Il croyait pouvoir me vaincre se salle nukenin. De son niveau, je soupçonnais un ninja de rang B. Il croyait avoir le dessus sur moi mais il ne savait pas qu’un Genin pouvait être aussi puissant. Non, il ne le savait pas. Je me trouvais, comme vous l’avez compris, en plein territoire hostile. J’avais fait une petite balade dans la forêt juste comme ça, pour me détendre. Je vois devant moi une cabane abandonnée. Je pense directement à des clandestins tenant refuge sur le territoire kirien. Mais non, en réalité, j’entre dans la cabane et qu’est ce que je vois ? Un dépôt d’arme ! Des katanas, des shuriken et toutes sortes d’arsenal ninja dont vous n’avez même pas l’’idée. Je me voyais bien en plein territoire ennemi fait comme un rat mais quand je suis ressorti et redescendu de la cabane, je ne vis personne. Je décidais de pointer ce lieu sur ma carte pour revenir avec une escorte afin de trouver le possesseur de ces armes probablement d’importation illégale. Personnellement, je ne crois pas en la justice. La justice doit rester divine et non un groupe de lois crée par les hommes ! Mais attention, je ne crois pas non plus en l’anarchie. Bien évidement, sans règle, ce serait le chaos. Je n’aime pas le chaos, mais j’aime l’hostilité. Je suis donc redescendu et je n’ai pas vus âme qui vive aux alentours. Je me demandais comment des marchands d’arme pouvaient se permettre de laisser leurs marchandises sous les regards indiscrets. Je compris alors qu’il s’agissait d’un piège. Certes, je n’en ai pas beaucoup dans les muscles mais j’en ai dans la caboche. Et ma supposition c’est révélée confirmée quand j’entendis un bruit suspect de corde. Sur ce, je vis une pluie de kunais venir du ciel, de la gauche et de la droite. Ne pouvant pas l’esquivé sans rien faire, je concentrai mon chakra dans mon abdomen et je le fis explosé autour de moi comme une vague de vibration. Tout les kunais furent déviés de leurs trajectoires et je n’avais qu’a contré les derniers avec mon katana. Je ne savais pas encore si il s’agissait d’un piège ou juste d’une personne qui envoie les kunais. Dans mon investigation en cour, je continuais de rester sur mes gardes et je faisais des petits sifflements pour signaler à mes potentiels assaillants que j’étais toujours en vie et bien là. Après trois bonnes minutes de garde, je baissais celle-ci et c’est là que je vis une ombre noir devant moi comme si elle s’était téléportée ! Elle me donna un coup sous le menton en s’appuyant sur le sol et alors que j’étais en l’air à cause de son attaque. Elle me fit un enchainement de coups de pied, trois pour être exact. Un au torse, un à la tête et un au dos. Mais… J’y pense… je reconnaissais cet enchainement de coups de pieds. C’était la jeune fille que j’avais combattu il y a maintenant 2 mois. C’était incroyable. Elle me donna encore trois coups sur le ventre et je me retrouvais à terre. Je me relevais presque automatiquement car depuis la dernière fois, j’avais gagné en assurance et en résistance. E me retrouvais à environ 5 mètres d’elle. Elle avait toujours sa capuche sur la tête. Je la regardais cherchant un fin brin de son visage à travers son braquage de tissu. Je pris ma chaine d’une main et mon katana de l’autre et c’est là que je les ai vus. Des dizaines de silhouettes autour de nous ! Je les voyais, toutes autant qu’elles sont. Il y en avait environ 45 ! Que des shinobis d’après leur carrure. Je ne pouvais pas le croire, j’étais tombé dans un traquenard. Je ne pouvais pas fuir mais je ne pouvais pas non plus résister. C’est là que je me mettais à parler pour la première fois de cette journée.
-Vous pensez que je vais fuir ? J’y aurais tout intérêt mais à quoi bon. Je préfère tous vous écraser. Je les voyais, des gros des maigres, des grands des petits, tous sou la même cape noire que mon premier adversaire. Ils sautèrent tous sur moi, je ne pouvais rien faire sans en blesser. Je me tournais vers la jeune fille qui avait enlevé sa capuche et libérée sa chevelure couleur de feu et ses yeux vert si beau ! Je lui dis : désoler. Je le dis d’une voie si douce et pleine de réconfort que s’en était à peine perceptible mais je la vit pleurer. Je regardai en l’air, ils étaient toujours là, jouant avec la gravité et s’apprêtent à tomber sur moi. Je sautai donc en l’air, face à eu. Et je fis ma technique de téléportassions, celle qui n’a besoin d’aucun mudras. Je me téléportais en haut du gros tas de shinobi qui se trouvait sous moi. Dans les aires au dessus d’eux, je composais quelques mudras et je concentrais tout mon chakra dans une seul technique : le phénix de foudre ! Après avoir effectué les mudras, un énorme phénix sortit de mes mains et rasa tout le périmètre en dessous de moi. Il brûla mortellement la moitié des shinobi qui, étant dans la trajectoire de mon phénix, ne pouvaient rein faire. Mon phénix faisait plusieurs fois le tour du périmètre de combat et en balançait plus d’un dans les arbres et dans les aires tant cette technique était puissante. Je ne pouvais rien faire pour eux, ils avaient testé mon courroux. Je redescendis à terre et annulai ma technique. Je ne voulais pas faire trop de dégât à mon environnement. Je pris mon katana et je me préparais à tuer les survivants car je savais qu’il y en avait. Quant à ma jeune (ami), je la voyais à terre, effondrée. Je regardais autour de moi, il