Tu souhaites incarner un ninja et le faire évoluer au sein de différentes missions, quêtes et autre afin de le modeler selon ton unique choix ?
Alors n'hésites pas à nous rejoindre, plusieurs villages t'attendent afin de livrer bataille ! L'esprit de loyauté t'attire, et tu souhaites appartenir à un village caché ? Ou bien la voie de la débauche et du crime te séduit plus que tout ? Dans tous les cas, tu es le seul maître de tes actions ici, et tes actes, qu'ils soient bons ou mauvais, auront une influence sur le Monde tout entier !
Tu pourras ainsi rentrer dans la famille NNr' et découvrir la folie des membres sur le forum ! ^^
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« Le tout dans l'audace c'est de savoir jusqu'où on peut aller trop loin»
Descriptions
Ame no reberu . 雨のレベル [ Rang S . 100 pts ]
C’est un sceau. Qui permet à l’utilisateur de diffuser son chakra dans des choses sans vies à l’origine qui n’ont pas de chakra propre, ce sceau s’applique aux marionnettes, spécialement crée pour que le marionnettiste. Ce sceau n’est pas actif en continu, et doit être activé par le sang du détenteur du sceau qui doit le porter sur lui, c’est à dire quelque chose qui relie le ninja à la chose inanimée. Il s’agira alors de passer un trait du sang du possesseur sur la chose sans vie ou sur l'ensemble ainsi que sur son propre sceau. les marionnettes sont donc capable de faire les mêmes techniques de Genjutsu que leur marionnettiste.
Rouleau I : Itami .痛み Haishin .配信 Chichi .父 [Rang A . 80 pts]
Itami .痛み - La marionnette Itami n’est rien d’autre que la première que Rain à crée. Elle a l’image de son ancien maître, la seule personne qu’elle a du porter en estime et respecter. Itami est une marionnette qui possède le sceau de Rain, [ 雨のレベル ] il possède donc une partie du Chakra, puisque que le sceau diffuse le chakra. Itami signifie souffrance, son but est de faire souffrir les gens et non de la tuer comme il serait le cas pour d’autre marionnette en la possession de Rain. Itami est armé d’un épée forgée le bon vouloir de la demoiselle. Itami agit comme une arme de guerre, une sorte d’armure avec plusieurs fonctions. La bouche de la marionnette contient un poison neurotoxique, qui ne tue pas, mais qui bloquent le système musculaire et nerveux, il s’agit d’un poison virulent, une petite quantité produit les même effet qu’une quantité inhalée plus importante.
Haishin .配信 - Haishin, utilisé en dernier Haishin est une marionnette crée pour tuer sans aucune vergogne. Il est armé d’un manche ou est attaché un longue chaîne qui elle même possède à son bout une faucille à double tranchant de taille moyenne, cet arme est directement attaché au bras de la marionnette. La faucille est empoisonnée du poison neurotoxique qui paralyse les membres, ainsi le marionnettiste est capable d’achever son adversaire. Dans la bouche de la marionnette jailli des senbons empoisonnés d’un poison mortel qui empêche les contractions musculaires, les muscles perdent peu à peu leurs fonctions.
Chichi .父 - Chichi, est à l’effigie du père de Rain. Paradoxale de savoir qu’elle contrôle son père alors qu’avant c’était le contraire. Il s’agit d’une simple armure, seule la tête ressemble au père de Rain. Il ne possède pas le sceau de Rain, il est entièrement contrôlé par les fils de chakra, une faiblesse importante dans le jutsu de la Kunoichi puisqu’il s’agit de la première défense. Le long de la colonne vertébrale de la marionnette une longue série de signe, il s’agit de possibilité d’arme pour Rain, plus souvent des Katanas. Chichi n’est pas à l’origine une marionnette de d'attaque, mais se défense.
