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Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : Rang A ; Level 23 | Points Naruto Ninja RPG | : (1377/2000) | Âge du personnage | : Inconnu.
Sujet: Vent d'hiver à travers les siècles. [Mission de rang A] |Solo| Mar 5 Juil 2011 - 21:52
Citation :
La mission s'effectue en Flash-Back. Pendant l'hiver.
Spoiler:
Ordre de mission : Rang A.
Près d'un des village civils une agitation suspecte c'est fait remarquer... Vas y et vérifie si les légendes sont vraies
Bonne chance.
. : Vent d’hiver à travers les siècles. : .
La Mort, chose pourtant si abstraire est une chose assez magnifique dans les mains d’une personne qui sait correctement sans servir. Mollement, cette douce et somptueuse arme grandissant avec le temps, ne devenant un sabre blanchâtre à la puissance tout simplement infinie. Pourtant, cependant une telle puissance n’est tout simplement rien sans un monstre de violence pouvant manier cet équipement tout simplement parfait, voire peut-être d’une divinité olympienne. Grognant comme un être humain, la coéquipière de l’armure ne connaissait nullement de personne pouvait toucher cette chose tout simplement magnifique. Comme un rat sous la terre, rampant l’espèce de montagne rocheuse, le petit mammifère rongeur expose sa présence contre la merveilleuse pièce métallique aux reflets magnifiquement dorés. Ses yeux semblables à deux rubis s’enflammèrent mollement suite à cela. Certes, bien entendu, cet immonde animal humain n’était par conséquent nullement digne de pouvoir avoir la chance d’émettre son jugement sur l’épée d’ambre, voire de topaze. Ayant une certaine difficulté à contrôlé ses mouvements. Son corps frétillant avec une rapidité tout simplement détonante, le rat s’intègre fortement dans l’arme. Littéralement. Sa pâle contribution augmentant avec une certaine lenteur sa fine et parfaite puissance du sabre tranchant l’air. Gagnant doucement dans la violence, la difficulté est ainsi augmentée avec une certaine dominance. Grondant encore une fois comme un être humain, cette dague longue et finement taillé pour le combat, le cavalier apparait définitivement dans les plaines terreuses de l’espèce de grain de sable qu’est seulement le monstre, ce globe assez maussade résultant de la Planète Terre. Un vent doucereux s’invite doucement dans cette rencontre des plus spéciales. Tranquillement, et originalement un cri perça les nombreux fragments des cieux. Les étoiles semblables à des météores de laves, ces dernières s’écrasèrent avec une force tout simplement magnifique l’espèce de grain maussade. Doucement, la fusion allait naitre.
Magnifiquement, le cavalier regarde avec une nonchalance arrogante. Cette chose, cet humain n’est originalement nullement intéressé par cette arme assez magnifique, puissante. Tout simplement somptueuse. Vulgairement, voilà ce que nous pourrions dire de cela : « Il s’en fiche. » Car, apparemment, le monstre des épéistes n’a nullement peur de cette magnifique arme. Maitrisant chaque forme de puissance, le preux humain ne connait originalement nullement la peur. L’enveloppe corporelle de ce monstre de puissance caché est tout simplement la genèse de ce Monde. De cette tâche de gras envers un magnifique voile de paix blanchâtre. Comme un pauvre chien gardant les prémisses du pandémonium des enfers. Ses trois immenses gueules béants hurlants au grès du vent contre chaque personne voulant effectuer un voyage dans les plus grandes scènes de tortures du Monde de lave. Les nombreux cercles de feu entourant ce monstre à la carapace noirâtre ne servent que seulement de bouclier comme l’arme magnifiquement topaze. Ce cavalier ne s’étonna nullement de cette dernière, défiant par la même occasion les lois des nombreuses terres. Tout cela étant inscrit depuis des crépuscules maussades et mollement orangés dans les innombrables cieux tombant dans un tableau de couleurs assez bleuâtre. L’arme ne grogne plus, plus maintenant. Une déflagration sonore perce maintenant avec une fureur totalement inquisitrice les cieux maintenant déchirés avec une violence colossale. Le rat, ce pâle animal maintenant fusion-même du long sabre parfaitement tranchant. Il connait l’issu du combat, lui. Son pauvre esprit contient originalement ou grotesquement la connaissance parfaite sur le sujet. Personne ne le sait pourquoi, personne ne connait comment cela fait-il. Ricanant dans la lumière paradisiaque de l’espèce d’immense armement. Ses yeux rougeâtres regardant de gauche à droite la nouvelle plaine terrestre devenue maintenant un magnifique lieu saint pour toutes les pâles enveloppes corporelles des êtres humains mourants.
