violence sans pareil, une dance miroitante de douceur alors que le fouet de mon sabre aux ruines ruisselantes brillait de mille feux. L’armure n’avait pas stoppée ses innombrables motifs dansants. Telle une supernova, je fonçais vers eux, dans un cri animal. Ils me repérèrent bien entendu, ce tournant tous vers moi, les armes apparurent devant mes yeux. La fête était enfin en route… Mon regard ce porta sur le premier, un être plutôt redonnant. Avec surement une mobilité réduite. Il était le titre d’exemple pour les quatre autres. Ils allaient pouvoir voir les horreurs que je pourrais offrir à leur corps. L’être grossier s’avança d’un pas lourd vers moi. Un sourire carnassier apparu alors et sans stopper ma course, j’effectua un rapide demi-tour sur moi-même. La lame transperça dans une gerbe de sang noirâtre le ventre du mastodonte qui se rependu sur le sol du désert. L’inconnu tomba immédiatement, se mettant à genoux devant moi, ses mains tentant de retenir ses viscères. D’un geste vif, je posais un pied sur son épaule, mon sabre contre la gorge de l’homme. Me penchant, je lui murmurais à son oreille.

" Tu sais que la gourmandise est un pêché ? "

Apparemment, non. Il mourra pour son ignorance, dans un flot d’un liquide rougeâtre qui vint alors teinter mon armure de fer. Ses yeux roulèrent dans un silence de mort. Les autres ninjas surement bien trop choqués par mon acte tellement divin ne bougèrent point. Je passa ma langue sur mes lèvres, fessant disparaitre la légère goutte de sang qui perlait au coin de ma bouche. Quel goût délicieux ! Oui… Encore… Mais juste quelques goûtes, ma mission n’est nullement de l’assassinat. Mais de la capture. Malheureusement… Mais bon, ne crachons pas sur la nourriture n’est-il pas ? Quand je pense juste aux pauvres Genins qui doivent nettoyer les salles de classes de l’académie. Ma personne s’arrêta devant eux, je leva mon index devant eux. Les narguant. La provocation. Un art qui marche souvent, de plus que je viens de tuer leur pitoyable coéquipier avec une facilité déconcertante. Une esquisse de sourire apparut quand ils arrivaient, en ligne, kunai en main. Je leva ma vague de métal. La fête battait son plein. Cinq…Quatre…Trois…Deux…Un… Contact. Dans un bruit strident, épée et kunai se rencontrent, s’en suivit une chorégraphie des plus rapides, évitant avec aisances les quelques coups assez simple. Ma jambe balaya le premier venu d’un coup rapide, son corps rejoins alors son défunt compagnon. La seule différence c’est que cet idiot était encore en vie. Nullement le temps de venir l’immobilisé que je devais faire trois pas sur la gauche pour éviter un coup mortel, l’objet tranchant de mon ennemi effleura l’épaulière au signe d’aigle de ma cuirasse. La sous-estimation de mes adversaires était une faute que je ne devrais pas commettre pour cette mission. Mais ce n’est pas pour autant que ma tâche ne s’effectuera pas ! D’un revers simple je bloquais une nouvelle fois l’arme de mon adversaire avant d’infliger un coup de genoux à son bas-ventre. Se pliant alors, le poids de mon coude contre sa nuque vint mettre fin au combat contre ce dernier. Plus que trois. Pour l’instant, la facilité avait été de mise et l’amusement, donc moindre.

