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Signe de puissance, nullement présent. |Privée.|

Hunk Moroshi
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MessageSujet: Signe de puissance, nullement présent. |Privée.| Signe de puissance, nullement présent. |Privée.| Icon_minitimeMer 3 Aoû 2011 - 15:56

Citation :

Ce topic est seulement pour les membres de Kiri, les mercenaires ainsi que les Konohajins traites.






. : La mélodie de la Faucheuse s’intègre, enfin. : .

Maintenant que tous cela est fini, une autre mission doit être effectué par le doux et magnifique ectoplasme à la brume dansante. La mission était simple. Cela était une source tout simplement sûre. Mais pourtant, bien qu’elle fût simple, la discrétion ne sera nullement de mise pour tous cela comme envers la première mission de rang « S.S ». Assez originalement, tout cela sera qu’une mare de sang et de bois dont tous cela ne seront rien d’autre que le moteur d’une douce et magnifique machinerie d’or augmentant les capacités de son créateur. Finalement, une magnifique ombre se déplace dans le pauvre et putride village de son enfance. Avec une certaine nonchalance il se dirigea rapidement vers la colline des Hokages. Oui, cette puissance tout simplement destructive nullement connu aux des habitants de ce pauvre village. Alors que le monstre aux dents finement blanchâtre s’intégra devant cette douce et simple colline. Soupirant avec une certaine lenteur, l’homme replaça tranquillement son masque en bois ou en plastique. Depuis tout le temps, il ne savait pas encore dans quelle matière cette espèce de chose tout simplement débectante était faite. Alors que ses yeux se perdirent avec une certaine lenteur monotone encore une fois dans cette montagne, ses mains gantées plongèrent dans l’une de ses poches annexes, farfouillant activement, définitivement il retrouva son deuxième ordre de mission. Du moins, si nous pouvions appeler cela comme ça. Cette chose résultant plus comme une requête que le fantôme de la brume avait bien entendu accepté. Seulement pour le changement. Car effectivement, bien qu’il était surement envoyé au front avant les autres avec les espions du village de pays de la brume cela n’était pas une source de plaisir pour autant. Il ne refusait pas de se battre, loin de là. Mais effectué les tâches maussades…

S’étirant doucement alors que définitivement il regardait toujours et toujours cette colline marron, l’homme à la tenue des forces spéciales du pays de la brume cligna tranquillement de ses deux paupières blanchâtres. Finalement et définitivement son bout de parchemin d’une douce couleur crème se déposa contre l’une de ses nombreuses poches de son habillement militaire. Tranquillement, son esprit se perdit doucement dans les nombreux souvenirs qu’il avait envers son village. Pour être totalement réaliste, une partie était tout simplement dédiée à une chose bien particulière. Son entrainement au sien du laboratoire scientifique. De nombreuses années à connaitre tous et n’importe quoi sur la physique et ses capacités théoriquement hors-normes. Finalement, l’homme n’était rien d’autre qu’un homme parmi un autre. Affûté d’un masque ou encore bien d’un bandeau sur son œil pour que rien ne soit connu de tous cela. Soupirant d’ailleurs à cette pensée assez putride et débectante voire quelque peu maussade, une nouvelle étape de sa vie se fut tracé enfin vers cela, son entrée envers les services militaires. Académie, tournoi purement sanglant, première mission. Premier meurtre. Car effectivement, nullement besoin de se cacher la face devant tous cela. Le militaire n’est rien d’autre que le simple et magnifique suppôt de la Mort elle-même. Mais, pourtant, qui résulte de la Mort ? Cette douce et somptueuse au teint purement blanchâtre ? Cela serait-il les commandants de ce village ? Représentant définitivement les quatre maitres de l’Apocalypse ? Intégrant définitivement une ère nouvelle envers les habitants de leur village respectif. Impossible de le savoir finalement. Soupirant pour la deuxième dans le laps de temps assez court, l’homme secoua rapidement la tête. La troisième partie de son histoire n’était définitivement cela. Le changement de son statut. Passant du simple soldat assez maussade au plus puissant d’un village en perdition. Bientôt, effectivement.

