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Les trois lois fondamentales. |Solo.|

Hunk Moroshi
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MessageSujet: Les trois lois fondamentales. |Solo.| Les trois lois fondamentales. |Solo.| Icon_minitimeMar 24 Mai 2011 - 20:11




. : Les sens sont trompeurs. : .

Le mutant est l’œuvre de l’hérétique. Bien que, dans certain cas, cette possession démoniaque est mise en marche pour la droite de la vie. Pourtant, qui sommes-nous pour croire le bon et le méchant ? Que cela soit un haut dirigeant d’un quelconque village éminent ou encore bien un membre résultant de la basse société, se nourrissant seulement de la matière contenant les poubelles. Une fine épée d’or, s’abattant avec une immense fureur totalement non-humaine contre la créature difforme résultant de l’union sacrée de la succube ainsi que du maigre farfadet ricanant dernière votre dos. Le mutant n’est rien d’autre que la poussière doré de l’humain. Ces cendres flânant aux caprices des génies des quatre directions. Cette magnifique poudre divine devenant finalement un amuse-gueule extrêmement délictueux et synonyme de richesse culturel comme physique. L’épée or ainsi que la poussière n’étant finalement rien d’autre que la même chose. Cette dernière résultant du mutant. Une chose qu’on connait de par la simple vue mais nullement qu’on obtient par le simple désir. La créature qu’est le mentaliste choisit sa propre voie, sa destinée avec une aisance des plus déconcertantes. Ce pauvre mortel exprime ses sentiments par ses actes, ne connaissant véritablement pas la définition des gestes effectuées, que faire ? Cette magnifique arme blanche au teint ambre étant tout simplement impossible à manier doit-elle choisir par elle-même un camp ? Définissant du pauvre cliché qu’est le Bien ou le Mal. Le juste milieu n’existe nullement dans ce monde où, la guerre est de mise. Les hommes naquissent pour se battre entre eux et mourir pour une cause totalement fictive, aussi creuse que l’intelligence de son créateur. Le titan supérieur opère depuis l’arrière de la scène, vous regardant de ses deux sphères offrant sur deux nébuleuses majestueuse et d’une beauté olympienne. Il vous regarde…

La brume présente en ces lieux n’exprime rien d’autre que la terreur et la froideur. L’animation du brouillard blanchâtre effleure doucement la création d’un monstre à l’apparence totalement incertaine. Ce dernier caressant lentement et tendrement les toits des nombreuses maisons. Réchauffe chaudement ce village, ces nombreux habitants pleurent du froid glacial olympien. Cette vague de nuance terrestre, flânant comme le jeune oiseau volant de ses maigres ailes. Un instant de pure froideur dont la Mort et la déchéance sont seuls maitres de la partie. Une débauche tombant lentement dans la lamentation, de par ce temps, résultant des larmes de Dieu. Ces dernières tombant sous l’effet de la gravitation de la planète Terre. Dans ce flou total, s’insère une chose, un fantôme se reposant contre cette dernière. Volant au-dessus de ces pauvres jouets que sont les humains. Son regard faussement source du cresson bleu s’amusant doucement. Quelle source d’amusement ? Le voyeurisme est d’un acte assez malsain, plaçant dans la société d’aujourd’hui une image des plus pathétiques et débectant. Nos gestes, guident notre apparence et le jugement que porte notre alentour envers notre enveloppe corporel. Ce pâle farfadet, aux mains pâteuses et rugueuses s’insérant dans cette fumée opalescente, devenant alors sa première source de transport non identifiable. La bêtise humaine n’exporte rien d’autre par conséquent que la cruauté totalement dégénéré et inepte. Cette créature faiblarde, bien que pourtant dite de complaisant. Une enveloppe extérieure parfaite, mais résultant de la pire des pourritures dans son cadre qu’est le corps du mensonge. Le fantôme apparu un léger moment, l’espace d’une microseconde résultant d’un clignement des yeux. Une déflagration rauque et sourde se fit entendre. Impossible de connaitre sa position exacte, un tintement vers la gauche, puis, vers la droite. Le doux vent frais des plaines se mêlant à la conversation des grincements mécaniques.