Doucement, l’épée bouge avec une légère douceur, semblable à l’une des mélodies les plus magnifiques créent par les hommes cherchant par-dessus toute la rédemption de leurs actes hérétiques. Dans ce nouveau combat venant, une perle noirâtre uniquement composée d’antimatière apparait finalement sans véritablement prévenir, éclairant la scène d’une magnifique aura lumineuse totalement inquisitrice. Dansant peut-être avec une certaine légèreté envers le sabre doré, la sphère gagna mollement en vitesse, laissant dernière elle une fausse trainée de brume noirâtre. La larme ébène se stoppa finalement avec une la même douceur que le déplacement de l’armement d’une beauté olympienne. Son enveloppe corporelle devenant alors quelque chose de prédéfini. Une vague mollement voire, encore une fois grotesquement floue. Certains scientifiques pourraient dire la chose suivante : « Cela est un humain, un petit anthropoïde. » D’autres, certainement beaucoup plus précieux et dont l’ordre religieux pourront dire la suivante : « C’est le messie, le nouveau messager de Dieu qui apportera la paix dans ce pâle monde » Personne ne le sait véritablement, nous avons tous plus au moins une opinion sur le sujet. Mais seulement la coquille sphérique connait la donne. Semblable au petit rat maussade grattant la cage dorée dans laquelle il est, la goutte d’antimatière contient la connaissance pure et simple. Finalement, l’écume obscure se pose contre l’herbe légèrement humide de l’immense étendue verdâtre. Sa forme devient de plus en plus significative avec les nombreux grains de sables s’écoulant du magnifique et somptueux sablier de sable résultant du temps du cosmos. La sphère devient cercle noirâtre béant. S’instaurant entre le splendide cavalier ainsi que la sublime coéquipière de l’armure rubis. De cette circonférence taciturne et ténébreuse, une immense main s’extirpa avec une rapidité totalement inquisitrice. Le monstre arrive doucement, les deux combattants le savent maintenant. L’ectoplasme sombre de Konoha est là…
Le passé est une chose que toutes les personnes ne désirent nullement connaitre. Et pour cela, les raisons sont diverses et nombreuses. Que cela soit par la plus simple peur de connaitre la vérité assez maussade voire débectante, putride. Le passé est semblable à une personne humaine. Il est vivant, il pense, tout comme une enveloppe corporelle assez ignoble. Mais, les personnes constituant la population environnante le savent de toute façon. Et c’est pour cela qu’il évite de connaitre tous cela. Les hommes créent, construisent. Que cela soit un bâtiment d’une longueur totalement inimaginable, ou encore bien-même un mythe. Ces choses, ces nombreuses histoires sont là pour connaitre le passé, pour convainque. Cela est une certitude. Semblable au carré de papier servant à l’artiste à la plume maussade du pigeon mort de la main du dessinateur. Grognant doucement, la passé est une personne qui doit avoir son importance pour quiconque veut avoir une place dans l’espèce de globe terrestre résultant d’un pauvre grain de sable. Le passé est une part totalement significative d’une personne bien précise. Intimement lié avec un objet nullement réel. Pourtant, ce dernier réserve en lui une forme tout simplement magique de puissance et de violence extrêmement énorme. S’en amusant peut-être très légèrement le monstre de la forme s’instaurant alors dans l’objet avec une certaine mélodie monotone. Le monde est un point tout simplement infâme du passé maintenant devenue monotone. Grinçant avec une certaine tranquillité, le monstre contenu dans les plus grandes parties d’antimatière contient encore une fois la connaissance infinie. La résidence des Morts s’intègre maintenant dans le passé. Les morts font littéralement partie du passé. Cela est une certitude connut depuis de nombreux crépuscules. Et, en ce moment de nombreux cadavres arriveront avec une folie inquisitrice plutôt importante. Et tout cela, appartiendra au passé maussade.
