.

Envoie un MP quand c'est finit.

Bon vu le nombre de personnes ayant postulés pour Akatsuki et le nombre de places qu'il reste actuellement, je préfère annuler la présentation ( je la travaillerai et la posterai quand il y aura de la place et re-utiliserai en forme de DC ). Tout comme Ichigo, je vais reprendre mon ancien perso' Sanka et demander un test :) ( Putain ça va faire deux fois Oo ). Mais vu que Suna est fermé, j'avais pensé à une idée. Dire que mon personnage est parti en voyage mais est toujours membre du village, il est parti juste pour s'entraîner et découvrir le monde ( un peu comme naruto avec jiraiya ). Le personnage aurait bien sûr eu l'accord du Kazekage ( J'ai eu l'accord de Ryo IRL également ). Et le temps IRP que je sois en voyage sera le temps jusqu'à ce que Suna re-ouvre à nouveau, à ce moment je reviendrais. Qu'en pensez-vous :) ?

Pour moi c'est bon je te donnerai moi même un test.

Pareil, ça me va. Attend le test de Kyoshu alors o/

Test : Au cours de ton voyage, sur la route tu voies qu'un village de paysan du désert se fait prendre d'assaut par une équipe de déserteurs (3 ninjas expérimentés), tu ne peux pas les vaincre seul, tu pars donc alors à la recherche de deux autres ninjas qui pourraient te venir en aide, tu trouves deux ninjas qui ne sont pas très forts mais savent bien se battre et utiliser le ninjutsu. Quand le moment est venu, en utilisant une bonne stratégie, tu vas avec tes nouveaux compagnons reprendre le village de paysan.

Voila Bonne chance !! :D

j'en propose un autre... je le ferait pas moi même là ....

Bon en parlant de film d'horreur, je vais faire mon sadique Anti gamins. vu que ton personnage est plus ou moins gentil mais combatif je pense que ce test pour voir sa limite de tolérance sera parfait

Au cour de tes nombreux voyage, tu tombe sur un affrontement entre deux village de shinobis (libre a toi de décrire leurs pouvoirs). Bien sur tes instincs de combattant assoifé de sang te pousserons te jetter dans la bataille. Durant l'affrontement, une demoiselle est prise en otage alors que son village se retir en prenant la fuite. curieux de voir comment cela va se terminer, tu reste avec tes alliers du moments choisi sur un coup de tête et assiste a un interrogatoire d'une violence a en retourner le coeur de n'importe qui.
La partie la plus importante de ton test étant ici, explique les sentiments de ton personnage face a cela

¤ La galanterie, c'est si rare de nos jours ! ¤


Une femme, qu’était-ce qu’une femme ? Un objet sexuel, une esclave, une bête ou autres synonymes atroces auxquels certains hommes pourraient la relier. La femme dans les anciens temps n’était qu’objet de sexe, de liens de parenté avec de riches familles ou encore d’esclavage. L’homme ramenait nourriture et argent, la femme elle, nettoyait, frottait, séchait, changeait, et je pense que l’on pourrait utiliser tous les autres verbes dans le domaine des taches ménagères. La femme à l’époque n’était tout simplement pas considérée au même niveau que le sexe masculin, et aujourd’hui non plus ! Même si il y a eu de nets progrès et améliorations, les femmes subissent encore des tonnes et des tonnes d’atrocités. Viols, discriminations, racismes, coups violents, la femme n’est pas encore au même niveau de liberté que l’homme. Le seront-elles un jour ? Seul l’avenir nous le dira. Si je vous parle de femmes, ce n’est pas pour rien, en fait je me suis rappelé d’un souvenir lors de mon voyage sur le continent, et j’ai bien envi de vous en faire part !