Pourtant, tout cela n’était pas encore en place. Bientôt, cela était une valeur purement sûre pour le jeune homme à la crinière purement sanglante. Sa vision d’un nouveau village. Un village ne tombant plus comme le plus faible et le plus pathétique par la faute d’un commandant ce laissant paresseusement assis dans son bureau avec une monotonie simplement affolante. Une régime de peur et de sang, tous cela n’était rien d’autre que le commencement de quelque chose de bien plus merveilleux que le passé s’inscrivant définitivement dans les veines des personnes étant du pays de la feuille morte, cette dernière naviguant maintenant aux grès vents simples mais somptueux. Un fin sourire arriva au travers de sa façade purement blanchâtre. Il avait une soif de pouvoir tous simplement gargantuesque depuis toujours. L’homme à la tenue bleuâtre avait été conditionné pour tous cela pour être véritablement exact. Son sourire s’élargit avec une certaine monotonie et finalement, son enveloppe corporelle se dégagea de la colline. Lui tournant le dos. Une surprise était envers cette fameuse colline, symbole de la toute-puissance de ce pauvre et débile Kage du village. Tout cela ne sera plus de mise dans la pauvre roche, le symbole d’une tyrannie n’existera plus jamais. Et, heureusement qu’il était du village. Il avait pût faire ses actions avec une facilité tous simplement déconcertante. Trahir son propre village était finalement la meilleure chose qu’il avait faite depuis son premier jour sur la Planète Terre. Etant un haut gradé dans la hiérarchie ninja, le jeune homme avait une parfaite connaissance des tours de garde ainsi que des positions de tous les gardes. Que cela ne soit pas des archives privées ou alors les ayants obtenues en faisant ami-ami avec ces dits ninjas. Il effectua quelques mudra, ses bras devenant alors une source d’électricité puissante…

[...]

Le temps était passé et ses bras avaient gagnés en puissance, oui, tous cela n’avait bien entendu un but bien précis dans son esprit d’or et d’argent. Alors que le sourire devenait quelque chose de purement démoniaque, semblable à la pire des créatures satanique ou encore bien méphistophélique. Oui, un monstre. L’ectoplasme avait changé finalement de statut en quelques secondes. La rage venait envers ses veines et son sang ne devenait qu’une source de chaleur tout simplement gargantuesque. Regardant à droite ainsi que sur sa gauche, l’homme regarda son objectif assez gargantuesque. Oui, le point de commencement de la puissance. C’était tout simplement normal que ces dernières doivent être détruites avec une certaine fureur. Depuis combien de temps était-il là, à attendre. Bien entendu, personne ne l’avait vu, et bien que la prison fût éloignée, apparemment les habitants n’étaient pas au courant puisqu’ils étaient encore dans leur occupation respective. Se dirigeant finalement devant son simple et unique objectif, l’homme à la chevelure magnifiquement et somptueusement sanglante, flamboyante regarda. L’ancien ectoplasme maintenant devenue une espèce d’hydre ayant reçu le don de la vérité du Jardin d’Eden. Pourquoi tous cela finalement, cela serait-il pour le simple pouvoir d’avoir une poignée d’âmes humaines sous son aile, ou alors, pour autre chose que son cœur ne connaitrait pas encore. Pour être totalement transparent, le militaire de l’agglomération en perdition ne savait nullement cela. Courant à présent sur les toits, son enveloppe corporelle arriva devant les magnifiques et gargantuesques portes du village de Konoha No Kuni. Oui, cela était son objectif. Le symbole de cette puissance ne devait plus être de mise dans tout cela, elles seront bien entendu remplacées avec le temps, cela était une évidence simple et merveilleuse mais pas maintenant. Sautant finalement, il arriva dans une gerbe électrique au sol terreux…

Son fin sourire arrogant s’élargit à travers son masque. C’était amusant de voir l’expression de ses amis de travail regardant l’homme se tenant devant lui. Bien sûr, personne ne pouvait le reconnaitre. Et cela était extrêmement jouissif, il devait l’avouer. Une forte déflagration sonore perça finalement le village ainsi que les alentours. Le premier symbole de la puissance n’était plus. Le visage du monstre ayant sous sa possession n’était plus. Le visage de pierre incrusté dans la montagne n’était plus rien qu’un creux vide et sans ressource. Oh oui, tous cela n’étaient que le changement du commencement mais la machinerie était enfin en route. Souriant comme jamais, ses mains électriques se replièrent sur elles-mêmes alors que le jeune homme effectua une rotation rapide rotation sur lui-même. Maintenant, les portes de Konoha No Kuni tomberont avec une lenteur assez inquisitrice. Un vortex électrique tout simplement gargantuesque se forma face à lui, se dirigea alors avec une rapidité assez conséquente envers les deux portes. Emportant toute chose se trouvant sur son passage, toits des maisons comme ninjas gardant la porte. Dans une gerbe de sang et de bois, le vortex détruisit finalement les portes de la puissance avec une facilité tout simplement déconcertante. Le vortex était visible de loin et les troupes alliés du village de Kiri allaient maintenant être là d’une seconde à l’autre. Ne s’arrêtant nullement aux portes maintenant bout de bois simple, le jeune homme dirigea son bras envers le village, et plus précisément vers l’allée principale menant vers le centre-ville. Il y aura des dommages. Certainement, des morts aussi. Malheureusement, mais nullement de civils. Regardant tous simplement impassible le vortex, sa main gauche se referma violement. Une personne était en face de ce monstre de puissance électrique. Le vortex explosa littéralement dans un bruit conséquent, et, la petite fille partie. Trainant son ours en peluche contre le sol. Complètement émerveillée par le vortex qui avait explosé devant elle. L’ignorance du commencement…


« A vous. »