Le monstre s’avance dans la pluie battante des monstres pleurants. Le froid, la mort, le blizzard frappant avec une violence tout simplement hérétique le visage blanchâtre du mentaliste, tout cela est une certitude. La Mort est bientôt présente mais pourtant, elle ne sera nullement de mise dans le passé de la situation. Cela était peut-être amusant pour les nombreuses personnes autour du monstre, mais eux, ils ne connaissent rien. Nullement le froid. Nullement la mort. Nullement le blizzard cassant. Pour eux, la situation est une chose tout simplement magnifique et rien ne pourra changer cela. Que cela soit le présent. Que cela soit le futur. Et originalement, cette semaine de mise en forme envers le monstre aux capacités énormes est rien qu’une phase de sept jours totalement, voire vulgairement banal. Le vent du grand Nord souffla encre une fois comme un monstre à la gueule béante s’invitant alors dans la conversation de l’ectoplasme au prisme du plaisir. L’épée et le cavalier sont encore présent dans cette plaine maintenant devenue une plaine assez magnifique voir somptueuse. Grimaçant doucement, le soldat ne connaissait pour l’instant strictement rien à cette semaine dans les plus grands villages des nations gargantuesques. Cela était-il une chose bénéfique, ou au contraire, une chose totalement nullement bénéfique. La bête allait être lâchée avec une fureur maintenant hérétique. Accompagnée d’une violence sans mesure. Les nuages, admirablement paisible dans les nombreux cieux bleuâtres du monde, ne s’intéresse nullement à la situation. Bien qu’ils soient le merveilleux bouclier du mentaliste, ces derniers ne le savent nullement. Les scientifiques s’agitent rapidement, comme des fourmis s’engloutiront envers les nombreuses feuilles qui serviront pour la reine. Oui, reine, ce pauvre mentaliste n’étant rien d’autre qu’un monarque supérieur pour les scientifiques. Magnifiquement, le monarque tombe de son siège, se retrouvant dans une marée d’eau sale…
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Sujet: Re: Vent d'hiver à travers les siècles. [Mission de rang A] |Solo| Mer 6 Juil 2011 - 11:54
. : Le roi abat ses cartes, la cour tombe. : .
Un roi dans une cloche en verre, ne peut malheureusement nullement diriger son royaume d’une main de fer voire trop dure. C’était quelque chose de totalement absurde. C’était une chose assez connue, voire qu’on pourrait désigner directement de certitude. Mais pourtant, les nombreux offices de la cour suprême continue d’émettre cette magnifique mélodie et philosophie en travers les âges, les siècles et les décennies. Quitte à la fin de reprendre tout le travail accomplie depuis la première lettre de l’alphabet : « A. » Et cela, ne les déranges nullement. Ils connaissent parfaitement leur travail et par conséquent l’effectue comme une machinerie d’ambre. Cette chose assez molle, le monarque regarde son monde à travers ses barreaux transparents. Mollement mais surement, comme déjà dit, son regard parfaitement émeraude regarde encore et encore sa plaine du blizzard assez gargantuesque. Pour lui, cela était encore une chose assez inconnue et par conséquent, il était partagé envers ses nombreuses émotions magnifiquement inscrites dans son cerveau extrêmement développé. Un léger sourire moqueur s’inscrivit envers sa façade blanchâtre. L’empereur regarde sa pâle couronne argentée qui ne peut fâcheusement nullement attendre. Il le sait bien entendu, mais cela n’est rien qu’une tâche de gras dans le somptueux voile blanchâtre de la colombe important la paix sur la Planète Terre. Il grandit peu à peu, doucement et avec une certitude molle. Mais il n’est pas encore en route pour obtenir sa couronne. Sa force n’est pas développée, sa prison d’eau ne peut être brisée. Et par conséquent, impossible pour lui. L’épée d’ambre ainsi que le cavalier résultant des ténèbres ne sont absolument pas de mise. Ils n’étaient rien d’autre que le prologue, la prémisse d’une longue liste de nouveaux pouvoirs tout simplement gargantuesque. Mais, ils ne sont pas encore aptes à être utilisé par le monarque blafard, faible.