Ce jour-là, on pouvait dire que le soleil était sous sa plus belle forme, il régnait sur les cieux illuminant de ses rayons clairières, ruisseaux, habitations, champs et êtres vivants. Au bord d’un petit lac, une canne et ses petits marchaient tranquillement pour se laisser bercer par l’élément auquel ils étaient le plus attribué. Au bord de ce même lac, un élan buvait le breuvage vital qui formait tout être vivant, tandis qu’un lynx et sa progéniture prenaient un bain de soleil dans l’herbe douce. Les papillons flirtaient ensemble, les castors construisaient leurs barrages, en cette journée de printemps, on pouvait voir une infime partie de ce que la vie avait crée. Moi je me sentais presque comme un intrus dans cette cérémonie de fin de matinée, elle regorgeait de pureté et de calme à vous mettre sans voix (ou à en écoeurer certains). J’étais vêtu d’un simple débardeur noir et d’un pantalon avec pour pardessus une longue cape couleur sable qui m’enroulait comme de la galette de riz enroulerait la farce du nem (Chaud la comparaison). Bon je vais pas commencer à parler de nourriture sinon je vais avoir faim avant l’heure du déjeuner.

Au milieu de ce spectacle matinal, je marchai sur un chemin de terre basique entouré à sa gauche et à sa droite de champs de riz. Seuls les oiseaux chanteurs venaient perturber le doux silence qui avait pris place depuis un bon moment. Alors que je venais de poser mon pied sur une flaque d’eau mélangée avec de la boue, je ressentais comme une envie de boire, sûrement à la vue du liquide d’une couleur écoeurante qui ne donnerait en aucun envi de boire (Je suis anormal je sais). Je m’assis donc à même le sol, sortis ma gourde d’eau, et me replis le gosier de ce breuvage vivifiant. Soudain, alors que je refermai le capuchon de ma gourde, j’entendis une sorte de sifflement dans l’air puis un deuxième, je soulevai alors la tête et aperçus deux petites ombres dans le ciel sur le point de s’entrechoquer. Lorsque ces deux choses se percutèrent, un bruit de ferraille intervint, pas de doute, c’était bel et bien des armes shinobis. Avant que je n’eus le temps de faire quoi que ce soit, une cinquantaine de ninjas sortirent du champ de blé en face de moi ainsi que le même nombre depuis celui de derrière. Ces nouveaux arrivants poussèrent alors des hurlements de guerre à s’en briser les cordes vocales et s’attaquèrent de front. Me rendant compte que j’étais en plein milieu d’une guerre, je me relevai suant à grosses gouttes et cherchai un coin à l’abri mais en vain. Ne sachant plus vraiment quoi faire, je me jetai désespérément dans le champ de blé derrière moi et sortis un kunai au cas ou. Ce fut par curiosité ensuite que je fis un espace entre les épis de blé avec mon arme pour regarder au-dehors. La violence qui se déroulait sous mes yeux ne ressemblait en rien aux petites bagarres à l’académie ninja ou à celle des entraînements. Là, les épées n’étaient pas en bois ou en carton, là, on ne s’arrêtait pas comme dans un entraînement lorsque votre arme est en tête à tête avec la gorge de votre adversaire. Non ce que j’avais face à moi c’était une mini-guerre où shurikens et kunais pleuvaient, où la haine et la colère se lisaient dans chacun des visages de ces combattants. Voilà quelques minutes que ce massacre avait commencé et la moitié de la zone de combat était déjà immaculée de sang, les bruits de métal résonnaient dans mes oreilles et les shinobis s’écroulaient un à un dans chaque camp. D’ailleurs en parlant de camp, je découvris en regardant leurs bandeaux frontaux d’où venaient ces ninjas. Un camp venait d’Ame du pays de la pluie et l’autre de Kusa du pays de l’herbe. Deux villages voisins ayant une faible constitution militaire mais pouvant être quand même dangereux. Pour tout vous dire, je tremblais tellement que j’étais à deux doigts de faire dans mon froc et pardonnez moi de l’expression. Vous trouvez ça drôle vous mais si vous étiez à ma place face à ces ninjas sans pitié assistant à votre première bataille, vous feriez moins les malins ! Puis alors que j’étais dans mes pensées, j’aperçus un jeune du village de Kusa venant de se fouler la cheville et qui était à la merci de ses ennemis.

Que devais-je faire, faire preuve de courage et l’aider ou ne pas réagir et me maintenir en sécurité ? Honnêtement, j’ai eu du mal à prendre ma décision. Oui c’est vrai, il y aurait eu des gens très courageux qui auraient parcouru tous les obstacles pour sauver le jeune homme et sans bien sûr avoir la moindre égratignure ! Mais, ces personnes là, à votre comment ils ont réagi lors de leur premier sauvetage ? Et bien ils ont comme moi, ils y sont allés !