Le producteur exclusif, définit finalement le pur fantasme physique. Totalement impossible de connaitre sa véritable identité et donc, par conséquent, l’esprit effectue une immense gymnastique mentale. Réalisant donc son fantasme le plus mystérieux. Mais notamment le plus inavouable. Son regard saphir perla langoureusement la scène baignant dans le salon de Dieu, ces innombrables nuages doux. Personne n’étant en vue apparemment, ou bien, son apparence physique ne s’exprime nullement envers ses sphères composant de deux nébuleuses déchirantes bleuâtres. Un filet d’or passa dans ce ciel pourtant si obscur en cette sainte nuit d’un fin de journée de Printemps. Cette dernière dominant alors pendant quelques instants ce haillon ambre qui se fit légion en quelques secondes. Une pluie d’étoiles filantes comme une trainée de poudre d’argent s’éloigna allègrement suite à nombreuse amourettes qu’éprouve le vent à son encontre. Que cela soit à travers le masque métallique, ou encore bien derrière son cache-œil, le magnifique fantôme résultant de la brume était époustouflé au sens large du terme par la prestance des novas lumineuses ornant fièrement le cosmos infini. Un geste rapide de sa boite crânienne survient finalement, il l’avait secoué. La contemplation n’était pas une chose à faire présence à ce lieu, et encore bien même maintenant. Certes, son occupation n’était peut-être pas si importante mais son attention se devait d’être présente quel que soit la situation autour de lui. Ses douces mains gantées passèrent derrière sa capuche, rétablissant sa merveilleuse chevelure en place, dans son semblant de combinaison. Car, effectivement, ce masque filtrant l’air sale et pollué du village caché de la Feuille ne s’établissait nullement entièrement sur le haut de l’homme. L’objet s’arrêtant juste derrière ses fines oreilles. Ses dextres finirent tranquillement son geste, avec, il faut bien l’avouer une certaine nonchalance. La cause étant surement la banalité du geste effectué.

Son attente dure depuis de nombreux temps, pour tout dire, le petit farfadet à la respiration mécanique avait ôté l’idée de prendre des comptes sur cette grande atermoiement que son esprit s’amusait à remettre son existence-même en question. Pourquoi était-il finalement sur la planète Terre ? Cette question est surement la première que nous nous posons en prenant légèrement de recul sur sa vie. Et de par cette question, qui sert-il réellement ? Le Bien, ou encore bien le Mal ? Une nouvelle fois, cette interrogation sur son enveloppe corporel revient souvent, et tombe nonchalamment dans ce qu’on pourrait annoncer de : « Banalité. » Secouant une nouvelle, venant alors faire fuir ses nombreuses idées résultant du cafard, un soupire perça ses fines lèvres rosâtres. Ce geste physique débloquant alors un immense grondement du masque. Effectivement, cela était l’un des innombrables défauts que possédait le masque à gaz. Votre respiration est analysée, soupir par soupir. Et de là, cela résulte d’un immense avantage pour un adversaire lambda. Etant d’un village, ou encore bien qu’il soit un mercenaire. Ce dernier pouvait alors finalement découvrir les sensations et l’attitude du fantôme. L’analyse est une chose primordiale dans un combat, et indirectement, le spectre à la l’apparence corporelle incertaine se livrait dans la gueule de la délictueuse Mort sans le vouloir. Après ce grondement survenu brutalement, une grimace –bien entendu nullement visible pour les personnes se trouvant aux alentours. Si personne il y avait.- déchira la façade blanchâtre du militaire. Ce dernier aimait la discrétion ainsi que sa respiration si particulière, chose qui avait le don de mettre en panique l’adversaire quand sa position était inconnue. Reprenant sur son visage, se doux yeux purent contenir sa pluie magique s’abattant contre le ciel, c’était effectivement une magnifique soirée. Alors, autant laisser son esprit vagabondé…

