L’histoire s’écrit en lettre de sang ! Les hommes se battent et continuent de se battre toujours plus et encore plus longtemps. La vérité s’écrit par les vainqueurs et la vérité des perdants tombent dans l’oublie. Les choses sont ainsi faites, s’est la fatalité. Les choses ne sont pas toujours comme on le voudrait ou noir ou blanche, il y a dans ce monde des nuances de gris. Personnellement, je ne suis pas un saint. Mon cœur n’est ni noir ni blanc. Je ne sentais pas que j’appartenais à un groupe. Je suis parfois noir mais rarement blanc. C’est ça apprendre à être un humain. Je n’étais qu’un enfant mais je savais que j’étais bien plus rationnel que certains adultes que l’on qualifie de bien veillant. Mes élucubration me tenais à l’écart de mes compagnons, je n’avais pas besoin d’eux, je suis un être autonome, indépendant, je suis seul et je le resterais. Pour survivre dans ce monde de dingue, j’avais besoin d’entrainement. Pour ça, il fallait que je m’entraine. Je ne faisais que ça toute la journée de tout les mois.
Un jour, alors que je me trouvais dans ma salle d’entrainement, je testais un nouveau style de coup de pieds. J’aspergeais mon homme de paille avec des centaines de coups et des centaines de lancer de kunais. Au bout de quelques heures d’entrainement, je m’assis au milieu de la salle et je mis une cible de kunai sur chaque partie de la salle. Il y en avait 5 en tout. Je pris cinq kunais dans les mains et je courus vers le mur face à moi. Je pris appuie sur lui pour me retrouver la tête en bas au milieu de la salle, là j’ai jeté mes kunais, tous atteignirent leur cible sauf un. Il avait été dévié par un autre kunai. Je ne comprenais pas comment cela était possible. Je regardais autour de moi et je comptais les kunais présent dans la salle. Il y en avait 6 en tout. Six ? Il y en avait un de trop. Mes armes étant dans ma chambre, je ne pouvais me battre qu’avec mes mains. Je regardais partout mais je ne vis personne alors, quand je me remis au milieu de la salle d’entrainement, je reçu un coup sous le diaphragme se qui me projeta sur l’un des murs du dojo. Je me suis relevé et je regardais mon agresseur dans les yeux.
Il était sombre de peau, ses cheveux noir et long me rappelaient les fourrures des ours blanc que j’avais vus sur des croquis autrefois. Il ne portait pas de chaussure, juste un short coupé aux extrémités. Son torse était nu et au milieu de sa poitrine, une énorme éraflure couverte de sang. Son visage était tout creux et ses yeux étaient tellement vides. Je le voyais bien, cet homme avait déjà commit des actes criminel atroces mais il ne semblait pas être tellement puissant. Il avait un peu de bave couler de sa bouche mais je remarquais quelque chose d’étrange sur son avant bras. Il avait comme une trace de seringue. Il allait m’attaque je le sentais mais à présent je savais que c’était un spécimen drogué.
La drogue est vraiment une chose intéressante, à part le fait qu’on puisse devenir accroc à cette substance, c’est vraiment une chose exceptionnelle. Je ne comprenais pas pourquoi les hommes ne l’utilisaient pas plus souvent mais bon, je ne suis pas spécialiste en toxicologie. Je pouvais voir sur ses bras qu’il n’en était pas à sa première injection. A ma connaissance il n’y avait que quelque sorte bien spécifique de drogues communes : la turbo et la psycho. L’une donne une vitesse bien plus importante que celle que l’on peut trouver chez un chien ou autre spécimen rapide et exemple de félin. Vu qu’il n’avait pas l’air dans les vapes, il semblait qu’il avait pris de la turbo.
C’était devenu intéressant, la vitesse d’une drogue contre mon raiton. C’était vraiment devenu intéressant. Mon chakra contre une substance chimique. Alors que je venais de l’analyser brièvement, il se jeta sur moi d’un bond vif. Je lui donnai un coup de pied sur le torse alors qu’il était dans les aires, il roula à terre mais sauta de nouveau pour se redresser. Je chargeais mon chakra dans mes pieds et mes jambes, tellement que le sol sous moi devenait pratiquement conducteur d’électricité alors que c’était du bois qui est habituellement isolant. Mon chakra était instable et là, je chargeai vers mon adversaire et lui fit de même. Au bout d’une microseconde, Je me retrouvais, mes poings sur ces paumes en essayant de le pousse de l’autre côté de la salle. La collision dura plusieurs secondes et chacun essayait de pousser l’autre vers le côté opposé. Au bout de deux minutes d’effort intensif, celui-ci réussit à me faire baisser mes poings et me donna un coup de pied sur le visage. Je me retrouvais à terre et il me donna une bonne dizaine de coup sur le visage mais au onzième, je réussis à parer son coup et à le lui rendre. Je pus alors me relever comme lui. Il saignait abondement de sa poitrine. Il essaya de me cogne de son poing droit, j’esquivais et par la suite, je lui donnais un coup sur le torse avec la paume ouverte.
Il avait été projeté au mur avec une violence inouïe mais il se releva aussitôt. Il avait quelque chose dans son bras, c’était un bout de bois, il me le lança comme un kunai et je l’évitais facilement mais quand je déviai vers la droite, il apparut derrière moi et me mit ses mains autour de mon torse et fléchis son propre abdomen et ma tête cogna le sol. J’avais très mal mais je ne pouvais pas abandonné. Il se rua sur moi, s’agrippa à mon col et me lança comme une pierre jusqu'au mur, il me reprit par le col et me donna des coups au visage. Quand il eut fini de me tabasser, il me projeta vers le toit mais avant que je le touche, il se trouvait au-dessus de moi et mit son poids sur mon torse jusqu’au sol. A l’impact, je ressentis une douleur atroce et je recrachais un peu de mon sang sur le sol.
Après ça, il me laissa à terre et se dirigea vers la porte. Je n’avais pas dit mon dernier mot, je disais à mon corps de se déplacer et de se lever mais il ne voulait rien entendre alors, j’ai chargé une décharge électrique dans mon organisme pour le booster. Une fois debout, je criai à mon adversaire :
-Pas mal mais t’a pas assez rapide mon vieux.
Il se retourna les yeux injectés de sang et fonça sur moi d’un coup. Je chargeai mon chakra dans mes mains, l’intégralité de mon énergie. Quand l’impact se fit sentir et maintenant, c’était moi qui tenait ses mains dans les miennes. Je poussais un hurlement et je le repoussais ! Il fut projeter sur le mur et le détruit littéralement pour passer à travers et s’arrêter sur un arbre.
Il était inconscient et à présent ne représentait plus de menace. Soudain un ninja apparut affolé et me dit pressement :
-Hey ninja, Junki, un spécimen drogué s’est enfui de la prison, la mizukage offre cette mission à qui l’accepte.
Je souris en lui montrant du doigt le ninja pratiquement dans les vapes et il me regarda d’un air étonné. Au moins j’avais effectuer une mission.