Oui j’étais bel et bien sorti de ma cachette, pas pour être en couverture du journal ou encore passer dans le JT de vingt heures, non c’était parce qu’un ninja d’Ame venait de surgir des champs et allait attaquer « mon petit protégé ». Cette fois-ci, je n’eus aucun moment d’hésitation, le ninja d’Ame fonçait la tête la première, armé d’un kunai vers le jeune ninja tandis que moi je me préparai à répliquer. Je pris mon élan et posai mes mains au sol alors que le ninja d’Ame venait à peine de me remarquer, c’était trop tard pour lui. Tout en concentrant mon chakra dans mon talon gauche, je soulevais mes deux jambes dont la gauche qui était volontairement plus avancée que l’autre afin de donner un coup de talon d’une grande puissance qui avait pour nom de :

« - AKASUNA NO KICK ! »

Mon talon entra en contact avec le nez du shinobi qui était sûrement cassé, et le ninja fut propulsé par la force du coup à environ cinq mètres de sa position précédente, je n’osai même pas aller voir son état tellement qu’il s’était pris le coup de plein fouet. Lorsque je fus à nouveau au sol, je portai le ninja de Kuza en positionnant un bras sous ses genoux et l’autre juste en dessous de ses épaules avant de fuir de la zone de combat. Je posai mon rescapé quelques mètres plus loin dans le champ où étaient situés les ninjas de Kusa. Une fois que je l’eus posé, un autre ninja arriva et me lança un regard auquel je n’osai même pas répondre. Mais « mon protégé » lui dit que je lui avais sauvé la vie, et le visage de son compagnon se détendit et il me donna une bonne tape dans le dos. Soudain, des hurlements se firent entendre, mais c’était des hurlements de joie ! Les ninjas d’Ame avaient battu en retraite et ceux de Kusa riaient, chantaient, dansaient étant fiers de leurs victoires. Je les observai d’un regard nostalgique, puis il se transforma en un regard malheureux. Ma patrie me manquait, faire ce voyage avait de bons côtés, mais aussi des mauvais. Entre autre le mal du pays …



Un peu plus tard, les ninjas m’eurent proposé de fêter leurs victoires en m’accueillant dans leur village. Bien évidemment j’ai été interrogé par quelques juunins qui m’ont demandé mon identité et mon village. J’ai répondu au nom de Kazuya Hokimichi et que je n’étais qu’un simple ninja vagabond. Mon mensonge les avait convaincu et on m’avait laissé passé. J’ai fait la fête avec eux pendant un peu plus de deux heures puis après, un juunin a souhaité me parler. Il voulait que je sois membre du village, que mon courage pourrait être utile auprès des troupes. Je lui avais répondu que cela me laissait perplexe mais que j’y réfléchirai avec attention, il en fut ravi et m’invita à assister à un interrogatoire sur une jeune kunoichi du village d’Ame, je n’eus d’autres choix que d’accepter son « offre ». Mon nouvel « ami » et moi-même nous dirigeâmes vers un bâtiment assez sinistre, assez indiscret avec sa couleur noire au milieu des maisons colorées, il avait la particularité de ne pas posséder de fenêtres, sûrement pour éviter les regards curieux. Après que le juunin eut prononcé un mot de passe, nous entrâmes dans le curieux bâtiment.
L’ambiance qui y régnait était glauque et presque dérangeante, une seule lumière était allumée et elle éclairait seulement un diamètre de deux mètres, il n’y avait qu’une seule personne éclairée, c’était :

« - Alors c’est-elle la femme ? »

