Croire en quelque chose est primordial, mais savoir en quoi il faut croire est une chose dur et un chemin à la fois ardus et escarper. Croire ne dieux, croire en l’espérance, ou encore croire au destin ? Tout cela rejoint une seule et unique idée, la peur de croire en soit même. Moi je ne me pose même plus cette question inutile. Aussi futile que cela puisse paraître je crois en moi et en mon esprit ingénieux. Voilà pourquoi je me retourne et marche droit devant sur le sentier de la vie, cette vie de chienne, dur et impossible.

Je venais à peine de devenir un ninja de Konoha, j’aurais bien aimer être un ninja de Suna, mais forcer de m’enfuir très jeune je n’avais pas pu. Le hokage lui-même venait de me donner ma toute première mission, une facile pour bien débuté. Je me devais de montrer ce que j’étais capable de faire. Mais bon ce n’est pas sans arrière pensé que je m’imaginais déjà l’un des meilleurs ninjas du village. Bref trêve de bavardage. Je devais m’occuper de cette mission le plus vite possible si je voulais en avoir une autre un peu plus dur… Et cela risquait d’être fort facile, je devais faire parler quelqu’un, un nunkenin, je devais apprendre pour qui il travaillait et pour quel raison il était dans le village de Konoha. Je relis ma mission une dernière fois avant de me diriger vers la prison de Konoha, là ou je présiderais l’interrogatoire.

Citation :

Un marchand d'épices à été pris entrain de donner des documents à un nunkenin... Le nunkenins a été attrapé par les services secrets avec des documents servant à notre village et qu'on aimera être confidentiels... Ta mission est de présider son interrogatoire et de lui faire cracher le morceau... On doit savoir pour qui il travail et pourquoi ? Et toute autre information utile... Bonne chance

La porte s’ouvrit d’elle-même avant que je ne pose la main sur la poignée. Je crus d’abord à un petit tour de passe-passe, mais ce ne fut qu’après avoir traverser la porte que je vis un tout petit homme, un nain, qui se tenait juste derrière la porte voilà pourquoi je ne l’avais pas vu. Je traversai un long couloir, il était sombre et décrépis. Un rat passa près de mon pied à toute vitesse, j’entendais au loin des gouttes qui tombaient sur le sol à répétition. À ce que je voyais ce n’était pas très bien entretenu cette prison, mais ce ne devait pas être la préoccupation numéro un, il ne s’agissait que d’une prison tout de même… J’arrivai à l’accueil, je fus accueilli par un homme, cet homme n’était pas vraiment plaisant à regarder. Il m’accompagna jusqu’à des cellules, trois hommes était dans l’une et quatre dans l’autre. L’un d’eux essaya de m’attraper à travers le barreau, je n’eu juste le temps que de projetai ma tête vers l’arrière pour l’éviter, je lui attrapa le bras et le tordit avec un tel force que je sentis l’os se déplacé et ensuite se casser. L’homme qui m’accompagnait se émit de grands éclats de rire. Je le dévisageais ne comprenant pas trop pourquoi il riait ainsi et nous continuâmes notre chemin.

Nous arrivâmes enfin devant une grande porte menant à une salle immense, dans laquelle était disposé une table avec toutes sortes d’objets de torture en tout genre. Je n’en n’aurais pas besoin j’en suis persuader. Un cri attira mon attention, je portai mon regard dans un des coins de la pièce, il y avait trois hommes autour d’une chaise en métal, là où était attacher un homme qui criait sur la torture, il s’agissait probablement du type que je devais faire parler. Le plus grand des tortureurs s’approcha de moi, ce devait t’être le plus au gradé des trois.

« Tu es le mec qu’on nous envoie ? Tss on a tout essayer pour le faire parler, mais rien n’y fais il est trop résistant. Si on nous aurait pas interdit de lui administrer un moyen qui risquerait de le tuer au moins ! Bref bonne chance, mais je ne crois pas que tu réussiras.

Sans même prononcer une seule parole je m’approchai du nunkenin qui continuais à sourire comme un idiot, je n’aimais pas ça, je n’ai jamais aimer ces regards médiocre et trop sûr d’eux. J’allais le faire parler sinon mon nom n’était pas celui que mon père m’avait donné suite à la mort de ma mère, Heiko.

« Je parlerai pas du con perd pas ton temps comme c’est autre taré là !! HaHa HaHa !!

« Premièrement ne me compare jamais à des idiots comme ceux là ! Et deuxièmement ne me sous-estime surtout pas, je vais te faire parler et tu peux en être sûr. Mais comme je suis assez gentil je vais te laisser la chance de parler avant que je commence.


Je n’eu que pour seul réponse un cracha dans la figure la sans en était trop. Il parlera et très bientôt. ‘’ Satsugaite no Jutsu’’ voilà la technique que j’allais utilisé pour le faire parler et si ça ne marchais pas je savais exactement ce qui allait marcher, mais j’espérais quand même ne pas avoir à aller jusque là, mais si je n’avais pas le choix je devais le faire. Bref, un fois ma technique activée du chakra se forma autour de mes mains. Je lui assénai un coup bien calculé sur le muscle du bras gauche, il poussa un cri intensément trop fort, mais ça ne le faisait toujours pas parler. Je frappai à nouveau ailleurs, mais rien ne le faisait parler, même si les larmes lui coulaient il ne bronchait. J’utilisai donc les grands moyens. Je posai une main sur sa tête. Et activai mais technique la plus destructrice, meurtre par évaporation. N’ayez crainte je n’allais pas le tuer pour de vrai mais seulement le lui faire croire. À peine avait-il sentit la chaleur de ma main c’est yeux s’écarquillèrent et il se mit à crier à nouveau, mais cette fois bien plus intense que les autres fois. Ma main était incontestablement chaude, ce ne fut pas bien long et il décida de parler. Ma mission était donc accomplie, je pouvais à présent aller me reposer chez moi. Je passai devant les gardes qui me regardaient avec la bouche grande ouverte. Je passai devant l’accueil et ensuite devant le nain qui m’ouvrit à nouveau la porte et je disparus enfin dans le soleil couchant …