Rouleau II : Ame no kizoku .雨の貴族 [ Rang S . 100 pts ]
Ame no kizoku .雨の貴族 - Les envoyées de la pluie. Ce sont un groupe de 8 têtes toutes féminines qui sont absolument identiques qui ne sont pas à l’effigie de leur créatrice ce qui ferait un peu mégalomane. Elles ne sont pas armées au sens propre du terme, mais les 8 possèdent éventails et ombrelles qui sont marqués de notes qui permettent l’utilisation d’armes tout à fait communes : Senbons, kunaïs, et autres, tous types d’armes ninjas. Elles sont rarement utilisées en tant que marionnettes possédant le sceau, même si elles le possèdent toutes. Les éventails quand à eux ne sont pas anodins les tiges ne sont rien d’autres que des senbons empoisonnés, cette fois ci d’un poison mortel qui empêche la contraction des muscles cardiaques. Une large partie de leur corps est cependant faîtes de verre de très grosses épaisseurs. Il s’agit du torse.
Fuuton
Fuuton - Daitoppa . [ Rang C . 30 pts ]
Description : Cette technique crée un violent cyclone horizontale qui balayera tout ce qui se trouve sur son passage.
Katon
Katon - Nami no Hi[ Rang C . 30 pts]
Description : L'utilisateur doit concentrer du chakra dans sa gorge et dans ses mains, en quantité extrême. Les dégâts de cette techniques sont incommensurable, non seulement la vague balayent tout sur son passage dans une large zone mais elle cause également des dégâts impressionnant.
Katon - Gouryuuka[ Rang B . 60 pts ]
Description : L'utilisateur doit concentrer du chakra dans ses mains pour faire apparaitre des dragons de feu qui s'abattront sur sa cible. Les dragons peuvent être utilisés séparément, sur différentes cibles.
Coût total de la fiche . 400 pts tous rond. ♥
Dernière édition par Rain Madokâ le Jeu 23 Déc 2010 - 16:58, édité 19 fois
« Laisse ce pantin Rain, tu n’as pas le temps de t’amuser »
Il y a encore peu de temps mon père était en vie, et m’empêchait de m’amuser peu importe ce que je pouvais faire. Mais maintenant qu’il est mort je ressens un sentiment de liberté qui me semble aussi magnifique qu’inconnu. Pourquoi revenir sur les divertissements de mon enfance ? C’est une bonne question à laquelle je vais me faire un plaisir de répondre. Parce que j’ai fait de mon divertissement un art manifeste et élaboré. J’ai toujours aimé les pantins. C’est rudimentaire lorsque l’on est enfant, les marionnettes, sauf qu’il ne s’agit pas de faire bouger et gigoter un petit clown pour faire rire des enfants. Au début c’était le cas, je ne le nie pas. Mais lorsqu’une délégation de Suna arriva à Konoha lorsque j’avais atteint mes 12 ans, je sus très vite qu’il n’était pas question que je ne connaisse pas la manière dont ils bougeaient ses marionnettes que l’on assimilait à de véritables armes. Je ne dirais pas qu’il s’agit d’une révélation, c’était surtout l’objet de ma curiosité, et j’avais aussi, je l’avoue, terriblement envie de déplaire à mon père, qui désapprouvait les clowns de Suna avec leurs stupides marionnettes, il est assuré que la maîtrise du Katana n’est pas superficielle et peu originale, personne ne se bat au katana de nos jours, c’est évident. Il n’y a rien de plus fascinant que le Katana, c’est si original, j’adore. C’est ainsi que commença ma fascination pour les pantins et la manière dont je pourrais les utiliser pour tuer les gens. Certes à cette époque je ne pensais à tuer tout le monde avec mes pantins, mais j’étais déjà assez dérangée pour me dire que je ne les utiliserais pas pour servir mon village mais bien pour blesser gravement ou mutiler mon très cher et très tendre paternel. Oui, oui, à douze ans. Vous savez mieux vaut commencer à ruminer sa colère tôt ainsi le plan que vous aurez mis en place dans votre tête pourra être assouvi à n’importe quel moment puisque vous l’aurez retournez dans n’importe quel sens pour qu’il s’accorde avec n’importe quelle situation. N’est ce pas tout à fait ingénieux ? Oui, je le sais. Mais je m’égare véritablement alors que je ne voulais que vous compter les origines des techniques que j’utilise aujourd’hui. Il faut que j’en fasse le récit sinon, je risque d’avoir de sérieux