Mission : Solo

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La journée comme bien d'autre inniatique avant elle, s'annonce fastidieuse, ce qui me fait dire ça est le cadran de cette horloge vieille de ma naissance qui toujours à cette même place avance encore d'une heure et peine à vraiment remplir sa fonction qui est d'indiquer l'heure. Deux causes à cette incompétence, d'une elle est déréglée depuis un nombre d'année incalculable et de deux une épaisse couche de poussière cache en partie le cadran. Jamais je n'en n'ai voulut à notre domestique de maison pour la simple qualification que sa taille même joncher sur une chaise et le bras tendu ne lui permet pas de le faire. Quant à moi c'est par flemmardise que jamais je ne m'en suis occupée. Je décide de me lever ce que je fis dans la seconde qui suit ma pensée et de mon allure chaloupée je daigne enfin prendre le parchemin qui repose sur le bord de ma fenêtre depuis ce matin 8h00 très exactement. Vous -vous demandez pourquoi je ne l'ai pas prit avant ? Pour la bonne raison que le genin ne m'a pas salué lorsqu'il la nonchalement posé sur ce rebord de fenêtre. Quoi une mauvaise excuse !? N'importe quoi ! Je tiens au respect crétin. C'est l'une de mes valeures les plus fervante. Une fois face à la fenêtre je l'ouvre de ma main gauche puis passe mon bras pour prendre le rouleau. Je laisse la fenêtre se refermé puis retourne m'avachir dans le canapé de velour qui jonche au creux d'un angle de la maison. J'y tombe dans un sourd bruit et je déroule le parchemin. Je parcourre du regard les lignes sans retenir un pouffement qui vient du fond du coeur. Une mauvaise blague cette ordre de mission ! Non mais faire bosser quelqu'un pour un truc pareil, on a jamais vue crétinerie de la sorte. Manque de discernement en puissance vous ne pourrez me contredire.

Dans une lippe éclatante de bonne humeur je prends appuit sur mon canapé pour me relever souplement. Ce ridicule a attisé ma gourmandise plus que vraiment mon sérieux. Je me frotte les mains et me baisse une main tendue pour prendre avec moi un sac à dos pour les missions. Cette fois-ci ce n'en n'est pas une mais c'est pas grave hein. Je sors de chez moi pas vraiment inquiète pour la suite et marche en direction du centre ville. Je regarde une fois nouvelle l'ordre reçut sur lequel l'on me signale que les deux restaurants se font face en plus de ça. Je ne retiens pas une effusion de rire mais vite calmée par le songe cafardique que ce genre de mission me conviennent pas. Je maudis le jour où je me suis battut à Konoha. Mon regard se peint d'un brin de tristesse mêlé à un sentiment de frustration. Je souffle et m'approche du premier restaurant. = Bien le bonjour ! Je suis la chuunin envoyée pour la mission, ai-je la possibilité de voir le chef ? = Questionai-je l'homme au guichet. Un salu de sa tête et une réponse s'en suivie. = Bien entendu il est en cuisine si vous voulez bien me suivre = Je le suits donc sans grande conviction et devant moi s'offre l'image d'un homme. Costaud et long sur patte. = Voilà = Je le remercie d'un geste de la main et m'avance aux abords du cuisto. Sa gestuelle manque de souplesse, son tic obsetionel compulsif lui fait faire des bavures et se ronger les ongles c'est le mal. Je jette un coup d'oeil à ma manicure bien propre avant de le regarder. Des tremblements, des injures et des =Vite ! Vite= à la pelle ce n'est pas un cuisinier. Il se rend même pas compte que je suis là quel affront. Je n'ai rien à apprendre de cet homme si ce n'est qu'il cuisine aussi mal qu'un aspirant ninja exécute le kage bunshin. Sa précision est faible. Son talent est moindre de par ce stress.

Mission : Solo

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Sans porter importance aux vaquets surprit de me voir ressortir si rapidement je traverse le restaurant et marche ostansiblement vers le restaurant adverse. Je tend la main face à moi et pousse la porte de l'entrée sous quelques regards ... Que dis-je Quelques ?! Une masse de regard. La différence est flaggrante. Je m'approche de la femme au guichet. = Je suis critique culinaire serait-il possible de parler avec lui, ou même de le regarder ? = La femme aquiesse . = Evidemment suivez-moi = Je la suits et ne perd pas une miette de l'environnement. Cette fois un homme d'une carrure ridicule est face à moi néanmoins sa cuisine est souple, ses geste mutieux, il goutte ses plats et prends son temps. La chuunin que je suis soupire impunément et ressort aussi rapidement que je suis entrée. Je quitte ce restaurant et adresse un geste d'en revoir à la femme du guichet. Je traverse à nouveau l'écart entre les deux restaurants pour revenir au point de départ. Cette fois sans demander à entrer dans les cuisines au préalable je le fis. Pour retrouver cet homme sans tenue. = Mission faite chef. = J'ouvre un parchemin et prend le premier stylo qui me tombe sous la main pour rédiger mon rapport. = Je suis allée sur les lieux, j'ai observé les deux hommes. Le chef réputé sous la couverture d'une critique gastronomique. Pas de parole échangé, l'observation m'a suffit. Conclusion, la différence est l'amour de son métier. = Euh chef je pose le rapport ici. = Je le regarde une dernière fois navrée avant de partir cette mission est finie.