Dernière édition par Moroshi Hunk le Jeu 11 Aoû 2011 - 15:47, édité 4 fois
Grimmjow
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MessageSujet: Re: Signe de puissance, nullement présent. |Privée.| Signe de puissance, nullement présent. |Privée.| Icon_minitimeJeu 4 Aoû 2011 - 3:38

La guerre avait finalement était lancée. Après de nombreux débats sur le comment du pourquoi nous avions enfin décidé de lancer l’assaut sur le village caché de la brume. Cependant, nous n’étions apparemment pas les seuls à vouloir la tête de l’Hokage se trouvant toute en haut de la pyramide que formait Konoha. Cette guerre allait faire de nombreuses victimes dans les deux camps, mais cela était inévitable et la Mizukage le savait très bien. Ce que malheureusement je pensais qu’elle ignorait c’est que son vieil ami l’Hokage ne l’était plus, il fallait faire abstraction de toutes les choses qu’elle avait partagées avec lui et le regarder comme un ennemi et non pas un vieil ami avec lequel elle avait eut une querelle. Cette fois-ci le sang allait couler et tout le monde le savait, la seule question que tout le monde se poser était : est-ce-que je serais une victime ou non de cette guerre ?

Malheureusement personne n’avait encore cette réponse, des ninjas talentueux étaient présents dans le village de feuille mais c’était réciproque pour le village de brume, les hauts placé du village du brouillard étaient des ninjas de renommer qui avaient marqués la légende. Moi cependant j’étais arrivé assez tard dans les rangs de ce village si craint par le passé. Mais cela ne m’empêchais pas de connaitre tous sur ce village et ses ninjas, j’en connais même plus sur ce village que les hauts placés du conseil, après tous j’avais été un membre de la Lune Rouge, cette organisation qui connaissait tous sur tout le monde, c’était cependant cette dernière chose qui me laissais perplexe, je n’avais pas encore entendu un agissement de leur part ce qui me laissait sur ma faim, il se passait quelque chose et je savais que le chef de l’organisation n’attendait jamais trop longtemps pour passer à l’action, étaient-ils au courant pour cette attaque surprise au village de Konoha ?

Allaient-ils s’en prendre à notre village pendant que nous sommes dans le pays du feu ? Si jamais cela arrivait alors je serais le premier surplace. C’était ces interrogations qui restaient sans réponses et cela me frustrais, nous devions finir cette guerre rapidement avant de rentrer chez nous et reprendre nos activités respectives aux plus vite avant que quelque chose ne tourne mal. Un pressentiment me disait de rester en arrière pour élaborer un plan de secours, mais je me devais d’accompagner mes hommes à la guerre comme le ferai un chef, après tout j’étais le commandant des armées de Kiri, j’étais celui qui avait mis en place ce plan pour la guerre et j’étais celui qui devait donner les ordres adéquates avec ma Mizukage pour mener cette guerre à bien. Nous devions sortir victorieux de cette guerre, le résultat dépendre de la survie du village de Kiri, mais mes doutes était minimes, avec l’aide qu’avait trouvé la Mizukage Akari Hasegawa je n’avais presque plus aucun doutes sur la victoire de notre camps.

C’était malheureusement autre chose qui trottait dans ma tête, nos nouveaux alliés… D’où sortaient-ils ? Est-ce-que c’était un piège pour nous forcer à entrer dans le village pour ensuite nous tuer un à un lorsque nous entrerions dans la muraille qu’est le village de Konoha ? Non je ne pense pas, le chef des rebelles était trop impatient de possédait son propre village qu’il n’arriverait pas à trouvait une stratégie assez complexe pour nous avoir. Mais ce n’était pas ça le problème, le problème était plus gros. Je connaissais le potentiel stratégique du chef du village caché de la feuille, Fujita Kodo avait élaboré à mainte reprises des tactiques qui avaient fais échoués nos plans au sein d’Akatsuki. Cet homme était très dangereux même pour les membres de la Lune Rouge, je pense que je devais garder à l’œil les agissements des troupes de rebelles pour ne pas entrer dans un piège quelconque.

C’était mon devoir dans ce cas la de mettre fin à la mascarade qu’avait mis en place le Hokage et prévenir la Mizukage que nous foncions dans un piège tendu par l’ennemi. L’imagine de Fujita Kodo apparut ensuite dans mon esprit, cette homme était bien capable d’envoyer des hommes à l’abattoir pour que son plan soit bien conduis, cependant il minimiser les pertes ce qui vouais dire que si autant de rebelles étaient présent ici alors le village de Konoha possédait d’autre ninjas. Nous avions rencontré tous le monde, des choses dont je n’avais pas envies de raconter c’étaient passés mais rien de bien intéressant, la suite par contre allait elle être intéressante, j’avais suivis de loin se chef des troupes rebelles, je le regardais de mes yeux perçants, je n’avais toute à fait confiance en lui, après tous il faisait partis de ceux contre qui nous nous battions, qui nous dit qu’il restera sagement de notre côté et combattra à notre côté ? Personne en avait la certitude, la Mizukage elle voyait en ces troupes de rebelle une chance de plus de prendre le village de Konoha avec facilité, moi cependant je trouvais cette manière justement un peu trop facile pour être qualifié de guerre. Les ninjas de Kiri étaient massés derrière ce chef des troupes rebelles et ces Nukenins qui s’étaient joins aux troupes rebelles, cet accord aussi semblait louche, que faisaient des mercenaires Nukenins au beau milieu d’une guerre ninja pour l’acquisition d’un village, il y avait aussi quelque chose sous cet accord.