La pluie pleurant, des larmes d’or lumineuses s’abattant contre les nombreuses montagnes rocheuses que possède la métropolie qu’est l’immense village de la Feuille. L’enveloppe corporelle du mystérieux ectoplasme se trouvant dehors, cette chose à l’apparence incertaine pouvait tranquillement suivre cette dance remplie de tendresse envers les cieux et le cosmos. Une dance, cette comédie merveilleuse lui faisait indirectement penser à la Guerre. Cette chorégraphie que nous menons avec son adversaire, le contact de nos deux armes formant une mélodie parfaite au creux de notre oreille. L’adrénaline monta en nos veines, de peur d’effectuer un faux mouvement. Une légère esquisse se formant contre les fines lèvres rosâtres de l’anthropoïde au masque métallique. Cela était peut-être une drôle de comparaison mais elle plaisait actuellement à son créateur. Et cela résulté surement du plus important. L’orage d’ambre s’étalait maintenant au plus loin des contrées du village cachée de la Feuille. Relevant lentement, voir nonchalamment sa boite crânienne, sa capuche s’abaissa alors légèrement, ses yeux émeraudes se perdirent une nouvelle fois dans ce flot de magnificence bénéfique. Derrière ses deux vitres en verre, ses prunelles clignèrent pendant une fraction de seconde. Retrouvant finalement la possession de son esprit pourtant habituellement si vif et vivant. Cela était surement l’un de ses nombreux points faibles. Ce prisme se trouvant entre la réalité elle-même et l’irréel était surement, voir effectivement facilement impressionné par la Nature. Oui, seulement par les fondations de Mère Nature envers les humains écrasant ses créations avec une nonchalance toute particulière. Bien entendu, cette admiration tombe dans différent domaine mais nullement besoin de s’entendre sur le sujet. Secoua pour une troisième fois sa tête, son regard ce planta au sol, ce dernier en bois d’ébène. Son physique se trouvait sur son propre balcon, sa porte vitrée légèrement entre-ouverte, laissant la brise d’air s’invitée tendrement.

. : Suite à venir. : .




Hunk Moroshi
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MessageSujet: Re: Les trois lois fondamentales. |Solo.| Les trois lois fondamentales. |Solo.| Icon_minitimeJeu 26 Mai 2011 - 18:56




. : Hypothèse du rêve. : .

Le développement de ses capacités, n’est finalement pas une chose véritablement simple. Que cela soit pour le pauvre fantôme résultant de nombreuses expériences obscènes ou encore bien du revigorant être humain, marchant sur cette terre fertile d’un pas lourd mais pourtant bien décidé. L’aspect physique, cette molle vache remplie d’une graisse des plus débectantes qu’est l’anthropoïde, devenant finalement une magnifique et douce sirène au chant envoutante et mystérieux. Sa beauté devenant la seule source de plaisir potable sur ce pauvre bout de parcelle perdu dans le cosmos incalculable qu’est l’univers. Pourtant, ce glaive d’ambre exportant avec lui une force des plus impressionnante connait un côté sombre envers son apparence. L’or l’enveloppant n’est rien d’autre que la surface imposé. Un voile de lumière ne reflétant nullement le véritable aspect de l’arme blanche. Pourtant, comment pouvons-nous connaitre cela ? En définir sa véritable physionomie ? Impossible de le connaitre véritablement, la brume entourant avec lenteur la douce coulée éclatante qu’est l’or. Il en résulte de même pour son apparence mentale. Une fortification de glace, aussi puissante et somptueuse que le plus pur des cristaux d’argent. Une barrière totalement impossible à atteindre pour le déplorable et misérable mortel se nourrissant de ses semblables avec une folie et une gloutonnerie débectante. Et derrière alors ? Un monstre de cruauté rampant derrière lui, ce mur de gel. Ricanant à la moindre de vos tentatives vaines et peureuses. Vous ne pouvez nullement faire obstacle de cette fusion de pierre formant une vague chaleureuse de froid. Pourtant, dans contre cette chose totalement imparable, une légère fissure est visible. Fine, extrêmement fine mais finalement bien visible. Elle se trouve présent, vous narguant que de par sa propre présente fétide et prompte. Ce fantôme de l’irréel n’importe rien, laissant les gens venir et partir envers son âme langoureusement perdue.

