« Petit bateau sur l'eau »

Titre rançais

Bon, aujourd’hui c’est du sérieux. Une troisième mission de rang B à la suite. Autant dire, que les dirigeants du village ne me ménage pas, mais alors pas du tout. Bon c’est vrais, je ne m’en plain pas, bien au contraire. Car il faut l’avouer, je préfère ce genre de mission, à celle plus simple et basique, qui consiste à cueillir des pommes de terre par exemple, assez simpliste certes, mais qui reflète bien la chose. Alors, lorsque le soleil chasse les ombres de ma chambre, je suis déjà prêt pour partir. Je vérifie ma sacoche une dernière fois, tout est en place, kunai, shuriken, parchemins explosif et autre ration de mission. Tout ce qu’il me faut, pour une mission d’une telle importance. C’est quoi, ça peut sembler futile, le fait d’être content d’avoir une troisième mission de ce rang en peau de temps, mais je suis ainsi. Il m’en faut peu pour être heureux, du moins pour le montré, car pour l’être réellement, c’est tout autre chose. Enfin bref.

Me voilà à marcher dans le froid matinale et la brume normale de Kiri. Je m’étire tout en avançant, soupirant alors que je poursuis mon avancé dans le village. Cela fait longtemps que je ne suis pas partit en mission solo. La dernière en date, c’est celle que j’ai effectué en famille, dans les montagnes de Kumo. Là, ils dorment encore, alors que je suis dans le froid que j’apprécie, n’étant pas fan des grandes chaleurs. Sans doute pour cela, que je ne suis pas destiné à vivre dans le grand désert, au sein du village caché du sable, à savoir Suna. A l’heure actuelle, je dois me rentre au port, pour y prendre le bateau, qui me conduira non loin du village, ou je suis sensé trouver maitre Mizukage, afin de pouvoir récupérer les infos qu’elle a récolté. Encore un voyage en mer, encore quelques jours dans ma cabine et soirée sur le pont.

C’est ainsi, je ne suis pas fan des voyages de jour en bateau. Non pas que je sois malade, mais avec tous les marins qui s’agitent à bâbord et à tribord, je préfère encore le calme de mon lit de fortune. Au moins, personnes ne viens me déranger. Que ce soit les gamins, qui sont sur un bateau pour la première fois, ou encore les vieillards. Je passe les portes du village, un bref signe de tête aux gardes. Je marque une pause. Un dernier regard derrière moi, quelques secondes avec les yeux fermés. De nouveau, je scrute l’horizon et sans prévenir, je cours à toute vitesse, souhaitant prendre le premier bateau, histoire d’être tranquille. Je connais la surface de mon objectif, mais une fois au calme de ma cabine, je compte bien lire en détails le parchemin de ma mission, pour être au courant de tout, mais surtout éviter les mauvaises surprises éventuelles. Toujours plus vite, je m’avance, je sais que ma destination première n’est pas très éloignée d’ici.

Preuve en est, que je vois devant moi, l’étendue du port. Nombre de marins y sont déjà occupés, que ce soit à surveiller les bateaux, ou encore à les charger. Chacun son boulot. Au moins eux, n’ont pas directement à se soucier des problèmes des ninjas. Leurs dangers est tout autres, tempête en pleine mer, ou autre déchainement climatique, alors qu’ils ne peuvent compter que sur eux-mêmes. D’un certains point de vue, en fait eux comme nous, on des obligations similaire, dans des conditions égale. Le danger est de toute manière, présent partout, sur terre comme sur mer. La vie elle-même est dangereuse. Pour ça, en tant que ninja, je dois rendre celle des autres plus facile et fort plaisante. Enfin, trêve de pensées, je ralentis ma course, pour marcher plus doucement vers le quai principal. Je m’adresse à plusieurs personnes, avant de trouver un capitaine qui accepte, de me déposer au plus proche possible du village de Kiba. Il me prévient que le voyage sera un peu mouvementé, mais c’est le plus rapide pour atteindre le dit village. Donc j’accepte et lui tend les ryos pour le payer. Me voilà embarqué, au milieu des autres passagers, que je quitte assez rapidement, direction ma cabine.

« Message dans le sang »

Titre rançais

Le voyage en bateau va me permettre d’être plus rapidement à Kiba. Par contre, apparemment le retour devra se faire à pied. Bon ce n’est pas grave, par contre je vais devoir redoubler de vigilance en étant à terre. Pour le moment je ne crains rien et déroule le parchemin, histoire de savoir un peu plus sur ma mission. Tranquillement installé, je lis ce qui est écris. Donc, comme on me l’a expliqué au Palais, je dois rejoindre maitre Mizukage. Bien, cette partit de la mission est des plus simple. La seconde l’est bien moins et surtout plus risquée. Pourquoi ? C’est simple, une fois le parchemin scellé par Akari en ma possession, je dois rentrer le plus rapidement possible à Kiri. Seulement, il y a de fort risque d’être attaquer par des nukenins, qui souhaite dérober les informations de notre Kage. Elle est en mission de rang S et ça doit rester secret, car si les bandits l’apprennent, ils vont vouloir s’en prendre à la Shishidaime. Je vais éviter le combat, de toute façon, si je suis attaqué, ça ne sera pas par de simple bandits des grand chemins, j’en suis certains de cela.

