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Maitrisons la foudre. Ou protégeons là.

InvitéInvité
MessageSujet: Maitrisons la foudre. Ou protégeons là. Maitrisons la foudre. Ou protégeons là. Icon_minitimeVen 18 Nov 2011 - 18:00



.:I Constitution d'une équipe... I:.

"Ange plein de bonté, connaissez-vous la haine,
Les poings crispés dans l'ombre et les larmes de fiel,
Quand la Vengeance bat son infernal rappel,
Et de nos facultés se fait le capitaine?
Ange plein de bonté connaissez-vous la haine?"


Maitrisons la foudre. Ou protégeons là. 665235349renderKyo

Cela ne faisait même pas un an que je faisais partie de ce village… Les trois quart de ses habitants me fixaient toujours avec autant de suspicion et si je n’avais pas été kunoishi avec l’image qui va avec, certains ne se seraient pas gênés pour me mettre dehors. Autrement dit, au sein de Kumo no Sato je n’étais pas la plus appréciée avec mon passé plutôt sombre et surtout le fait que je ne possédai aucun bandeau lorsque je l’intégrai ce qui insinuait clairement que j’étais une ancienne nukenin… Bref, j’étais en gros la personne à qui on ne parlait pas vraiment et qui ne trainait pas avec ses collègues… Je vous laisse donc imaginer ma surprise lorsque l’on me nomma bras droit de Haine Mizuki. Sur ce point là c’était compréhensible, étant quelqu’un qui ne paraissait pas forcément fidèle il avait voulu m’avoir près de lui afin de mieux me surveiller. Mais de là à me confier trois chuunins de Kumo alors que j’en avais descendu un il y avait peu de temps… Ca frôlait la folie ou bien le coup fourré.
Sur ces récents événements, j’avais tenté de négocier avec l’administration pour leur tirer les vers du nez mais ils m’affirmèrent tous non sans incompréhension que ce n’était pas eux mais le kage lui-même qui constituait les équipes. Quel beau cadeau pour commencer… Je ne manquerai pas d’aller lui en toucher deux mots.

« Voyons, ça nous fera de nouvelles petites proies…
Tu sais très bien que ce n’est pas par gaieté de cœur que j’ai tué Ketsueki.
Il le fallait… »

J’avais repoussé au maximum le temps de la première réunion en équipe mais avais néanmoins fait un effort en me renseignant sur les membres de celle-ci. Constituée de trois chuunins, comme je l’ai dit plus haut, ils n’avaient de point commun que le grade car leur niveau était assez varié et certains auraient mérité un titre un peu plus élevé. Constitué comme très souvent de deux garçons et d’une fille, j’allais devoir veiller au grain pour que sexisme et tentative de rabaissement ne soient pas mis en vigueur au sein de la formation… Les garçons n’avaient pas de chance, j’étais particulièrement féministe et ne tolérais aucun macho près de moi. Evidemment, ils n’étaient pas forcés de le savoir…
Le premier était un jeune chuunin du nom de Kazaru Taiko. Plutôt discret sur ses aptitudes, j’avais néanmoins suffisamment gratté dans les papiers pour savoir qu’il était possesseur du fuuton. Affinité facilement combinable avec d’autres, il allait néanmoins falloir qu’il s’ouvre aux autres pour y parvenir… A méditer… De haut niveau pour son grade, il était le plus expérimenté des trois et semblait particulièrement silencieux au vu des commentaires marqués sur sa personne. Bien, on commençait par un géni muet… Combien de temps tiendrait-il jusqu’à ce que son esprit explose de tant de retenue ?
Le deuxième, ou plutôt la deuxième, était Rina Atsuro. D’humeur changeante, nul ne savait pourquoi, elle contrôlait le doton ainsi que quelques bases de genjutsu. Dix-neuf ans et déjà femme, il me semblera bizarre de l’avoir comme élève alors qu’elle atteignait presque mon âge… Ses capacités seront néanmoins pratiques pour la discrétion et la filature. De plus, elle pouvait très bien s’adapter à beaucoup d’autres affinités, c’était un bon point.
Le dernier était une vieille connaissance… Gargonith Manjome avait été mon protégé il y avait quelques temps. Il semblait avoir bien augmenté et ses affinités n’avaient en tout cas pas changé. Me reconnaitrait-il ? J’avais modifié mon apparence physique mais il est des regards que l’on ne peut oublier. C’était sans conteste le seul que j’avais envie de voir avec un intérêt tout particulier bien que je ne dédaignais pas les autres.