problèmes. Depuis ce jour j’ai amélioré ma maîtrise des pauvres pantins que je possédais, tentant de leur faire faire des mouvements plus compliqués que lever une jambe ou de baisser la tête. Non, il fallait que ce soit plus compliqué. Mais mon acquisition de bases aussi rudimentaires ne devrait intéresser personne. Mais la véritable question est comment ai-je bien pu apprendre le Kugutsu alors que je ne suis même pas du village de Suna. Je vous dirais bonne question. A cette époque encore j’étais de Konoha, et j’avais mûris l’idée de partir pour Suna. Sauf que mon caractère impulsif m’empêchait de véritablement prévoir l’assassinat de ma famille et mon départ pour Suna, en effet, je ne saurais quand je ne pourrais plus supporter mon père, je pouvais simplement tout faire exploser sans même que je puisse moi-même m’y attendre. Je ne vais pas vous raconter l’assassinat de ma famille, ce serait long et je crois l’avoir déjà raconter alors évitons de perdre un temps que j’estime précieux quand on voit la vitesse à laquelle il peut passer. Lorsque que je fus enfin partie de Konoha, le cœur bien plus léger que lorsque je m’y trouvais. Mais passons ce moment. Nous voilà en route pour Suna, entre temps, j’ai du changer d’apparence je n’ai pas faire grand-chose pour mes cheveux, j’ai du les attacher en arrière, et couvrir mon front d’un bandeau et pour mes yeux, rien de bien compliqué. Vous allez me dire que c’est bien prétentieux de penser que l’on me recherchera jusqu’à Suna, vous savez on est jamais trop prudent. Surtout quand on a été insolente face au grand conseil composé de très grands et très vieux personnages qui passent un peu pour des caricatures de la sagesse. Après quelques jours de marche, je pus enfin hurler : « me voilà arrivée » mais je n’avais pas terminé. J’avais 17 ans et encore tout à apprendre du Kugutsu, j’allais arriver la bouche en cœur, sous une fausse identité pour apprendre la maîtrise des marionnettes. De toute façon, j’avais assez de détermination pour boucler mon apprentissage en peu de temps et partir comme la lâche que je suis avec toutes les aptitudes dont je pouvais avoir besoin. Mais pour l’instant je ne les ai absolument pas, alors je vais calmer mes ardeurs.
Chapitre 2
« Je serais ton maître dans ce cas »
J’ai décidé de faire une petite ellipse temporelle. Oui, parce que mon entrée dans Suna n’en vaut pas vraiment la peine, et je n’ai pas spécialement envie de m’y attarder puisque nous devons parler de mon APPRENTISSAGE du Kugutsu. Je suis exténuée mais motivée à trouver un « Sensei » un autre que celui qu’étais mon père. Ayant été quasiment le seul, puisque mon père refusait que je puisse me faire bourrer le crâne d’idées que l’on considère comme moderne aujourd’hui, pauvre vieux, s’il me voyait au village du vent il me ferait une véritable crise de nerf. Il doit se retourner dans sa tombe. J’imagine déjà la cérémonie très solennelle, pour un homme, un grand homme même. Je ris et continue de marcher dans les rues du village qui serait le mien dorénavant. Du moins pendant un certain temps, je ne comptais pas non plus m’éterniser et garder enfuit en moi trop longtemps mon côté sociopathe, je voulais aussi m’éviter des ennuis. J’ai mis deux jours pour me trouver un marionnettiste que j’estimais digne de ce nom. J’avais besoin du meilleur, du plus exigeant afin je parte avec des aptitudes très importantes, sinon absolument aucun intérêt. On m’avait conseillé de me rendre chez un marionnettiste très doué mais qui n’acceptait aucun élève. S’il était très doué il allait obligatoirement m’accepter comme élève, je ne voulais pas les moyens, je voulais ceux qui se démarquaient. Ils disaient tous qu’il s’appelait Toshiro, qu’il n’était aussi vieux que l’on pouvait penser et qu’il avait un caractère insupportable et qu’il avait l’exigence d’un Kage. Ne pouvais-je pas mieux trouver ? J’ai du chercher la maison la plus reculée, la plus loin, la plus tout pour pouvoir trouver celui qui deviendrait je l’espérais mon maître, je trouvais évident qu’il ne pouvait pas me refuser cette idée. Pourtant la tâche s’annonça