Signe de puissance, nullement présent. |Privée.| Mod_article408725_10

Pour le moment le rester en retrait, j’étais sur une haute branche se situant non loin des immense portes du village caché de la feuille, je pouvais voir de ma place mes hommes attendre le signal du chef des troupes rebelles. Une fois les portes du village de Konoha transformée en copeau de bois, je regardais ce chef des troupes rebelles attendre que mes ninjas franchissent la porte. C’est alors que Kaiza me regarda, apparemment il savait que j’étais restait derrière pour analyser cette situation, je lui fis signe de donner l’assaut à ma place pour ne pas être vu. Pour ma par je ne vis pas tous de suite la Mizukage mais cela ne saurait tarder elle avait à régler une ou deux choses avant de rejoindre ces propres troupes. J’allais donc l’attendre patiemment avant de m’avancer enfin devant les yeux du chef des troupes rebelles, je n’oubliais pas non plus le Lune Rouge que je sentais tout au fond de mon être, je n’aimais pas ce genre de sentiment car les mauvais se réalisaient toujours. C’est un fait que j’avais appris à mes dépends. C’est alors que je dis :

« Je ferrai mieux de balayer la zone on sait jamais… »

J’utilisais ensuite ma technique pour connaitre l’emplacement de chacun de mes ninjas, ils étaient tous en route pour se rendre dans le village mais certains trainaient encore derrière, cette guerre était finalement lancée et elle allait faire de nombreuses victimes, voila ce qui se passait lorsque l’on provoquait le village caché de la brume plus connus sous le nom de la brume sanglante, les ninjas de Konoha allaient bientôt l’apprendre à leur dépend. J’allais moi aussi prendre par à cette guerre et me dégourdir un peu les jambes, cela faisait pas mal de temps que je n’avais pas combattus et surtout que je n’avais pas tué, voila ce qui m’arrangeais bien lorsque j’étais membre d’Akatsuki je pouvais tuer, tuer et encore tuer, à présent c’était difficile mais je vivais avec.

Hrp : Désolé pour la qualité inférieur mais c’est un premier post depuis mon arrêt du rp.
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MessageSujet: Re: Signe de puissance, nullement présent. |Privée.| Signe de puissance, nullement présent. |Privée.| Icon_minitimeMar 9 Aoû 2011 - 9:03

« Le jour le plus long »
Titre rançais



La guerre, cette fois plus aucun moyen de reculer, plus de solution pour battre en retraite. Une seule et unique chose est à faire maintenant, le combat et rien d’autre. C’est ainsi qu’est la vie du ninja, obéir sans poser de question, de toute façon, cette bataille, je m’y suis préparer depuis l’annonce à Kiri, je vais donner le meilleur de moi-même, de là où il est, je sais que Ookii-sensei sera fier de moi, tout comme mes parents et ma sœur. Pour mon père et ma mère, je ne me fais pas l’ombre d’un quelconque souci, tous les deux étant de très bons ninjas, qui peuvent s’en sortirent facilement. Oh bien entendu, ma chère Ayame est également une assez bon combattante malgré son jeune âge, plus que moi d’ailleurs, bien que nos spécialités sont différente. Comme me l’a dit maitre Mizukage une fois, ma sœur et moi avons tous les deux des qualités qui nous sont propre, que ce soit Ayame ou moi, nous deviendrons de grand ninja, avec de l’entrainement, comme pour n’importe qui. Bien que je persiste dans l’idée qu’Ayame, est le génie de notre génération au sein du clan Yashiro du village caché de la Brume.

Pour le moment, je me concentre de nouveau à ce qui est face à moi, à savoir les portes du village caché de la feuille. Nous avançons bien rapidement, je reste près de Grimm-sensei. Lui qui m’a pris sous son aile après la mort d’Ookii-dono. Un homme des plus étranges qu’est Grimmjow. Oh je ne l’en blâme absolument pas, après chaque shinobis, quel que soit son rang, dois savoir garder un minimum, pour ne pas dire maximum, d’informations ou autre sur lui-même, afin que l’on ne puisse pas trop en savoir à son sujet. Qui plus est, mon nouveau maitre est un très puissant ninja, l’élite de l’élite de la Brume. Quelqu’un qui selon moi, mérite tout le respect de notre village. Il ne m’a jamais parlé de son avis, il faut dire aussi, que je ne lui ai jamais posé de question à ce sujet précis. Oh bien entendu, il m’arrive parfois d’en avoir envie, mais je me retiens, ne sachant trop comment aborder la question avec lui. Je ne peux pas vraiment prévoir sa réaction, si je m’intéresse un peu trop à son passé, avant de devenir mon sensei. Peut-être que viendra un jour où j’oserai lui demander.