n’y avait que des cadavres. Seul deux gros mecs baraqués étaient capable de se battre car visiblement, ils n’avaient pas été touchés. Ils ont effectués des petits mudras et on crée une boule de feu qui se dirigea vers moi avec une vitesse fulgurante. Je pris mon katana et je courus vers les flammes. Je pris très vite une pilule de chakra militaire et tout mon chakra me revenait. Je le concentrais en petite partis dans mes main, équitablement de chaque côté. Je mis mes deux mains en avant et je fis ce que tout homme non sain d’esprit aurait fait. Je libérai mon chakra en vibration invisible se qui dissipa les flammes de mes adversaire. Je courus ensuite vers mes assaillants et c’est là qu’a commencé la boucherie. L’un a essayé de m’attrapé de sa main, je la lui suis ai et alors qu’il continuait de hurler de douleur, je donnai un coup de pied dans le torse de son partenaire. Ce dernier se baissait et j’en ai profité pour mettre ma main sur son crane et lui insuffler du chakra dans le corps. L’autre se relava et essayer de me décapité avec son pied tout en essayant de garder pour lui sa douleur mais je réussis à esquiver le coup et je lui perforais la cuisse droite. Par la suite, celui que j’avais électrocuté se releva lui aussi et pour ma part, je sautais, je pris appui sur leur deux épaules et je sortis mon deuxième katana que je plaçais dans ma deuxième main et je leur découpais la tête pour les délivrer de leur souffrance. C’est là que, sans m’en rendre compte, je reçu un coup de pied dans le torse, je fus projeté sur 10 mètres et je me fis encore taper sur le dos cette fois-ci et cela me projeta dans l’autre direction. Je ne voyais pas bien, j’étais au pied d’un arbre et je voyais une silhouette, de taille moyenne, avec un couteau à la main. Il s’approchait de moi à petit pas. Il avait l’air bien plus puissant que les autres. Je pus lire le pictogramme chef sur sa tunique. C’est là que je pensais tout haut : Il pouvait pouvoir me vaincre se salle nukenin ! C’était comme ça que je me retrouvais comme ça (quelle ironie). Je pouvais à peine me mouvoir. Je pris mon katana et je pris appui sur lui. Je le vis soudain disparaitre et il m’agrippa la tête de derrière moi ! Il avait le pouvoir de téléportassions ou quoi ? Il me serrait la tête de ses deux mains et me la pressait comme un citron. Je croyais que j’allais mourir. Je concentrais mon chakra à ma chaine qui se trouvait toujours accroché à mon bras. Je la fis transpercer le torse du shinobi. Il me relâcha et je me mis à distance. Là, la jeune fille que j’avais épargné et qui finalement, avait arrêté de pleurer me dit tout en effectuant des mudras :
-Faites ces mudras et le noir envahira le monde.
Je les fis et là, le monde devint effectivement noir ! Pas dans le sens figuré, non… Mais il était vraiment noir ! On ne voyait plus rien mais je pouvais moi, voir mon ennemi qui lui semblait me chercher avec fougue. C’était un sort de genjutsu qui consistait à plonger mes adversaires dans l’obscurité. Mais mon ennemi n’était pas un débutant ! Je le vis crée des boules de feu dans ses mains et il pouvait ainsi s’éclairé du moins le pensait il. En effet, ce n’était pas que j’avais éteint la lumière, il ne pouvait plus rien voir. Ce n’était pas l’environnement, il ne pouvait rien voir en mettant de la lumière! Je me rapprochais de lui sans faire un bruit et il ne m’entendit pas, j’approchais lentement à cause de mes blessures qui s’aggravaient. Je commençais à voir trouble. Je pris mes deux katanas avec encore plus de conviction dans mes mains. Quand je fus à proximité de lui, je lui enfonçais mes katanas dans son corps ! L’un après l’autre. Et je les retirais et je les renfonçais dans des endroits différents. Je les retirais au bout de 8 coups. J’annulais mon sort et je revoyais mon environnement et la jeune fille. Elle me regarda sans aucune expression. Elle était touchée. Je me rapprochais d’elle, se n’était pas moi qui lui avait fais cela. C’était le «chef» ! Je devais l’emmener à l’hôpital. Elle m’avait aidé en m’apprenant une nouvelle technique de genjutsu qui me servira surement à l’avenir. Je la pris sur mon dos et je commençais à marcher sur la route de l’hôpital. Je marchais lentement à cause de mes blessures mais elle ne pouvait pas marcher, elle avait une entaille au tendon. Elle ne disait rien et je n’en attendais pas plus. Pas par pas, chacun était plus difficile que l’autre. Une demi-heure après, je me retrouvais au village et qui plus est, à l’hôpital. Je la mis sur une chaise roulante et demandai un médecin. Je voulais qu’on l’examine. Je la regardais sur la chaise, un œil fermé par la douleur. Elle me rabaissa ma capuche alors que j’étais à côté d’elle et elle me donna un baiser à la joue avant de repartir pour sa nouvelle chambre. Dès qu’elle disparue de mon champ de vision, je m’écroulais à terre sans aucun souvenir. Je ne me souviens que d’une chose, à mon réveil, je voyais la des fleurs à mon chevet. Je regardais si il y avait un mot mais il n’y avait qu’un mot : Célia. J’avais au moins appris une technique de rang B sans véritable entrainement.
la technique de rang B, il s'agit de:
Nom : Kougangyou no Jutsu
Peut être dissipée grâce au Kai ? Non
Grade : Juunin
Description : Consiste à plonger le décor dans un noir total où seul l'utilisateur peut voir ses ennemis. Les autres ne voient rien.