L’ordre de mission est bien clair et par conséquent. Ce nouveau monarque projeté dans le futur, doit l’effectuer avec une fureur totalement inquisitrice. Pour une fois, l’optimiste était à son apogée la plus complète et ce même sourire assez moqueur sera toujours présent envers l’homme au masque purement et simplement métallique. L’ancien monarque contenu dans la cellule de verre transparente. S’en amusant peut-être légèrement, cela était une chose véridique, l’homme étant l’œuvre elle-même du magnifique dessinateur ne connaissait nullement et fâcheusement le sort qui ressortira de cela. Et pourtant, comme le pauvre chien de guerre courant avec ardeur totalement fanatique sur le champ de bataille, le jeune homme perça les défenses du pandémonium humain. Amusant, doucement, les évènements passés n’avaient nullement d’importance dans la situation assez maussade maintenant. Les scientifiques n’étaient nullement de mise. La prison n’était nullement de mise. Sa faible puissance n’était nullement de mise. Maintenant, le nouveau monarque allait effectuer sa violence sur ce pauvre grain de sable résultant finalement de la Planète Terre. La déflagration sonore du filtre de son masque se perdit avec une certaine lenteur dans le gargantuesque blizzard. Assez dérangeant de par les nombreux magnifiques flocons s’intégrant dans son dispositif fortement évolué. Doucement mais magnifiquement, son regard faussement bleuâtre s’inscrivit dans les nombreux glaciers blanchâtre de ce lieu où la douce génitrice de la nature à prit son droit depuis des lustres et des crépuscules. Cela était tout simplement la représentation de la nature à son apogée la plus conséquente. Le monarque s’inscrit finalement dans la nature elle-même, que cela soit par sa combinaison assez blanchâtre spécialement créé pour ce genre d’opération, une tenue parfaitement blanche. Cette chose permettant par conséquent d’avoir une grande discrétion dans ses mouvements et ainsi d’avoir son esprit plus tranquille pendant les opérations militaires se déroulant comme cela.
Les scientifiques continuent doucement leurs expériences, ils se fichent tous simplement du futur et de ce que deviendra plus tard le puissant empereur à la crinière rougeâtre, voire peut-être flamboyante. Semblable aux feux du pandémonium démoniaque ne s’arrêtant nullement. Que devait-il faire ? Que devait faire le magnifique monarque à la puissance encore faiblarde. Malheureusement, le kaiser des dragons ne peut qu’effectuer le même mouvement encore et encore. Grognant légèrement contre sa cellule d’écume bleuâtre, le mystérieux mentaliste déposa ses fines mains blanchâtres contre la paroi de la cage faussement dorée. Son masque respiratoire effectuant de nombreuses bulles d’air au travers de tout cela, il se savait coincer depuis des lustres millénaires. Ils s’arrêtent. Eux. Oui, ces personnes bien précises. Les scientifiques finalement bien semblable aux monstres résultant du septième cercle de l’enfer. Le nouveau pandémonium est pourtant un terrain de jeu pour chaque personne, mais c’était amusant pour lui. L’empereur de ce pâle Monde. Finalement, le jeune homme aux yeux purement émeraude tapa avec une violence assez conséquente contre la cellule transparente. Cette dernière ne bougea nullement d’un pas. Comme-ci, originalement, l’espèce de massue de ce nouveau militaire n’avait nullement existé. Aucun mouvement n’avait été de mise pendant ces longues secondes. Les méthodiques scientifiques éclatèrent définitivement de rire, se tenant mollement les hanches avec une fureur assez hérétique. Grondant face à la réaction, l’homme ne savait que faire. Effectivement, cela était une chose assez véridique mais que cela ne tienne. Maintenant, le monstre à la puissance tout simplement débectante ne pouvait véritablement rien faire face à tout cela. Le passé est une chose bien définie dans les règles des limites. Et chaque fragment de ce dernier est une perle d’antimatière extrêmement importante pour toute personne vivant dans ce pauvre grain de sable existant auprès du magnifique et simplement cosmos.