Quelques minutes, avant que l’on ne lance notre offensive sur Konoha. Les portes sont visible maintenant, mais une ombre s’y trouve assez proche, ce ne semble pas être un ninja de Konoha, alors sans doute un de Kiri au vue de sa tenue d'Anbu. Pourtant j’ai l’impression que quelque chose ne va pas avec cette personne. Ce qui est une chose sur, c’est que de toute façon qu’importe son identité, bientôt nos forces passerons l’entrée du village et la guerre atteindra ses premiers affrontements. Moi compris, je vais devoir me jeter dans la mêlé, car bien qu’étant ninja médical, je dois aussi combattre les ninjas de Konoha. Ce n’est pas comme si c’est la première fois, que je pars au combat, avec pour objectif de tuer tous ceux qui vont s’opposer à l’armée du village de Kiri. J’ai déjà du tuer dans le passé, lors de mes nombreuses missions de rang B. On peut les voir comme des sortes d’entrainement, en vue de la bataille qui arrive, car je sais comment tuer, je sais que si je suis attaqué, je ne dois pas faire preuve d’émotion et me défendre, qu’importe la fin de mon adversaire, tant que moi je vie.

Un instant après, un bruit, une forme, une explosion. Des roches qui tombe au loin, un des visages de pierre de la montagne, là où sont les visages en roche des maitres Hokage. Alors que le bois des portes s’écroulent aussi, nous pouvons tous voir, que le visage de l’Hokage actuel, Fujita Kodo, du moins, sa représentation rocheuse, explose également, laissant présager pour certains, un avenir assez sombre pour l’issue de la guerre, en ce qui concerne le Kage de Konoha. Personnellement, je ne me fie pas trop à ce genre de prédiction, car la guerre est une chose des plus incertaine, rien ne dit que dans les minutes à venir, notre armée ne soit pas vaincu, oh bien sûr, en fait c’est impossible, Kiri est connu pour avoir une assez puissante force, nous n’avons pas peur du combat et savons de quoi nous sommes capable. Les shinobis qui vont nous faire face, doivent se préparés à combattre des ninjas sans peur, ni pitié, le sang va couler sous peu. Plus de temps à la réflexion, après un regard à Grimm, qui semble réfléchir et son accord silencieux, je m’élance dans le village, suivant mes camarade et ami de Kiri.


Codage by Hana Lyoko / Akari Hasegawa
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MessageSujet: Re: Signe de puissance, nullement présent. |Privée.| Signe de puissance, nullement présent. |Privée.| Icon_minitimeJeu 11 Aoû 2011 - 17:03

Les idioties humaines sont parfois les plus consternantes, c’était ce qui pouvait le plus facilement ressortir des constatations que je faisais plus ou moins objectivement sur ce qui m’entourait, et ce que je devais voir pour accomplir ma mission, mes missions, ou combler cette sournoise envie de connaissances qui me rongeait depuis tant de temps, une sadique et perverse envie de savoir qui n’était là que pour faire avancer la science, celle dont je me targuais d’être le roi. Il était si simple, si amusant et parfois dégoutant d’observer les mimiques humaines dans leur plus raffinés inélégances, la nature même de la foi humaine qui se targuait d’être suprême, alors qu’elle n’était au final que poussière ocre et ferreuse, odeur sanglante et putride, qui s’effaçait pour finir consumer dans les flammes d’or de la rivière du temps et du monde. La stupidité humaine était affligeante certes, mais était la source de nombreuses évolutions et permettait de comprendre de grandes choses, et de faire avancer certaines recherches avec d’autant de plus facilité. Mais dans certains cas cette même folie qui caractérise le fondement même de l’être humain peut être considéré comme la source même de la chute du monde et de ce qui gangrène tout jusqu’aux fondements de notre existence. La bêtise qui habite dans le cœur des hommes peut ainsi prendre diverses formes, mais en ce jour, en cette époque, en ce moment même, une seule erreur avait unis toute une nation contre une autre, toute une nation contre une seule personne qui avait simplement commis le pêché de stupidité et s’était laissé porter par sa propre décadence, une décadence dont ne résulterait que sa propre fin, inévitable condamnation d’un dieu régnant sur la mort qui allait abattre son immense faux sur lui, et trancher filaments par filaments sanglant, sa gorge pour offrir la tête aux cieux afin que ceux-ci retrouvent leur clémence d’antan. Il était amusant de voir à quel point la sottise d’un seul homme pouvait se répercuter dans une nation entière, et entrainer sa chute dans sa suite… Une guerre s’était préparé, une guerre allait commencer à cause de ce seul homme qui avait cru bon de se foutre de trop de personnes et qui en ce jour, et cette bataille sanglante, allait en payer les pots cassés. Dans ce campement de fortune que nous avions installés aux alentours de Konoha même, à l’abri du couvert sombre et délicat, parfumé et raffiné, de la grande forêt qui cernait la cite ninja elle-même, la tension était des plus palpables, chaque homme sentant dans son cœur un roulement de tambour profond et puissant lui signalant que l’heure d’un nouveau carnage allait peut être commencé d’ici peu, nul ne connaissant le moment exact, ni même moi d’ailleurs, ce qui m’exaspérait au plus haut point…