Il est temps de prévenir tout ce petit monde… Murmurais-je tandis que je sortais de chez moi.

Attrapant un coursier, je lui tendis trois messages qu’il devait remettre à mes trois élèves. Leur demandant de se rendre sur la corniche la plus avancée de la falaise faisant face au sud, le rendez-vous avait été fixé à midi pile ce qui signifiait plusieurs choses. D’une ils n’auraient pas le temps de déjeuner, donc ils allaient devoir s’adapter, et de deux je leur demandai de gravir deux bonnes centaines de roche. Oui, je commençais déjà les mettre à l’épreuve… Certes, c’était plutôt simple mais je voulais voir de quelle manière ils allaient s’y prendre. A pied sans technique ça leur prendrait au moins une heure. Se lèveront-ils plus tôt pour cela ? A voir…

Vous souhaitez qu’ils soient livrés quand ?

Ramenée à la réalité par le jeune homme qui tenait son sac de lettres contre lui, je levai les yeux vers le ciel et fixai le soleil. Il était encore très tôt, les commerces ouvraient tout juste et on entendait les chefs cuistot se mettre au travail dans le restaurant. Tôt, oui, mais il fallait quand même les prévenir à l’avance…
Rabaissant mon regard pour fixer le coursier qui attendait toujours une réponse, je murmurai un ‘’maintenant’’ avant de tourner les talons après lui avoir glissé quelques ryos dans la main. Déjà qu’avec mon image on ne m’appréciait pas, sans lui laisser un pourboire il aurait été capable de ne pas s’exécuter dans les temps…
Occupant donc ma matinée après avoir pris un solide petit déjeuné puisque je savais à l’avance que je ne mangerai pas de sitôt, je me demandais quels étaient ceux qui seraient en retard et ceux qui ne le seraient pas. Comme ils n’avaient pas été prévenu les jours d’avant, ils pouvaient très bien dormir jusqu’à midi passé sans voir le message à temps… Au moins je verrai qui sont les couches-tôt et les fêtards.

« Il serait temps d’y aller
Bien. »

Me levant de la terrasse où je m’étais assise, je sortis du village tranquillement, ne prenant pas garde aux citoyens qui s’affairaient autour de moi. Il n’était pas encore l’heure du rendez-vous mais y arriver en avance était plus que préférable, d’autant plus qu’être en retard lorsque l’on est à la tête d’une équipe pourrait être perçu comme de l’incompétence… Mais l’étais-je ? La pédagogie et moi, cela faisait deux. Sans blague… Vous me voyiez avec des jeunes à ma charge ? Heureusement que ce n’était pas des genins…
Lorsque je fus suffisamment éloignée, un tigre ailé de métal s’extirpa d’une flaque en fusion brutalement apparue. Me juchant sur sa croupe d’un mouvement fluide, il s’élança dans le ciel ne laissant qu’une vague trainée argenté dans son sillage.

Quelques minutes plus tard, ayant pris pied à terre, je me trouvais assise sur la pointe de la corniche où avait lieu le rendez-vous. Les jambes battant rythmiquement la paroi au dessus du vide, je me tenais nonchalamment appuyée sur mes bras rejeté en arrière et malgré les fortes bourrasques de vent qui se heurtaient à moi je restai immobile. Il était bientôt l’heure… Qui allait venir en premier ?

"Je mise tout sur la fille...
Pourquoi donc?
Les femmes montrent plus de politesse que les hommes.
Tout dépent du degré de motivation..."

Esquissant un sourire, je fermai lentement les yeux et me laissai envahir de la saveur de toutes les autres sensations qui envahissaient mon être. Le pari était lancé... Et pas uniquement celui à propos de la ponctualité, hm? Que dirait Kisame-sama s'il me voyait ainsi...!




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MessageSujet: Re: Maitrisons la foudre. Ou protégeons là. Maitrisons la foudre. Ou protégeons là. Icon_minitimeSam 19 Nov 2011 - 12:44


Réunion... Au sommet !