bien plus ardue que je ne pensais. Je trouvais un homme d’une trentaine d’année affairé à ses marionnettes, notant des kanji sur les bras de celles-ci, des notes qui devaient avoir une utilité particulière. « Excusez moi, vous êtes Toshiro ? » Je soupirais, il ne me répondait pas. On m’avait dit de ne pas insister, sauf que je n’avais pas le voyage depuis Konoha pour des cacahuètes. Alors je rentrais dans l’antre de la bête bien décidée à ne pas laisser passer cette opportunité, je n’ai pas de temps à perdre. « Je ne crois pas vous avoir autorisée à entrer » déclara t-il toujours en me tournant le dos, il était rustre et très peu enclin à m’apprendre quoique ce soit. Il se tourna enfin, il avait une un bandeau de Suna qui lui masquait un œil, et une cigarette dans la bouche. « Si vous aviez répondu, je n’aurais pas certainement pas eu à rentrer de manière aussi impolie », il haussa le seul sourcil que l’on pouvait voir, et porta toute son attention sur moi. Je trouvais que c’était un bon début, il écrasa sa cigarette dans son cendrier qui en comptait déjà un nombre très impressionnant. Je fermais la porte derrière moi, puis il attendit que je parle, ce que je ne fis pas, il semblait attendre, puis énervé par ce silence il prit la parole en premier. « Mademoiselle, je ne sais pas pourquoi vous vous tenez devant moi, mais je vous assure que je vous dirais non » déclara t-il. En effet la tâche s’annonçait ardue. « Très bien, alors vous allez m’avoir sur le dos, tous les jours, toutes les heures jusqu’à ce que vous soyez prêt à m’accepter en tant qu’élève » il se leva, s’étira, je pus voir l’ensemble du pantin. C’était un pantin très beau, avec l’imperfection de ne pas bouger sans les mouvements de son maître. « Vous me semblez être une sacrée emmerdeuse mademoiselle, pourquoi devrais-je vous prendre comme élève » . Je haussais les épaules, m’adossait à une poutre. « Parce que je ne vous laisse pas véritablement le choix Toshiro-sensei » . Vous devez vous que j’ai de l’audace. Il le reconnut. « Très bien, je serais ton maître dans ce cas. Ne t’attend pas à des vacances ». Ne ne fut pas si difficile que cela au final.
Je n’ai pas pu commencer mon entraînement à proprement parlé avant d’avoir crée ma première marionnette. Toshiro refusait catégoriquement de me laisser utiliser une de ses marionnettes, et impossible d’essayer de négocier, la réponse avant même que la question ne soit posée était un catégorique non. Il disait qu’un marionnettiste ne devait prêter ces marionnettes sous aucun prétexte, que les marionnettes étaient des créations uniques qui n’appartenaient qu’à son créateur et seulement son créateur. Que je n’aurais pas ces marionnettes et que ce n’était pas une chose que je pourrais avoir que je l’ai eu comme Sensei. J’ai donc du créer entièrement une marionnette capable de rivaliser avec mon maître, sinon, je pouvais faire mes valises et partir, il ne voulais pas un boulet comme élève. Je ne pensais pas mettre autant de temps à créer un pantin qui puisse bouger et se mouvoir de manière fluide sans coupure entre les mouvements, les articulations doivent être absolument parfaites, ne pas grincer, ne pas coincer, les marionnettes doivent d’une certaines manière être la plus proche de la mouvance humaine, être capable de pouvoir y activer des sortes de pièges, tout cela j’ai mis plus de 6 mois à le faire, non pas que j’étais nulle à l’origine, mais ce n’est pas une chose simple à créer dans les premiers temps, il va sans dire que dorénavant ce n’est pas un problème pour moi. J’ai mis des mois et des mois à pouvoir maîtriser l’art qu’était le Kugutsu, ce qu’il faut savoir c’est que j’ai véritablement commencé à apprécier le Kugutsu, pas seulement pour contredire mon père, mais parce que c’était une chose qui méritait le temps de l’apprendre et de l’améliorer. J’ai du savoir modifier la forme de mon chakra pour lui donner la forme des fils que je puisse accrocher à chacune des différents parties de mon pantin. Le premier était à l’effigie de mon maître, il trouva ça fort stupide et complètement idiot, mais peu importe.