Si pour beaucoup, c’était l’extrême appréhension de ce qui allait bientôt nous tomber dessus qui faisait peser sur leur être cette tension et cette crainte si profonde, ce n’était pour moi point le cas, car autre chose venait caresser mon esprit à l’idée de cette guerre, l’excitation du combat, et de pouvoir enfin voir à l’œuvre mes capacités, et mes créations adorées, mes créatures si douces et belles que je n’avais jamais eu la chance de voir combattre de mes propres yeux… C’était un moment émouvant pour moi, comme pour tout scientifique dans l’âme qui se respecte. Tout chercheur comme moi ne vit que pour voir son art exploser au grand jour et révéler tout sa beauté sous ses propres yeux ! J’en trépignais réellement d’impatience, et bien que je faisais tout pour essayer de le cacher à toutes ces vermines que je devais côtoyer dans ce campement puant la transpiration et la peur, je ne pouvais toutefois m’empêcher de me balader entre les tentes avec un grand sourire niais, une sucette à la fraise bien sucrée dont le bâtonnet blanc dépassait de travers de mes lèvres, mes cheveux blonds dansant dans mon sillage au fil de mes pas chassés pleins de légèretés, tout en fredonnant de petits airs joyeux et sans suite, ce que certains mettaient ainsi sur mon extravagance qui dans la situation actuelle s’en voyait être des plus déplacés… En fait tout bien réfléchis je ne cachais rien du tout, j’étais même d’autant plus exubérant que je n’arrivais pas à me contenir, je voulais essayer de le faire, mais à quoi bon, j’étais trop excité. A vrai dire, je n’étais même pas dans mon état normal, j’étais quand même moins con que cela d’ordinaire, du moins il me semblait, non ? Car j’en perdais tellement ma contenance que j’en venais à taper sur les épaules des plus crispés des soldats pour leur murmurer plein de douceur à l’oreille des mots réconfortant comme : « t’es un looseur » ou « débrides toi la raie centrale ou tu vas crever »… J’avais même trouvé amusant de pincer une ou deux fesses de kunoichis paniqués que j’avais croisé entre deux tentes… Franchement c’était consternant, je pouvais faire bien mieux que cela, c’était évident que mon esprit tout entier était tourné vers la bataille à venir et qui me donnait bien plus d’envies que le fait de martyriser les pions ninjas du village… J’avais tellement hâte de me battre sérieusement, et de pouvoir capturer quelques petites femmes du village pour en faire mes cobayes de recherches, mais cette gamine sotte de kage avait trouvé intéressant et nécessaire de nous interdire de tuer ou capturer des gens qui fuyaient, aussi bien les civils que les ninjas, c’était vraiment nullllleuh ! Une drôle de sensation me saisit alors, me forcant à plonger dans une semi conscience.



Lorsque je repris un peu mes esprits, nous étions arrivés devant les portes du village, du moins non loins de celle-ci et je voyais en contrebas l’ami reptile marin, et le gros chat stupide, presque côte à côte. Je joignis mes mains, et transmis via mon chakra un ordre à mes dévoreuses de l’abysse qui se trouvaient aux alentours, en tant que gardes du campement, de me rejoindre immédiatement et de se préparer à un combat rude et difficile… Du moins si elles étaient capables de le sentir. Une immense explosion retentit alors, au loin, et je vis alors une des têtes des kages de Konoha sur la grande colline s’effondrer, celle du gros niais que nous devions tuer. Je riais alors aux éclats tout en sentant une présence monstrueuse me passer à côté, un homme vêtu de noir avec sur le crâne la toque des kages, celui de Kumo. Je l’avais complètement oublié celui là tiens, mais je m’en fichais. Lorsque mes princesses furent arrivés, je descendis vers les portes qui avaient elles aussi étaient détruites, m’enfonçant dans l’allée principale du village en chantonnant allégrement.
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MessageSujet: Re: Signe de puissance, nullement présent. |Privée.| Signe de puissance, nullement présent. |Privée.| Icon_minitimeDim 14 Aoû 2011 - 20:50