Il faisait noir. Je flottais. Non, pas dans les airs. Sous terre, précisément. J’émergeais du sol, scrutant les environs. J’étais dans une galerie sombre et froide, aux parois carrelées avec un mur entièrement recouvert de grands tiroirs en métal. La mort empestait. Bien, j’étais au bon endroit. Personne n’avait remarqué ma présence. Je m’avançais vers les casiers. J’en ouvris un au hasard, découvrant le cadavre grisâtre d’une jeune femme, horriblement mutilé. Ce n’était guère le bon. Je me mis fébrilement à tous les ouvrir un à un. Tous nus, glacés, malsains. Les visages blancs et froids tournaient autour de moi, animant ma course frénétique. Je tremblais. Je l’avais enfin trouvé. Le corps sans vie de Seigi gisait devant moi. Tu n’avais pas changé… Sortant un pinceau de ma sacoche, j’inscrivais sur son torse une série de signes à l’encre noire. Des pas. Quelqu’un arrivait. Le moment n’aurait pu être mieux choisi. Je ne voulais voir le visage de ma future victime. Baissant les yeux et posant ma main au sol, je le sentis se rapprocher de la salle des morts. Il était là. Ne lui laissant guère le temps de comprendre ce qui se passait, je fis se soulever la terre de sorte à ensevelir chacun de ses membres, laissant seulement apparaitre le tronc. Je n’avais que peu de temps avant qu’il n’étouffe. Il fallait faire vite. J’inscrivais une nouvelle série de symboles sur son corps agité de convulsions. Posant cinq doigts dessus, je composais rapidement des signes de mon autre main. Avais-je réussi ? Je me relevais et reculais de quelques pas. Plus que quelques secondes. Ses tremblements avaient cessé. Un souffle rauque se fit entendre derrière moi. Le cadavre de mon défunt ami se recolorait. Ses yeux s’ouvrirent.
- Combien de temps ai-je dormi ? Me demanda-t-il en arborant un sourire carnassier.
- Aucune idée. Je suis descendue dans les enfers pour t’y chercher... Tiens, je t’ai apporté quelques vêtements, lui indiquais-je en lançant un regard en direction de ma victime, alors que la terre reculait, dégageant ses membres.
- Nous ferions mieux de partir rapidement, poursuivis-je pendant qu’il s’habillait. Je pense que certaines personnes nous attendent impatiemment…
- Allons-y.
Nous sortîmes de la morgue. L’air était frais, une légère brise soufflait. La nuit était calme, seules les étoiles semblaient avoir remarqué notre présence. Je détachais mon bandeau, qui tomba silencieusement sur le sol sablonneux de Suna, poursuivant mon chemin en le laissant derrière moi.




Je me réveillai en sursaut. Il faisait encore nuit. Quel rêve étrange. Il paraissait si réel… Perturbée, je décidai de me lever. De toute manière, il me serait impossible de me rendormir, mon esprit était trop agité. Par ailleurs, je m’étais couchée tôt la veille ; arrivée à Kumo depuis quelques jours seulement, je n’y avais à vrai dire aucun ami, mes soirées étaient généralement courtes et solitaires. Une fois douchée, habillée et maquillée, je sortis discrètement de chez moi en prenant garde à ne pas faire trop de bruit pour ne pas réveiller les voisins.


Errer seule dans les rues que la nuit avait dépeuplées me faisait du bien. « Tu ferais mieux de t’entrainer », me souffla une voix à l’intérieur de ma tête, couramment appelée « conscience ». Il fallait admettre qu’elle n’avait pas tort… Aussi, tout en continuant de marcher de manière nonchalante, j’entrepris de modifier l’apparence de l’environnement qui m’entourait afin qu’il s’accorde avec mes pensées vagabondantes. Satisfaite de mon sérieux et de ma rigueur, je décidai de suspendre mes exercices intensifs. Le soleil se levait, les voies s’animaient peu à peu, certains commerces ouvraient. Je m’assis à un comptoir et commandais un thé rouge. La température de la boisson réchauffait mon cœur et mes pensées, dissipant les relents de mon songe dérangeant. Il faisait complètement jour, désormais. Il était temps de rentrer chez moi pour piocher mon étiquette quotidienne.


Une lettre était glissée sous ma porte. La première depuis mon arrivée. Je refermais la porte avant d’ouvrir l’enveloppe.


« A Rina Atsuro, équipe n°3. Rendez-vous à midi sur la corniche la plus avancée de la falaise faisant face au sud. K. Kalinko, chef d’équipe ».


Les choses devenaient intéressantes. Qui pouvait bien être K. Kalinko ? Quel âge avait-il ? Etais-ce un homme ou une femme ? Je devais admettre que mes espérances penchaient vers la seconde solution. Je serais plus à l’aise en l’absence de toute ambiguïté. Toutefois, il fallait reconnaitre que la perspective d’une aventure avec mon chef d’équipe ne me déplaisait pas non plus.