Le fantôme avançait encore et encore dans les nombreuses glaces du pays. S’en amusant avec une certaine lenteur. Doux euphémisme. Non, cela n’était véritablement pas amusant, voire encore bien comique. Bien qu’il fût toujours dans cette optique de mission assez sympathique, le temps lui jouait malheureusement des mauvais tours. Grognant quelques peu face à cela, un soupire s’achaine finalement suite à cela et par conséquent, le cerveau du jeune haut gradé empressait des terminaisons nerveuses contre son esprit maintenant assez en colère. Nullement d’amusement maintenant, mais que cela ne tienne. Son ordre de mission sera effectué avec une fureur totalement inquisitrice voir peut-être fanatique. Mais que cela ne tienne. La mort ne meurt jamais et par conséquent, ce magnifique ectoplasme de plaisir éliminera chaque personne sur son chemin. Comme la louve protégeant sa pauvre progéniture. La mort est une chose assez commune en mission, du moins pour les personnes assez haut gradés dans l’institue militaire. Définitivement, l’homme au masque métallique s’arrêta pendant une fraction de minute. Prenant d’abord le temps de reprendre son souffle rauque et métallique envers sa propre personne, bien avant tout de mettre sur un tissu blanchâtre faussement existant les temps et lieux de sa mission. De mettre tout cela au clair par conséquent. Mollement, le monstre aux mains gantées s’agenouilla contre le sol froid, voir métallique du parquet, posant ses mains contre ce dernier, il ressentit avec une certaine force la froideur de cet endroit assez gargantuesque. Alors que la colonne vertébrale du militaire sembla recevoir de nombreux coups de couteau, le petit farfadet releva finalement la tête, maintenant, il avait pût voir que le sol était encore stable sous quelques kilomètres. La mission se passait admirablement bien, et rien ne pouvait changer cela pour l’instant. Malgré le mauvais temps bien entendu évident. Que cela tienne…
Finalement et originalement cela arriva finalement. L’un des villages civils engloutit sous des mètres cubes de neige et de glace. L’hiver était bien présent et cela se ressentait bien entendu. Et malheureusement, le lot de nombreuses positions négatives de l’hiver était quelque chose à ne pas sous-estimé et par conséquent il est tout simplement impossible que le jeune homme connaisse tout cela. Avançant encore et encore au travers de la plaine enneigée, pour cet ordre de mission, il en ressortait de certains hauts de cœurs des villageois. Un monstre de glace, un tueur psychopathe ou encore bien-même les deux, il ne le savait véritablement. Les informations qu’on lui avait fournir été assez mince mais l’ectoplasme de plaisir avait peut-être l’habitude de tout cela. S’arrêtant une seconde fois, mais cette fois-ci devant l’arc principale du village civil, un sourire arracha les fines lèvres rosâtres du jeune homme à la crinière purement flamboyante. S’appuyant légèrement contre le morceau de bois assez gargantuesque, son regard faussement bleuâtre analysa avec une certaine nonchalance le village à l’allure plutôt tranquille. Lassant cela était vrai, des choses suspect. Encore une bonne femme ayant surement vu un ours légèrement trop gros. Rien de méchant en somme pour une mission de rang A et bien que les compétences du jeune homme allait plus la défensive, devoir combattre un ours à l’aide de techniques ninjas résulte d’un simple jeu pour enfant. Magnifiquement. Normalement, une personne devait venir à sa rencontre ou le contraire. Il le savait plus. Mais c’était de toute façon un détail assez fin et l’autorité ninja gagnera quel que soit la solution. Alors que ses mains gantées venaient remettre sa capuche blanchâtre en place, fichu vent assez rapide et maussade. Doucement mais surement, la respiration rauque et mécanique s’instaura dans le vent, se perdant mollement, tranquillement…
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Sujet: Re: Vent d'hiver à travers les siècles. [Mission de rang A] |Solo| Sam 16 Juil 2011 - 13:18
Spoiler:
Je m'occupe du PNJ dans ce Rôle Play, et je m'occuperais du monstre dans l'autre. Merci de ne pas intervenir dans le Rôle Play sous forme de PNJ. Merci d'avance.
. : La science, désir de l’homme et de la puissance. : .