La guerre venait de nouveau de se présenter à moi, dans sa plus grande et sanglante vertu de ténèbres, souffle maléfique dont le simple nom est le synonyme même d’une fin proche et d’un chaos qui n’a pour but que l’annihilation même de la raison. Les hommes pour n’importe quelle raison ne pouvaient s’empêcher de tisser des guerres et conflits qui pouvaient parfois dépasser leur imagination elle-même, se créant un esprit emplit de folie qui ne vise qu’a étendre sa propre vision des choses et de la suprématie afin de pouvoir afficher aux yeux du monde l’idéal qui lui est propre. C’était l’art de la désolation qui ne trouvait de source réelle que dans l’imagination perverse et sombre du genre humain, ne tendant qu’a créer le conflit et la destruction dans le moindre de ses mouvements, dans la moindre de ses actions, chose naturelle toutefois car l’évolution des genres et du monde ne pouvait se faire autrement qu’ainsi. C’était l’art évolutif certainement le plus cruel, le plus sombre et le plus malfaisant qui pouvait être en ce bas monde, mais de par sa nature destructrice capable d’engendrer de nouveau une existence parfois plus grande ou plus propre à s’accommoder à un monde prédéfini, elle en devenait un élément nécessaire dans l’existence elle-même de notre monde, et dans le destin de chaque vie. Je blâmais toutefois le genre humain de ne point savoir vivre sans se laisser tirer par les ficelles d’argents qui les reliaient aux mains vicieuses et perverses des dieux, les manipulant à leur guise pour les amener aux tragédies tant espérées dont ces démons drapés d’argents aiment tant se repaître, avide de souffrance et de folie, comblant le vide de leur existence millénaire par le désespoir des existences éphémères et humaines qui peuplent le bas monde. C’est ainsi qu’il était toutefois difficile aussi de blâmer le genre humain de se propre sottise et de ses erreurs, même si au fond de moi je ne pouvais m’empêcher d’haïr la totalité de cette espèce, ces pantins des dieux qui gouvernaient leur existence et leur monde, ces dieux que je haïssais d’autant plus que je les jugeais responsable de mes propres tragédies passées et de toutes mes souffrances, de la perte de mon innocence enfantine face à la faiblesse d’une existence miséreuse, et la perte des seules personnes qui à mes yeux avaient jamais comptés. Toutefois, homme j’étais, homme je resterai, même si ma nature, mes connaissances et mes pouvoirs me plaçaient bien au dessus du commun des mortels, tel un humain déifié de par sa grâce et sa force, qui restait enchainé à la folie et la nature perverse de son être, participant encore au règne humain tel qu’il était, et ne pouvant libérer ses ailes pour s’envoler dans le ciel d’argent afin de lacérer de ses griffes les dieux imbues d’eux-mêmes qui avaient que trop maudit ce monde de leur règne satanique.

Une fois de plus en ce bas monde, l’homme avait prit le chemin de la guerre de part la sottise crasse et ignoble d’un seul d’entre eux qui dans sa bassesse d’esprit avait déclenché sans le vouloir une réaction d’un pays tout entier qui allait dépasser toutes ses imaginations. A mes yeux la réaction de la Mizukage et de Kiri tout entier restait disproportionnée vis-à-vis du fait qu’ils n’avaient besoin que de la tête d’une seule personne, mais je n’étais pas en position de critiquer une telle chose du fait que pour un simple ordre de mercenariat j’avais moi-même pris la tête de l’ancien Raikage. De plus je ne pouvais faire la fine bouche sur ce coup là du fait que cet idiot de Kanna avait tissé une alliance avec le village de la brume que j’avais moi-même du venir réaffirmer, et de ce fait, accepter de prendre part à une nouvelle guerre à laquelle je n’avais nullement réellement l’envie de me mêler, du fait que je venais déjà de semer une tragédie personnellement il y a bien peu de temps, et que j’allais devoir de nouveau répandre le nom du malheur qui dans sa grande cape noire, tendant à souffler tout espoir dans une pestilence infernale. Toutefois, je ne savais guère pourquoi, je n’avais ressentis aucune réelle once de culpabilité à me mêler aux troupes de Kiri, ayant fait tout le voyage entre le pays de la brume et le pays du feu sur le dos de l’une de mes propres invocations, voguant par la voie des airs, mais toujours prêt des troupes de mon allié de circonstance et de guerre en ce jour. Peut être ne ressentais-je rien car je commençais à m’habituer à ce genre de tragédies, ou que cette fois je n’étais pas le messager de la mort même, mais plus une ombre dansante qui avait décidé de mettre de côté toute notion de sentiments afin de prouver au monde entier que la terreur elle-même avait décidé de venir se mêler au genre humain pour tout anéantir dans un hurlement désordonné, renversant le monde tel qu’il était dans un bain de sang et de folie. Tout le long de c voyage pénible et monocorde, j’étais resté allongé sur le dos d’Idenn, une des invocations qui avait répondu à mon appel lorsque j’avais signé le contrat de sang me liant aux bêtes démoniaques d’outre monde, des créatures chimériques qui réunissaient facilement de nombreuses facultés de tant d’espèces animales que cela en devenait parfois inimaginable. Idenn en elle-même n’avait que bien peu de choses en rapport avec d’autres espèces, sa rapprochant bien plus du dragon qu’autre chose, ce qui me permettait en plus de profiter de ses affinités avec le haut ciel pour voler et voyager en paix, de m’assurer une grande force de frappe aérienne rapide et sûre, une aide telle qu’elle semblait prendre assez ironiquement la forme d’une sentence proférée par les divins messagers eux-mêmes. N’aimant guère la compagnie de cette piétaille humaine de l’armée de Kiri, j’avais passé la quasie totalité du voyage sur son dos, laissant quelques unes de mes invocations personnelles terrestres assurer une forme de protection autour de la Mizukage elle-même, tandis que mes invocations aériennes m’accompagnaient dans ma longue solitude, le redoutable Fortitudo faisant parfois pousser un vent de terreur sur les soldats qui marchaient en dessous de nous. Les démons de mon armée personnelle formaient ainsi un essaim menaçant se dirigeant aux côtés de la mortelle et faible armée humaine de Kiri, vers les portes d’un nouveau combat où seule la désolation serait le résultat de notre venue. Kuroshi, Idenn, Fortitudo, et Kuryami volaient en ma compagnie, tandis que sur la terre ferme Kudasu et Eichi offraient leurs services défensifs aux armées de Kiri. Blados et Chalis étant partie loin devant les armées en tant qu’éclaireur, Blados plus comme garde du corps de la jeune louve à l’apparence humaine, que comme espion.