La pollution sonore, dans ce bref instant de magie instaura une grimace envers la façade du jeune homme. Ses fines oreilles en alerte, il laissa ces dernières totalement attentive faire le bilan du bourdonnement perçant l’immense métropole. Ses douces nébuleuses froides, toujours posées contre le terrain en poutre composant son balcon, roulant maintenant légèrement sur eux-mêmes. Cela brisé effectivement le moment assez magique de la soirée. Malheureusement. Le preux fantôme flânant autour des pâles jouets que sont les êtres humains inférieurs ne devait – et ne voulait- surtout pas intervenir dans ce cas de figure. Ne connaissant nullement la source de cette déflagration résonnante, sa cause pourrait devenir une tâche obscure dans cet interstice des Ténèbres ornant fièrement ses pâles plaines terreuses de la Planète Terre. Esquissant pourtant un sourire face à la situation assez comique, une main gantée frêle tomba mollement le long de l’enveloppe corporelle du fantôme. Intérieurement, - il fallait bien le dire – l’envie se trouvait finalement là. La nuance étant qu’il ne la prenait nullement en cause, cette dernière se cachant du mieux qu’elle pouvait, imitant le farfadet ricanant vivement contre votre physique si disgracieux. La cause et la conséquence des gestes qu’il engendra face à cette situation brisant le magnifique combat comprenant le cosmos à la distance infinie ainsi que les nombreuses météorites ambrées. L’épée d’or qu’il était, analysant quelque peu la situation en cette journée tombant comme toujours dans une banalité des plus infligent. Finalement, les innombrables gargouillements se turent avec le temps, ne laissant définitivement que le doux et maigre souffle du Génie créant le vent frais du Village. Cette dernière divinité qu’étant le démon des vents fit légèrement frissonner son anatomie de chair. Ce miroir de beauté tombant lentement autour de lui. Le cresson bleu reprenant doucement son droit sur les filets d’or.

L’idée d’en venir aux mains disparues complètement dans l’esprit vagabondant du jeune spectre opérant de derrière la scène qu’est l’immense agglomération, berceau de la vie des habitants de cette dernière. Cette déflagration sonore malsaine s’était finalement tût dans un murmure de souffrance et de lente agonie. L’apparence du créateur de cette vague de bourdonnement était toujours indéfinie aux yeux du porteur du masque métallique, filtrant l’air au rythme de sa respiration saccadé. L’heure de fin d’attente n’était pas prête d’arrivée, et par conséquent, ce doux fantôme composant la brume se déplaçait dans un silence religieux, presque dérangeant. Où se déplaça-t-il ? Nullement loin, pas d’inquiétude envers lui, pourtant, cette chose à l’enveloppe corporelle inexacte, brumeuse, pâle se balança à travers la vie ainsi que la mort. Cette dernière, voulant l’amener, dans une quinte de toux envers les innombrables limbes composant les trépas de la Planète Terre. Lieu de création-même des pires pêchées humains et des pulsions de tortures aussi ragoûtantes soit-elle. De l’autre, cette même nonchalance engendrant la vie, il n’y gagnait rien, il n’y perdait strictement rien. Pourtant, c’était ce côté revigorant de la vie, nous important pour l’instant qu’illutions de la chose qu’est l’émanation de la vitalité. Doucement, ses yeux faussement bleuâtres se penchèrent mollement vers le vide de la rue sale, habitat des péripatéticiennes dénudées. Effectivement, l’ectoplasme d’ombre se trouvait sur la fine rambarde en bois d’ébène séparant son balcon du reste de la planète Terre. Par conséquent, son corps se balançait légèrement dans le vide résultant seulement du boulevard recouvert par le pâle tissu de la sombre nuit apportant son lot de surprise et de mystère. Ses nébuleuses émeraude se posèrent contre les murs des bétons froids et glauques. Les erreurs d’interprétation envers les bruits sont trompeurs et notamment légion. Sa propre sphère intellectuelle commença enfin.

Elle commença sa gymnastique mentale. Sa douce et lente machinerie qu’est l’esprit se posa enfin les véritables questions. Et pourtant, une seule ressortait de ce flot d’interrogations dramatiques. Tout ce monde, tout cet environnement alentour était-il l’œuvre d’un rêve sans fin ? En moyenne, un être humain dort autant qu’il effectue sa journée totalement éveillé. De part cela, comment pouvons-nous savoir si le rêve n’est la réalité et si la réalité n’est le rêve ? Tous ces nombreuses relations que nous nous efforcions de faire et de crée ne servent-elles finalement à rien ? Alors, que, cette conception totalement irréelle ne nous intéresse pour rien au monde et nous laissons donc notre esprit faire comme bon il nous semble, s’amusant et effectuant nos pires vices sexuelles ou encore de bien, nos fantasmes de violence et de cruauté. Un très léger soupir perça une nouvelle fois ses fines lèvres rosâtres avec une certaine mélancolie nonchalante. Oui, ce spectre nullement présent dans les esprits des habitants du village aimait véritablement mettre ses propres nerfs à vifs et par conséquent ce posé une plérome de questions. La curiosité est un vilain défaut, certes, quand nous sommes enfant du moins. Pourtant, quand notre sens logique et par conséquent notre perception des choses deviennent plus fluides ce devient une qualité. Docilement, sa main gauche, gantée par le cuir noirâtre effleura de ses pâles doigts le bois ébène composant la poutre principale de la rambarde du même matériau. Son esprit se torturait lamentablement lui-même, sa gymnastique mentale devenant finalement un supplice des plus abjectes. Le rêve n’existe que dans ses prémices de certaines faces cachées du centre de son âme. Le cerveau. Il avait vécu, que cela soit par les gargantuesque rouages du temps ou encore bien-même émotionnellement. L’amour, l’amitié, la haine, le combat, la Mort.