Mes préoccupations se tournèrent ensuite vers mes deux coéquipiers. Je serais sans-doute la plus âgée des trois, en raison de mon parcours atypique.

J’étais un peu inquiète. Mon regard se posa sur la sacoche noire rangée au coin d’une petite table. Affreux dilemme. Devais-je jouer aujourd’hui, compte tenu des circonstances particulières que constituait mon premier contact avec mon équipe ? Si je commençais à faire une exception maintenant, ne ce serait-ce pas la fin des habitudes héritées de mes six dernières années ? Le souvenir de mon rêve de la nuit passée acheva de me décider. Etsumi, Naoko, Seigi… Il fallait continuer, quoi qu’il arrive, c’était la seule chose qui me restait de vous…

Plongeant ma main droite dans la bourse noire, j’en retirais un bout de papier froissé. Je le déplais fébrilement.

« Superficielle ».

Un rire nerveux m’échappa. Cette journée ne sera pas triste !

M’imprégnant de mon rôle, je me déshabillais afin de choisir une tenue mieux adaptée au personnage. Un haut de couleur cyan très court, une combinaison toute aussi courte en toile bleue claire sans manches largement ouverte sur mon buste, et une ceinture soulignant ma taille fine… Nous y étions. Après quelques petites retouches au niveau du maquillage, je m’inspectais dans le miroir. Ma petite carrure et mes traits enfantins me faisaient généralement paraitre une à deux années de moins que mon âge réel, mais dans cette tenue je ne semblais guère avoir plus de seize ans. Une parfaite petite lolita. « Je marquerai des points auprès des membres masculins », pensai-je en souriant.

Le rendez-vous avait lieu dans moins d’une heure. Il était temps d’y aller. Je situais parfaitement l’endroit dans lequel il avait été fixé. J’étais en effet arrivée au village à cheval par ces montagnes.

J’étais très excitée à l’idée d’évoluer en équipe. Possédant de faibles capacités offensives mais d’impressionnantes aptitudes d’infiltration et de soutien, j’étais cantonnée à un certain type précis d’opérations lorsque j’agissais seule. La perspective d’un peu de diversité me séduisait. Par ailleurs, ayant eu pendant six ans trois amis très proches sans cesse à mes côtés, de telles relations humaines me manquaient aujourd’hui alors que nous nous étions séparés. L’équipe 3 comblerait peut être ce manque, au moins partiellement.


Après quelques minutes de marche, j’étais parvenue au pied de la corniche. Elle était haute et certaines parois semblaient abruptes, la montée serait fastidieuse… Hors de question de parvenir au sommet en sueur, essoufflée, décoiffée et… en retard.

« Dochuu Eygio no jutsu …»
Je m’avançais d’un pas décidé vers le flanc de la falaise. Mais au lieu de se poser sur la roche, mon pied s’enfonça dedans, comme dans un plan d’eau. Je disparus entièrement dans la terre. Moins d’une minute plus tard, j’étais parvenue au sommet de la montagne. Bien, j’étais en avance ; serais-je la première ?


Je glissais hors du sol, me matérialisant devant une inconnue assise face à moi.
Je l’observais rapidement. C’était une femme, légèrement plus âgée que moi. La puissance du souffle du vent ne semblait pas l’affecter. Son visage impassible ne trahissait aucune émotion.

- Vous devez être Kalinko-sensei, je présume. Rina Atsuro, ravie de faire votre connaissance, annonçais-je avec un grand sourire en m’avançant vers elle, la main droite tendue vers l’avant.
Une poignée de main est largement révélatrice de notre personnalité. Aussi, ce n’était guère innocemment que je choisis de la lui serrer en guise de salutation. Sans doute cela permettrait-il d’en apprendre un peu plus sur cette indéchiffrable femme.

Sa poigne était ferme et neutre. Une personnalité forte, une façade impénétrable… Quelle nature complexe et intéressante. J’aurais sans doute beaucoup à apprendre avec un tel personnage si peu commun.

« Superficielle ». Je m’en serais souvenue.

Reprenant mon rôle, je cambrais le dos en me passant la main dans les cheveux. La regardant avec un sourire radieux et un regard complice, j’ajoutais en riant :
- Hum, je dois dorénavant être la kunoichi la plus détestée du village ; je suppose que de nombreux shinobis rêveraient d’être à ma place pour passer leurs journées au côté d’une femme aussi belle que vous !


Ah, sensei, je vous aimais déjà. En revanche, rien n’étais moins sûr que la véracité de la réciproque…


Maitrisons la foudre. Ou protégeons là.

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