Oui, une femme. Ils avaient capturé une kunoichi du village d’Ame, sûrement pour l’interroger sur les dimensions du village, l’effectif militaire tout ça, mais j’avais un petit doute. La jeune femme en question, était attachée par les mains et les pieds à une chaise ainsi que privée de la vue par un simple foulard. Tout cela ressemblait plus à de la torture qu’un interrogatoire, enfin je ne devais pas me mêler de tout ça et faire ce que l’on m’avait demandé, me taire et écouter. Dans la pièce il n’y avait que quatre personnes en comptant moi et le juunin qui m’avait accompagné. Deux ninjas cagoulés et munis de Katana étaient devant la porte à attendre sans dire un mot. Alors que l’interrogatoire commençait, je me mettais déjà à bailler, un interrogatoire n’était pas vraiment une chose à laquelle j’appréciais assister, en général les gens finissent par cracher le morceau après une bonne dizaine de minutes tout en fondant en larmes priant de pas se faire buter. Au début, tout se limitait à des questions simples dont les réponses étaient négatives, jusqu’à ce que le juunin monte d’un ton. Il parlait d’une voix forte et grave à vous filer les j’tons. Je devins au fur et à mesure de plus en plus intéressé par l’interrogatoire qui changeait d’ambiance. Maintenant, tout cela commençait véritablement à partir en torture. Alors le silence avait pris place, le juunin le brisa en dégainant son poing dans la figure de la jeune femme. Celle-ci poussa un cri de douleur et se mit à pleurer et à trembloter craignant ce que allait se passer ensuite. Moi j’assistai à cet scène déjà assez difficile pour la vue, tandis que les deux autres shinobis présents ne réagissaient en aucun cas. Je sortis d’un seul coup de mes pensées lorsque le juunin gifla la kunoichi et hurla :

« - Est-ce que tu vas me dire quels sont les dimensions et l’effectif militaire de ton p***** de village ?! »

La femme dit d’une voix étranglée et diminué par les sanglots, la réponse qu’il ne fallait pas donner, le juunin, cette fois-là, ne se mit pas en colère. Bien au contraire, il se mit soudainement à ricaner et claqua des doigts. C’était à ce moment-là qu’un des deux ninjas cagoulés amena un katana bien aiguisé puis se retira. Alors que je restai immobile, les yeux grands ouverts suant comme une fontaine, le juunin pratiquait déjà sa torture. Il n’y allait pas de main morte, avec ce katana qui était présent dans ses mains depuis seulement une minute, qu’il avait déjà plusieurs fois entaillé sa victime jusqu’au sang qui coulait à petits flots le long de ses membres. Comment pouvait-on faire cela, comment pouvait-on en arriver là ? Ennemi ou pas, un être humain en reste un ! Personne ne mérite de pareilles tortures comme ça, même si cette personne a commis des atrocités …

Des gens trouvaient mon jugement trop rapide, puisque eux ont déjà les yeux remplis de haine. Je n’ai jamais vraiment été rancunier ou haineux dans ma vie, je ne suis donc pas connaisseur dans ce domaine là, mais je sais quand il y a des limites à ne pas dépasser ! Non … Non il faut que je me taise, ça ne me concerne pas toutes ces histoires, je n’ai pas le droit de m’en mêler.

Quand ce sera terminé, je partirai et oublierai tout ce qui s’était passé, oui, c’était la meilleure solution. Puis tout à coup, un bruit attira mon attention et me fis sortir à nouveau de mes pensées. Ce bruit s’était le contact entre la garde du Katana et la joue de la kunoichi, avec comme rajout, le bruit de giclure du sang. Les joues de la jeune femme étaient de la même couleur que celle d’une tomate, elles étaient à moitié recouvertes de sang, et les entailles avaient doublées en nombre depuis la dernière fois que j’avais posé mon regard sur elle. Le juunin prenait un malin plaisir à hurler ses questions à m’en casser les oreilles. La femme ninja n’arrivait même plus à prononcer le moindre mot à cause de ses joues enflées lui donnant un air d’hamster. Mais l’heure n’était pas à la rigolade, mes membres tremblaient de tout part, pas de peur mais de colère. La cruauté de cet homme me laissait sans voix, ce n’était plus de la torture mais de la barbarie ! Merde, je n’avais pas le droit d’intervenir sinon ils s’occuperaient de mon cas et m’élimineraient, mais était-ce le prix à payer pour sauver cette vie ? C’était là, juste après que je m’étais posé cette question, que j’entendis cette phrase qui me donna un haut le cœur :

« - Tu sais ma belle, que je peux faire ce que je veux de toi ?! »