L’empereur, le roi, le monarque. Tout cela n’est finalement rien qu’autre que la même personne. Et pourtant, malgré ces nombreux titres assez volumineux, cela ne sert strictement à rien. Doucement mais magnifiquement, les personnes constituant la cour volumineuse de tous connaissent véritablement tout cela. Le passé, le présent ainsi que le pâle futur. Mais, pourtant, originalement, le magnifique roi ne connait tout cela. Ne connaissant seulement deux des trois somptueux temps, il résulte simplement d’une personne à l’intelligence amoindrie. Un monstre à la gueule béante ne devant nullement être de mise dans un monde assez pauvre et las. Mollement mais surement, cela n’était véritablement pas une chose assez incongrue. Mais bien présente de partout sur ce pauvre grain de sable perdue heureusement dans les innombrables étoiles dorées s’installant dans le cosmos. Grondant comme une merveilleuse créature, le nouveau kaiser des dragons regarda son monde encore et encore. Pour la troisième fois inscrit dans le passé maussade. Pourquoi ? Une question pourtant assez simpliste mais véridique. Remettant tout simplement l’ordre du monde en question. La cour regarde son roi. Leurs deux sphères résultant de deux nébuleuses de différentes couleurs connaissent avec lassitude la réponse à tout cela. Que cela soit de la première lettre : « A. » ou encore bien-même de la dernière lettre de l’alphabet : « Z. » Le monde est une chose assez vague, que toute personne essaye d’analyser avec ses propres compétences. Qu’elles soient assez faiblardes. Ou encore bien-même qu’elles soient extrêmement développées. Malgré cela, le monarque ne bouge nullement, toujours accompagné de sa merveilleuse cage dorée. Pour avoir essayé de s’en échappé, il est tout simplement impossible à la propre enveloppe corporelle faiblarde. Lui, en contrepartie, ne connait pas le froid, le passé n’est pas de mise dans cela. Pour l’instant. Effectivement et pour toujours.
Eux le regardent avec une fureur tout simplement fanatique. Ils le savent. Pour toujours et depuis longtemps. La connaissance est une perle blanchâtre hurlante dans les prémisses d’un faux paradis résultant de l’union du merveilleux monde que nous connaissons et du meilleur de l’homme pour chaque personne. Cette fine bille d’une douce couleur crème s’instaurent dans chaque anthropoïde. Qu’il détienne un problème mental assez las ou encore bien, au contraire quelque chose d’unique. Semblable au plus pur des bijoux rougeâtres. Pourtant, toute personne la possédant ne l’utilise nullement de la bonne façon, et par conséquent, cela permet d’établir ce que l’être humain appelle vulgairement : « La moyenne. » Nous le savons, magnifiquement et tendrement et cela ne nous dérange nullement. Car, pour nous cela tombe dans une banalité affligeante. Pourtant, remettre notre ordre établit en question n’est pas une chose que nous aimons et par conséquent, les fondateurs des lois ont peur. Ont peur que tous ce qui tombe dans une banalité affligeante deviennent quelques choses de purement grotesque voir hérétique à son apogée la plus complète. L’être humain est, - Pour certaines personnes – qu’un pauvre ver de mouche rampant sur la surface graisseuse d’un vieux morceau de viande. Et pour d’autre, cela est tout autre. L’être humain est, - Pour d’autres certaines personnes – quelques choses de magnifique. Comme cette perle blanchâtre que nous gardons précieusement comme la plus grande des ressources. L’homme ne veut tout et à la fois rien. Il veut connaitre tous ce qui l’entoure et par conséquent pouvoir émettre un jugement sur tout. Et, donc, n’avoir nullement de retour négatif. L’espèce humaine est faite, comme les autres. Que cela soit un lion magnifiquement blanchâtre ou encore le pauvre rat noirâtre se nourrissant de reste de pain. L’ectoplasme le sait cela. Mais nullement les autres… Nullement.