Relevant peu à peu ses yeux émeraude, l’ectoplasme se fonda doucement dans le cresson bleu. Pour cause, cet astre gargantuesque qu’est la lune disparaissant dans les nombreux nuages crémeux survolant avec une certaine nonchalance le cosmos composé d’étoiles dansantes. Et donc, par conséquence, les doux Ténèbres rampant comme une pauvre créature au teint maladive. Sa seule préoccupation étant de vous surprendre dans le plus grand des plaisirs. La nuit devenait plus sombre depuis que cette magnifique bataille entre les innombrables filets d’ambre et l’espace interminable. Cela faisait-il combien de fois que le blafard spectre des limbes scannait les cieux des Titans ? Surement des millions de fois, peut-être un peu plus maintenant. De toute façon, il ne les comptées surement plus. Depuis bien longtemps. Trop ? Peut-être, peut-être pas. Balançant de nouveau son bras, le gauche tomba dans le vide. Entre son balcon en bois et la rue – habitation des monstres. -. Ses vêtements noirâtres absorbaient les légères vagues de chaleur encore restante. Partielle, résultant de pauvre haillons d’argent mais pourtant bien présente. Cela lui permettait d’avoir légèrement plus chaud. Surement un, voir deux degrés de plus, mais surement rien de bien bénéfique finalement. De nouveau, une fine détonation se fit entendre aux creux de ses oreilles propres. Derrière son masque, un nouveau sourcil se relevant avec une certaine lassitude. Cette fois-ci, de par sa position élémentaire – assisse.- Ce spectre avait une vue totalement imprenable sur la promenade en béton. Mammifère. Plus précisément, un chat. Impossible de connaitre véritablement son espèce exacte mais cela n’avait nullement d’importance dans l’esprit du mystérieux fantôme. Une légère esquisse se forma contre la façade brumeuse. Cela n’était surement pas la même cause qui avait provoqué la déflagration sonore de tout à l’heure. Simple rêve ou encore bien-même une pensée provenant du futur naissant ?

. : Suite à venir. : .





Hunk Moroshi
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MessageSujet: Re: Les trois lois fondamentales. |Solo.| Les trois lois fondamentales. |Solo.| Icon_minitimeVen 27 Mai 2011 - 17:21




. : Le faux génie. : .

La philosophie n’est rien d’autre qu’un pâle mot barbare désignant la recherche de compréhension de l’esprit par une réflexion propre mais pourtant bien inscrite dans les règles les plus meurtrières. Généralement, cette dernière devient une marque de dégoût envers les étudiants, qu’importe le milieu dont ils sont en lieu. Pauvre. Riche. Ou encore bien, simplement moyen. Pourquoi ? Normalement, ce havre de paix et de connaissance intellectuelle devrait en majeure partie être un puits adulé de tous. Pourtant, cela est tout le contraire. L’analphabète résultant d’une encyclopédie. Un pâle paradoxe ou encore bien-même un oxymore. Cela dépend du vocabulaire que possède l’arthropode aux mains rugueuses. La connaissance, physique ou encore bien mental n’est même plus de mise dans ce pauvre bout de terre. Cette dernière n’étant rien d’autre que la Planète Terre. Un grain de poussière dans le cosmos amoureusement jaloux des étoiles, le narguant avec plaisir et délictueux sarcasme. Nous ne sommes rien dans l’espace composant le paradis des merveilleux Titans d’un douce couleur métallique, une coulée d’argent dont les pauvres délectent la brillance. Leurs écumes blanchâtres se répandant comme une trainée de peste Noire à l’affut de la moindre notion de vie sur les plaines rocheuses que sont les villages composant les nombreux pays militaires. Néanmoins, nous, hommes déplorable et fluets n’exporte avec lui que d’immenses d’idées, la plus part totalement piètre et stérile. Des conceptions totalement fictives, de belles apparences mais totalement sans valeur une fois ouverte avec la plus merveilleuse des artilleries construite par les volcans de métallurgie. Faire une place dans cette multitude de terres et d’océan composant notre globe isolé de toute nature intellectuelle. Trouver pourquoi nous, nous être humain intégralement et foncièrement inefficace sommes dans cette bestialité sphérique composant une voile d’havre de paix. Mais derrière, résulte les Ténèbres, berçant notre individualité malsaine.