Je range mon ordre de mission et laisser une micro sieste prendre le contrôle. Ainsi je ne vois gère le temps qui passe et bien vite, nous voilà arriver au port situé non loin de Kiba. Je sors de ma cabine, après deux trois étirements et attend que le bateau s’arrête et que l’on puisse descendre. Je me sens d’un coup bien mieux, quand mes pieds touchent le dur sol des lieux. Je me dirige vers un petit marchand, histoire de lui prendre une carte et lui demande des indications sur le chemin pour Kiba. Le village n’étant vraiment pas loin d’ici, y aller sera assez rapide, c’est le trajet jusqu’au village de la brume, qui sera bien plus long. En tout cas, je constate la véracité de ses dires, quand peu de temps après mon départ, je vois déjà les portes du petit village. Je réfléchis à l’endroit où je suis sensé retrouver maitre Akari et m’y dirige, suivant les instructions reçu à Kiri.

Elle est là, dissimulé dans l’ombre, de telles façons, que sans lui prêter la moindre attention, on peut passer près d’elle, sans pour autant remarquer sa présence. Heureusement que je suis sérieux, sinon je crois que maitre Mizukage m’aurai pris par la peau des fesses et trainer dans la ruelle de force. Enfin, elle n’a pas à le faire et c’est tant mieux pour mon popotin. Nous n’échangeons pas le moindre mot, elle me donne simplement l’objet de la mission, de ma mission. Puis un simple regard, lui demandant silencieusement de bien faire attention à elle, tout comme sans doute, elle souhaite la même chose de moi. Je quitte donc la ville et avance le plus rapidement possible, courant même, comme jamais je crois je n’ai couru. Car il n’y a plus qu’une seule chose dans ma tête : La réussite de cette mission et rien d’autre ne dois m’entraver.

Après un certain temps .Je change en souriant souvent le chemin de quelques mètres, préférant les petits chantiers a la grande route principale. Je passe ainsi parmi les arbres, ne prêtant pas pour une fois, la moindre attention au ciel, simplement concentré sur les alentours, m’assurant que personne ne tente quoi que ce soit contre moi. De toute façon je dois faire autre chose, que chercher les petits oiseaux du regard dans le dit ciel. Des branches craquent quelques part derrière moi, le bruit est assez net, brise le silence pesant de manière assez peu discrète, mais surtout grotesque. Enfin un peu d’action, je ne dois pas montrer que mon ou mes poursuivants sont repérer, je fais comme si de rien n’est et poursuis ma route. Dans ma tête je prépare un plan, aux bruits que j’entends, ils ne sont pas plus de trois, deux au moins. En tout cas, je ne sais pas grand-chose d’eux, si ce n’est qu’en terme de discrétion, difficile de faire pire que cela. Intérieurement je souris, alors que je pose pieds sur l’herbe d’une vaste plaine et ralentis mon avancé.

Je me retourne et fait face à mes poursuiveurs. Ils sont bien au nombre de deux en fait. Un premier ne perd pas de temps, pour s’élancer vers moi, un court sabre en main et donne quelques moulinets dans le vent, d’une façon bien piètre, dans un but bien mystérieux, car je doute que ce soit pour me faire peur, ou alors c’est qu’ils sont aussi stupides que laid. En tout cas ses attaques ne me font pas peur et j’esquive simplement. Puis, ayant un peu marre d’être inactif, je passe à l’assaut et commence avec un trio de parchemins explosif, deux vers le premier agresseur, celui à la lame et un troisième vers celui en retrait. Alors que les explosions se font entendre et voir, je ne perds pas de temps pour frapper le sol de toute mes forces, recréant les dégâts d’une secousse, qui brise le sol dans la zone face à moi, si bien que les explosions, en plus de causer leur dégâts de bases, brise la roche et projette des éclats sur les deux ennemis. La fumée disparais lentement, souffler par le vent qui passe. Un des adversaires est encore au sol, se dégageant dans bien que mal des débris. L’autre semble en moins bonne état, ayant encaissé les deux explosions sans la moindre protection.

Celui encore en vie se tiens face à moi. Pourtant, il ne semble pas vouloir attaquer, sans doute sous le choc de la mort de son camarade. Je ne sais pas qui les envoie ici, mais bien que leur mission soit sans doute de me tuer, pour avoir le rouleau, je ne laisse place à aucunes émotions et me prépare à le tuer. Quelques mudras plus tard c’est finis pour lui, un épais nuage de poison le recouvre totalement, au fond, je suis navré d’avoir dû le tuer dans une telle condition, mais s’il n’était pas décider à se défendre, plus tard, il sera mort aussi et sans doute, dans des conditions plus difficiles que celle-là. Comme j’ai dit, je ne fais pas d’émotions et reprends dans la minute le chemin pour Kiri, qui n’est plus très loin, après tout le long temps, qui est écoulé depuis que j’ai vu la Mizu à la ville.

Enfin, les portes sont visibles devant moi. Pourtant, tout au long du trajet restant, j’ai eu l’impression d’être surveillé. Aussi, une fois devant les portes de la Brume de Kiri, je transmets un message de méfiance aux gardes, car il est possible que des nukenins fassent leurs apparitions. Puis, sans perde plus de temps, je me rends au palais d’Akari, pour déposer le rouleau au service des spécialiste de décryptage, qui ce chargerons de la suite. Je reste méfiant tout de même, car avec les brigands dehors, il y a toujours des risques d’attaques dans la zone autour de village caché de la Brume.