Mordillant doucement son bras, le roi regardait pour la quatrième fois en ce magnifique passé le monde l’entourant. Il savait maintenant. Son niveau n’était courtement pas égal aux autres hommes et femmes l’entourant mais la connaissance était sienne à présent. Et par conséquent, le jeune homme pouvait maintenant rivaliser avec eux avec une certaine fureur fanatique voire peut-être légèrement hérétique. Levant maintenant les yeux vers les cieux, la créature dans sa cage dorée. Rien ne pouvait lui faire peur maintenant. Que cela soit les méthodiques scientifiques se croyant tout simplement supérieur, ou encore bien-même l’une des créatures doit-il est intimement lié. Cela était tout simplement impossible à savoir. Ricanant au travers au de son filtre nasal comme buccal, le nouveau jeune à la crinière purement sanglante, voire peut-être flamboyante. Il tapa encore une fois contre la paroi transparente de cette espèce de cylindre assez gargantuesque et conséquent. Toujours rien pour l’instant. Oui, cela ne l’étonnait nullement et bien entendu les nombreux rires des médecins, scientifiques ou encore bien-même visiteurs fusèrent semblable au plus pur des éclairs jaunâtre. Ne t’inquiète nullement jeune homme aux yeux magnifiquement émeraude, tout cela est n’est rien d’autre que le commencement de ton apogée la plus grande et la plus immense. Une autre forme de violence physique arriva contre la même paroi de verre purement et simplement transparente. Semblable à la massue de l’inquisition s’écrasant avec une forme totalement incongrue comme le monstre qu’est l’hérétique à la peau blanchâtre. Doucement mais surement, le verre se brise enfin. Créant alors une fissure extrêmement fine mais pourtant bien présente. Sa longueur ne dépassant nullement le millimètre. Tout cela n’était que le commencement de la venue d’un nouveau monarque. Maintenant, que ce dernier était maintenant bientôt crée, le passé était inscrit dans les livres d’histoire. Cette date restera, longtemps.
Les minutes passèrent lentement, surement trop pour l’esprit du jeune homme au masque purement et simplement métallique. Pourtant, il n’avait nullement le choix. Il se devait d’attendre son contact. Point. Malheureux coup du sort. Cela était une certitude véridique. Bien que le contact se faisait assez attendre, et par conséquent, l’humeur du jeune homme sur cette tierce personne allait être assez affecté. Et, encore par un acte conséquent, la finition de la mission changera de tout au tout pour le jeune homme étant dans les hauts gradés militaires. Lentement mais surement, cette respiration rauque et métallique se continuait de se perdre mollement dans les nombreux caprices du vent. Quand, finalement, une douce âme pure intervient dans le livre d’histoire. Comme la fausse héroïne dans les contes pour enfant, elle vient à la rencontre du monstre, de cette hydre ou de ce dragon antique, maitre du chaos ainsi que des ténèbres grandissant dans le cœur de chaque homme ayant naquit sur cette pauvre terre plutôt maussade, simple coalition de plaines. La Planète Terre. Le regard faussement bleuâtre se posa finalement et définitivement sur l’espèce d’enveloppe corporelle nullement masculine se postant alors maintenant devant le jeune homme à la crinière caché. Une enfant. Jeune, pure, innocent, incarnant un voile de pureté assez maussade dans un monde à l’utopie mourante. Alors qu’une esquisse de sourire se posa finalement contre le monstre à l’enveloppe corporelle nullement définie, la douce, elle, avança ses bras vers l’espèce de faux ectoplasme résultant d’un monarque gardien envers ce pauvre et pitoyable village civil. Que voulait-elle bien faire pour le militaire, un piège ? Ou tout simplement une marque d’affection assez banale mais quelque peu touchant pour des personnes issu de sa famille. Alors que la légère demoiselle déposait ses fins bras autour de l’équipement du militaire, il soupira.