Lorsque le voyage fut terminé, je n’avais guère prit la peine de me mêler aux autres, attendant avec impatience l’arrivée des troupes de mon propre village, espérant que ceux-ci parviennent à nous rejoindre à temps dans cette bataille dans laquelle nous ne serions qu’une aide qui permettrait à une toute autre épée de trancher la tête de l’hydre ennemie. Je restais ainsi la plupart du temps à l’écart de ce campement puant où se mêlaient les odeurs atroces d’une armée humain qui aurait tôt fait de m’indisposer et me rendre malade par le simple fait de côtoyer des vers aussi nuisible et bruyant, ne m’y rendant que pour voir la Mizukage elle-même lorsque le besoin s’en faisait sentir, ou qu’elle demandait ma présence afin d’un avis, ou d’une stratégie de guerre. Je fus toutefois heureux lorsque un de ses hommes me fit parvenir l’ordre de mission qu’elle avait donné à ses troupes, donnant l’ordre à son armée de pénétrer dans le village même, et m’invitant si possible à moi-même m’y rendre… J’avais ma propre mission, j’étais celui qui devait déjà porter le titre de tueur de kage, ayant participé à la mise à mort de Killer Bee, et de Kanna, il était évident que j’étais de ce fait la personne la mieux placée pour aller prendre la tête de cet hokage imprudent et stupide. Il allait devenir la victime du démon que j’étais, le faucon noir dont les serres aiguisées ne visent que la destruction du monde tel que l’humanité le connaissait, et la fin du règne des despotes divins. Suivant les troupes de Konoha, accompagné de mes invocations que je n’avais pas prit la peine de renvoyer, du fait qu’il valait mieux les invoquer en avance afin de ne point gaspiller mon chakra à les appeler durant la bataille, je pénétrais sans un regard pour les ninjas de Kiri qui me dévisageaient, se demandant parfois à haute voix qui m’avait laisser venir ici sans la moindre escorte humaine de préférence, restant sourd à leurs appels, je pénétrais dans le village de Konoha, avide de pouvoir enfin rencontrer ce kage stupide et de déchirer sa nuque de mes crocs de ténèbres. D’un signe de tête, j’ordonnais à mes invocations d’attaquer. Je n’étais moi-même pas soumis à la restriction stupide qu’avait émise cette femme dirigeante de Kiri qui demandait à ses troupes d’épargner les ninjas n’opposant point de résistance, et aux villageois qui tentaient de fuir. Le nerf de la guerre était la destruction, c’est pourquoi je laissais dès lors le redoutable Fortitudo, inonder l’allée principale du village de ses flammes, rasant tout sur son passage, m’ouvrant un chemin de ruines et de sang vers la tour de l’Hokage.
Juka Kiyomizu
 ღ San'Bou ஃ Descendante de Narcisse ღ
Juka Kiyomizu ღ San'Bou ஃ Descendante de Narcisse ღ
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Signe de puissance, nullement présent. |Privée.| Left_bar_bleue733/1000Signe de puissance, nullement présent. |Privée.| Empty_bar_bleue  (733/1000)
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MessageSujet: Re: Signe de puissance, nullement présent. |Privée.| Signe de puissance, nullement présent. |Privée.| Icon_minitimeMar 20 Mar 2012 - 16:02

Topic archivé.

Bien à vous,
Juka
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MessageSujet: Re: Signe de puissance, nullement présent. |Privée.| Signe de puissance, nullement présent. |Privée.| Icon_minitime


Signe de puissance, nullement présent. |Privée.|

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