Chapitre 3
« Quelle prétention ! »
« Ah oui, une amélioration ? Laquelle ? », il me regardait comprenant que j’avais compris la plus grande faille du Kugutsu, mon maître était limité au niveau du combat au corps à corps. Et je l’étais si je ne trouvais pas une alternative au fils de chakra pour manier mes marionnettes. Il fallait quelque chose qui ferait de moi une marionnettiste unique pas seulement douée en Kugutsu, mais aussi capable de s’occuper de ses ennemis lorsque les marionnettes serait complètement mortes, ce qui n’est pas près d’arriver. J’ai passé plus d’un an et demi à Suna, pour apprendre le Kugutsu, j’y étais depuis bien plus longtemps que je ne l’avais prévu. Toshiro ne semblait pas adhérer à mon envie d’améliorer le Kugutsu, je pense pourtant qu’il pourrait y trouver une sorte d’alternative afin de pouvoir évoluer. « Quelle prétention ! » Une prétention, ce n’était absolument pas une prétention, mais une ambition, il me fit un speech sur la dénaturation du Kugutsu si jamais je cherchais à l’améliorer ou serait le plaisir de manier les fils avec le bout de ses doigts. Ce fut impossible pour moi de lui entendre raison, et il trouvait cette « prétention » aberrante et scandaleuse. Le soleil était bien trop fort pour une peau comme la mienne et après cette fissure dans la relation maître à élève je pris la décision de partir comme je le fais tout le temps je quitte les village pour pouvoir évoluer ans le mauvais sens du terme peut être oui. Mais je n’avais absolument aucune envie de stagner. J’ai appris tout ce que je devais apprendre. Je vous l’accorde il y a de nombreuses zones d’ombres dans cette apprentissage, car il ne faudrait pas que je vous raconte trop de choses, trop de détails. Mais ce qu’il faut savoir, c’est que mon entraînement s’est terminé par un combat entre moi et mon maître. « Alors « Yuki », on a menti à son maître pendant près de deux ans ? Tu n’as aucune honte et aucune ferté ? Tu ne t’appelles pas Yuki n’est ce pas petite emmerdeuse » Je fus surprise, il était plus intelligent qu’il n’y paressait, je pus enfin détacher mes cheveux librement, et retirer les lentilles de couleurs que je me forçais à porter depuis un an et demi sans jamais oublier. « Bien joué Toshiro, et maintenant que fais t-on ? Tu as appris le Kugutsu à une Nukenin de Konoha, nous allons devoir nous battre ? Tu sais aussi bien que moi que ton point faible je le connais, alors que le mien est véritable lorsque je manie les marionnettes, laisse moi partir et regrette de n’avoir pas du ouvrir les yeux au lieu de m’emmerder comme tu le fais. »
Je parti. Après avoir tué Toshiro. Je ne le fis pas de gaieté de cœur. Simplement parce qu'il le fallait sinon, je n'aurais jamais quitter Suna.
Dernière édition par Rain Madokâ le Jeu 23 Déc 2010 - 16:48, édité 5 fois
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