Mon regard fixa la main du juunin qui se rapprochait de son entrejambes. Ma réaction fut immédiate. Je ne pris même pas le temps de réfléchir à la moindre tactique ou solution que je pouvais utiliser, je me précipitai vers le shinobi barbare sans plus attendre. Mais ce dernier m’eut vu, et détourna sa main pour tenter de me dégainer un coup de poing. À ce moment-là, je pris appui sur mes deux jambes et attrapai le poing avec ma gauche. J’immobilisai instantanément sa main en appuyant de toutes mes forces sur ses articulations du bout de chacun de mes doigts. Par contre lui et moi ne fûmes pas les seuls à réagir. L’un des ninjas cagoulés se positionna derrière moi pointant le katana à quelques centimètres de mon cou, tandis que l’autre partait hurlant qu’il allait chercher du renfort. Voilà, la scène était terminée, la balle était dans leur camp, à eux de choisir ce qu’ils feraient de mon sort. J’avais une chance de m’en sortir, celle de neutraliser mes ennemis avant que les renforts ne soient là. Un silence total régnait dans la pièce, seul la respiration de la kunoichi arrivait à produire un son capable de rompre l’absence de paroles. Puis enfin, malgré les grimaces que le juunin faisait à cause de la douleur, il trouva le moyen d’éclater de rire puis de dire une phrase qui me glaça le sang :

« Petit, je préfère te dire que ce la kunoichi a subi, t’en prendras le quintuple ! »

Bordel, je n’avais aucune chance, j’étais foutu … Avec lenteur je relâchai l’emprise que j’avais sûr le juunin tandis que le shinobi cagoulé abaissa son katana. Non, non je ne pouvais pas abandonner si facilement, je ne pouvais mourir alors que j’avais encore tant de choses à vivre ! Il était de mon devoir de vivre !! Le petit sourire en coin, je disais alors :

« Essayes un peu pour voir … »

Cette fois-là, je ne leurs eus pas laissé le temps de réagir. Dans l’instant, j’attrapai l’avant-bras du juunin, souleva ce dernier et l’envoya de toutes mes forces sur le ninja cagoulé qui s’écrasa contre le mur en le fissurant, désormais j’avais un temps limité. Je m’empressai de libérer la kunoichi qui s’écroula sur moi, je la pris, et la portai sur une épaule, ramassant un katana avec son étui, je sortis du bâtiment avant de déposer un parchemin explosif au dos de la porte qui s’enclenchera lorsqu’elle sera ouverte. Une fois dehors, je courus comme je n’avais couru de ma vie. Lors de ma course alors que je n’étais plus très loin des portes, j’entendis une explosion, ils en avaient mis du temps pour entrer ces crétins. Par chance, je n’eus pas croisé de ninjas sur ma route, mais un problème plus important venait de faire face. L’immense grille qui donnait l’accès au village s’abaissa petit à petit. Je n’étais qu’à simplement trois mètres que la grille était sur le point d’achever son parcours. Je sautai alors au sol retombant sur le dos et glissai pour sortir en ayant pris soin de coller la kunoichi contre moi. La grille se referma dans un bruit sourd. J’avais réussi à passer, de peu mais j’y étais arrivé. Je me répétai cette phrase pendant au moins cinq bonne minutes, je m’étais sorti d’une situation quasi-impossible, quand je raconterai ça à Ryo-sama … Remarque non, il vallait qu’il ne soit pas au courant, sinon il allait me faire la morale et me dire que j’avais pris trop de risques patatipatata …

Bref il était temps que je me fasses la belle avant d’avoir d’autres ennuies. La kunoichi elle, dormait, comment pouvait-elle trouver le sommeil après toutes ces querelles. Je la déposai sur mon dos, accrochai le katana à ma ceinture et partis vers le pays de la foudre. Sur le chemin, j’eus déposé la jeune femme dans un petit centre médical, où elle fut très bien soignée. Je lui avais laissé un petit mot d’adieu, et continuais mon voyage comme si ne s’était passé.


Test rp fini, désolé pour la longueur j'ai été trop inspiré ><'

bonne chance sanka

Rang B, ou A ? Ce serais Nukenin, c'est ça ?

Ouais rang B pour ma part, lvl 14 ou 15 à voir.

Nan pas Nukenin, je suis juste en voyage avec autorisation de Ryo ><'.

Niveau 15. Tu es validé. Bon RP =)

Bonjour/Bonsoir.

|- Direction corbeille.

Hunk.