Les pauvres mortels ethniques ne pensent finalement qu’à une seule et unique chose dans le centre de la vie les entourant comme la lamentable et insignifiante mère et son enfant malade. Eux. Leur personnalité tellement grasse et cupide, n’expirant définitivement qu’aux pouvoirs. La douce sensation de devenir enfin une personne aux yeux de millions de personnes, d’un village, d’un globe entier ou encore bien-même de l’univers entier. Tous ces derniers tombant dans une nonchalance lourde dans le creux de notre main, ricanant foncièrement de par cet acte simplissime et malsain. Ce commandement infini pouvant crée l’épouvante et la répulsion envers cet empereur, ce ver de mouche qu’est le Ténèbres impurs et malsain. Grossissant à chaque mensonge, pêché, infraction ou encore bien-même manquement au règlement de la Loi. Prenant une envergure des plus énormes, gargantuesque et flasque. Gémissant contre sa propre existence maussade. Le pouvoir d’avoir ou de vouloir une chose. Que cela soit un objet mécanique ou encore bien-même une personne vivante. Sexuelle ou non. Cette prise de domination et de gouvernement n’est qu’une infime vague parmi celle provoquée par l’immense Léviathan. Dieu des horreurs de l’océan et des eaux. Le cadavre qu’est l’hominien blanchâtre ne peut rivaliser envers les colosses divins. Créateur de toute chose et de l’univers lui-même. Qu’importe nos pouvoirs, physique ou bien mentale, nous ne pouvions promettre au rang de Dieu Vivant, nouveau messie de l’ère parfaite et bénite. Mais seulement les patins désarticulés, jouet des juges de ce monde. Père de tout et de rien. L’univers connu de tous n’est qu’une partielle de la carte mystique. D’innombrables verbes de Dieu se trouvant encore méconnue de notre connaissance amoindrie. La spéculation de notre théorie de la création résulte de base solide. La plus part étant scientifique. D’autre sont, largement plus obscur et examine des spéculations absurdes.

Derrière ses vérités générales et premières, ce cache les joueurs de flûte. Enveloppant l’être humain lambda dans une mélancolie des plus absurdes. Pourtant d’apparence si parfaite et magnifique. Comme le monde où vivent ses nombreux arlequins clownesques et cupides que sont les êtres humains, la plus part misanthrope, n’aimant nullement le contact de ses nombreux semblables. Ces musiciens de l’esprit se déplacent dans des zones d’ombres, un monde totalement irréel. L’antimatière, matière première dans ce monde semblable au globe que nous connaissons tous. Là où la supposition n’étouffe que des rires ne meurtries de personne ventripotent et empâtée, dans l’autre cela est la base de tous, les piliers du changement. La base des réflexions mathématique, des arts de la science ou encore bien-même des connaissances littéraires tous cela n’est que systèmes théorique et suppositions réfléchies. Et plus concrètement, ces tueurs croupissant dans le crépuscule bleu ne sont finalement rien. Aux yeux nébuleusement magnifiques des habitants à l’intelligence amoindrie du moins. Car oui, effectivement, nous pouvions divisées la catégorie de la population du monde étrusque en deux partie bien distinctes. La première, déjà bien dictée dans ce paragraphe absurde. La population lambda, de base, ne connaissant seulement le voile magnifique qu’offre leur habitation. Leur village. Et de l’autre, la branche militaire haute gradée. Cette dernière, comme énorme racine virulente envoyant ses jouets que sont les réservistes commanditaires. L’œuvre de la Mort opérant alors, sa lente machine, effleurant ses nombreux rouages en mauvais état. Son ricanement se mettant lentement, mais surement en marche dans une mélancolie des plus importantes. Ils sont les armes blanches de la Mort, venant en son nom, et disparaissant dans la seconde qu’il suit. Important bien entendu leur victime dans les limbes des prémisses de la Planète Terre. La cause et la conséquence exportant de famille meurtries, tristes.