Une violente douleur percuta le bas de mon épaule, juste en dessous de la massive épaulière en signe d’aigle. Mon armure avait été endommagée par une simple lame mortelle ? Alors que mon sang chaud et délicat baptisé l’arme de mon ennemie, je dus me défaire de cette prise métallique. Dans une légère grimace, je me défis de l’estoc et je me retournai alors. J’arqua un sourcil, cela n’était-il pas l’homme redondant que j’avais tué ? Eh bien, le combat allait être plus intéressant qu’il y paraissait. Effectua une rotation complète, je me retrouvé encerclé. Effectivement, cinq contre un, je n’étais pas en position de force. La fin était proche… Voilà, enfin la mort était venue pour goûter aux âmes des mortels. Nous, pauvres jouets étions dépassés… La fin, était là. Pour mes ennemis ! Un cri animal rompu la vague de chaleur, un cri venant du ciel, une ombre apparaissait dans ce ciel azur sans nuage. Plongeant en piqué avec une rapidité sans pareille, l’adversaire qui était dos à moi succomba à la vue. Il était maintenant aveugle. Nan’kai, l’oiseau des ténèbres avait frappé. Mon invocation était arrivée au bon moment ! Profitant de cette mince ouverture, je plongea alors ma main libre dans le corps du défunt. La pourriture vivante poussa une vocifération d’outre-tombe. Ma main heureusement gantée attrapa le cœur décomposé du ninja. Serrant de toutes mes forces, son cœur se comprima lentement… Et explosa dans un bruit des plus délicieux. J’esquiva d’un mouvement de tête une autre lame, mais, cette dernière du alors ce planter dans mon épaule. Une autre grimace de déchirement survenu sur mon visage. Ressortant ma main, je retirais la lame et planta la mienne dans sa propre épaule. Puis, le pousser d’un geste du pied. Deux blessés, un mort bien mort et deux… fantômes ? Où étaient-ils ? Faisant demi-tour, j’observais les alentours. Rien.


Mon sabre baisa le désert de la pointe de son sabre, leurs frères d’armes jonchés le sol dans des pauvres gémissements. D’un cri, j’ordonnais leur silence. Je leva mon autre bras, et entendit. L’ombre dans le ciel, revint alors, l’animal ce posa dans un silence majestueux sur mon avant-bras. L’oiseau brumeux me regarda un moment et leva son aile droite, pointant le sol. Ils étaient en dessous… D’un geste de la tête, je remercia l’aigle ténébreux et il disparut dans un écran de fumée blanchâtre. Un sourire carnassier sur mes lèvres et ma lame se planta dans le sable. Un beuglement de douleur sortit du sable. Touché. Une tactique tellement misérable…

"Juste un conseil… Si vous ne voulez pas finir comme votre compagnon. C’est-à-dire : mort. Sortez du sable… "

Comme je me doutais, aucune réaction de la part des deux ninjas restant, enfin, hormis le blessé. Même pas sûr qu’il puisse bouger… Je me baissa lentement, puis, plongea tranquillement ma main dans le sable, Subtilisant le corps par les cheveux, j’extirpais le corps de sa cachette récemment découverte. Un air las sur le visage, je posais son corps contre le sol, il était vivant, c’était le plus important. Point. Plus qu’une seule personne. Je me releva tranquillement. Il faudrait quand même dépêcher, les nombreuses blessures aux autres ninjas étaient pour certaines profondes, cela serait bête qu’ils meurent en chemin… Un bruit de déplacement se fit entendre, une volée de sable apparut devant mes yeux, reculant d’un pas, une silhouette en sortit, un mince sourire sur mon visage, j’attrapais vivement le dernier prisonnier par le cou, exerçant une pression plus ou moins forte. Après quelques secondes, ma prise lâcha. Il tomba par terre. Mon pied congédier l’arme de mon attaquant puis posa mon arme sur la tête du dernier…

" Retour en prison ! "

Mon cri se perdit lentement dans les profondeurs de l’immense désert de sable. La mission était effectuée. Et seulement un mort et un blessé grave… Ce n’était pas si mal…



Je me suis permis de mettre de l’équipement que j’obtiendrais dans des Rôles Play futur. L’arme et l’armure seront sous Rp flash-back. Et pour l’oiseau, cela sera une invocation que je soumettrais à l’équipe Modératrice. Si cela dérange aucun souci, je changerais le Rp. Je post le profil de la bestiole quand même. Histoire que vous puissiez juger par vous-même la créature.


Spoiler:
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Eddas Vanes [Fini] Eddas Vanes [Fini] Icon_minitimeMer 2 Fév 2011 - 18:53

Tu peux faire ta fiche jutsu en tant que Juunin de rang B, bravo ^^'

Pour ce qui est de ton invocation, on verra le moment venu hein x)
Hunk Moroshi
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MessageSujet: Re: Eddas Vanes [Fini] Eddas Vanes [Fini] Icon_minitimeSam 24 Sep 2011 - 13:52

Bonjour/Bonsoir.

|- Direction corbeille.

Hunk.
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MessageSujet: Re: Eddas Vanes [Fini] Eddas Vanes [Fini] Icon_minitime


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