Reprenant quelque peu ses esprits, ces derniers volants allégrement aux sens des nombreux vents du globe terrestre, se regroupèrent dans une nonchalance particulière. Se retournant, d’environ sur une quatre-vingt-dix degrés, ses deux prunelles de verre bleuâtre se décomposèrent dans sa vue. Un salon simple dans un logement simple. Peut-être légèrement trop humble au vu du grade militaire que possédait le jeune ectoplasme à la brume vivante. Ce mutant misanthrope ne bouger plus depuis quelques instants pour être totalement honnête. Nous étions facilement dans le courant de la nuit. La majorité, pour ne pas dire la quasi-totalité de l’agglomération luxueuse devait être sous l’enveloppe fade et criminelle du Titan du sommeil. Sa crinière d’haillons d’argents, servant comme mariage de cet assoupissement. Une forme de plainte déchira une nouvelle fois les fines lèvres rosâtres du philosophe mentaliste. Un charmant soupir, formant une plus forte déflagration sonore que celles précédentes. Finalement, qu’avait-il fait depuis le début de la soirée ? Absolument rien, aucun mouvement décisif, précieux ou encore bien importante. La vie est une poésie muette dont les alexandrins sont les mouvements de la machinerie de la vie. Ces nombreux vers, effleurant chaque muscle que Dieu fait avec une certaine aisance. Cette créature venant déchirer les lianes de la réalité avec une fureur démoniaque et sans nom. La poutre en bois noirâtre gémissant légèrement de plaisir. Effectivement, le démon résultant de nombreuses expériences s’était enlevé de la barre avec une certaine lassitude pour tout dire. De toute façon, son enveloppe corporelle n’allait pas perduré pendant des générations ici, à attendre l’heure fétide où la Mort graisseuse viendra le prendre, dans un ricanement vague. Se retrouvant alors dos au levier, son corps se retourna finalement. Sa respiration régulière brisa le vent naturel de la ville, lui murmurant des injures au creux de son oreille.

Le répit du bout de bois ne fut nullement de longue durée, puisque que, finalement, le prisme de plaisir s’était de nouveau appuyer contre cette dernière. Pas totalement, certes, seulement ses avant-bras camouflés par les nombreux vêtements d’ombre le composant. Fermant une paupière derrière son masque métallique, sa bouche se déchira une nouvelle fois, à la limite du déboitement faciale. Apparemment, son système interne mettait en route l’alerte de la sécurité envers son horloge biologique. Ce farfadet fluet d’ombre n’allait pas tarder et par conséquent venir rejoindre le reste de la population environnante. La ville n’était plus ce qu’elle avait été. La fierté du ce magnifique village, symbole de la puissance du Feu n’était rien de plus qu’une métropole hormis tant d’autre. Sa fierté et sa beauté n’était plus reconnue depuis très longtemps. Les hauts placements ne faisaient plus rien, ou alors, rien de bien conséquent envers les habitants, militaires ou non. La belle se meurt, doucement, dans un gémissement de plainte. Ne devenant finalement rien d’autre qu’une péripatéticienne donnant ses services à d’innombrables personnes, moyennant bien entendu une somme d’argent conséquence envers le demandeur. Cela va bien entendu de soi. Son apogée était proche, certes, une apogée maussade et glaude. Nullement voulu des autres villages. Rien ne changer depuis des millénaires, et cela ne devait plus continuer comme cela. Le changement. Un mot offrant finalement de légers frissons pour certaine personne. Fermant les yeux une microseconde, il laissa son cerveau faire le point sur la situation. Une situation qui ne plaisait point au spectre de l’arrière scène de la vie. Engendrant finalement une action, son corps brumeux sauta rapidement la barrière. Atterrissant dans un bruit plutôt conséquent, il stoppa ses mouvements, n’effectuant seulement de léger coup d’œil vers la droite ainsi que la gauche. Personne, hormis le chat, le regardant fixement sans dire mot.

« Il faut que cela change. »

. : Fin. : .




Juka Kiyomizu
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