Sans dire un seul mot, sans adressé un seul et unique sourire, la chose blanchâtre. Cette magnifique jeune fille disparut dans les limbes les plus noirâtres de la Planète Terre. Disparaissant dans une gerbe de sang au travers vers le pandémonium humain, son corps s’effondra lourdement mais avec une certaine lenteur pourtant. Cette chose, si nous pouvions l’appeler comme cela l’avait mordu avec une force violente et ne lui appartenant pas contre son bras. Regardant d’ailleurs ce dernier avec un sourcil levé dernière son masque, il remarqua qu’elle avait déchiré le tissu et par conséquent, une marque ovale de dent littéralement accroché contre sa peau blafarde. Nullement de sang, pour cette fois-ci, mais cela n’était de toute façon nullement normal. Le vent glacé ainsi que sa douce brise du vent d’hiver lui claqua littéralement la peau avec une violence inouïe. Tirant sur son vêtement déchiré, l’ectoplasme tenta de cacher tout cela à l’abri des caprices du vent. Mais nullement de réussite malheureusement. Tout cela n’avait nullement de sens dans son esprit. Pourquoi avait-elle fait cela et surtout pour quelle cause. S’agenouillant alors, il porta son regard sur le corps inerte de la demoiselle à la crinière ambre. Cherchant un signe distinctif des yeux, il ne trouva nullement rien, grognant légèrement contre ce non découvert, il engagea sa main gauche gantée par un fin gant en cuir noirâtre contre le couteau de chasse planté contre l’estomac de la juvénile. Observant avec une certaine uniformité l’hémoglobine s’étant répandu sur la lame blanchâtre, il l’essuya à la robe crème de la douce, et le rangea sans rien dire. Il s’avança, ne prêtant nullement attention à la charogne morbide. Pourtant, le corps se cambra, bien que mort. Sa mâchoire se disloquant dans un bruit léger, une masse en sortit, une masse vivante, gesticulant de ses tentacules…
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Sujet: Re: Vent d'hiver à travers les siècles. [Mission de rang A] |Solo| Sam 16 Juil 2011 - 18:19
. : La cause de la conséquente, est présente. Partout. : .
Les hommes sont constamment plongés dans une peur des plus sombres. Et cela depuis des générations, voire peut-être bien même des siècles. Ils le savent mais, finalement on réussit à avoir cette adaptation assez magnifique pour survivre aux nombreux caprices du temps. Comme le maigre billet de banque ne valant nullement rien aux yeux des animaux, les autres. Eux. Les innombrables personnes à l’intelligence supérieure le savent. Sa valeur est tout simplement magnifique et extrêmement importante. Et, par conséquent toute enveloppe corporelle connaissant bravera n’importe quel danger. Qu’ils soient tous simplement gargantuesque ou encore bien, au contraire assez minime. Tout cela n’a nullement d’importance pour eux, ils en rigolent peut-être très légèrement. Comme toujours. Aussi semblable aux méthodiques scientifiques grandissant dans les prémisses d’un enfer encore totalement inconnue. Comme le monstre grandissant encore et encore dans le plus grand cercle infini du somptueux pandémonium, ces êtres expérimentaux que sont les scientifiques grandissent avec une monotonie plutôt certaine. Le monarque ne partira pas. Lui. Cela était une chose certaine. De par déjà sa prison transparente de verre encore nullement brisée et surtout car lui, cette chose matérielle flottant allègrement aux nombreux caprices du vent n’avait nullement sa place dans l’esprit extrêmement développé du jeune homme à la crinière sanglante, voire peut-être bien flamboyante. Grondant d’amusement, le futur créateur de l’utopie militaire regarde ses semblables se confondent avec la boue noirâtre et graisseuse de la planète Terre. Cherchant avec une ferveur fanatique ce pauvre et pâle billet de banque, maintenant devenue rien d’autre qu’une nourriture basse calorie pour les animaux de bassecour. Un certain ricanement perça finalement les fines lèvres rosâtres de l’ectoplasme du plaisir. Il tapa pour la troisième fois contre la cage faussement doré. La fissure devenant alors par conséquent une fissure un peu plus gargantuesque. Le passé commence… Doucement.
Les Dieux eux-mêmes ne le savent pas. La connaissance est pour ces personnes quelques choses de totalement maussade, ne servant finalement à rien de tout cela. Il n’est nullement d’ordre que ces créatures augmentent encore et encore leurs forces tout simplement gargantuesque de par la base de la nature qu’est la leur. Comme l’éponge jaunâtre essuyant avec une fureur totalement fanatique la tâche noirâtre s’inscrivant alors dans le magnifique voile blanchâtre. Le monarque de la nouvelle ère s’intègre maintenant dans l’esprit nullement intéressant des preux scientifiques effectuant leur métier avec une ardeur totalement fanatique. Fouillant encore et encore, le vent de l’esprit arriva définitivement envers les compétences du jeune homme aux yeux magnifiquement émeraude. Cela était une chose assez amusante pour le jeune homme. Il était maintenant une espèce de créature immonde à la gueule béante prônant par-dessus le voyeurisme avec une force sans pareille. Le pâle ver de mouche rampant sur le morceau de viande pourrit n’était maintenant plus de son monde. Il avait finalement laissé place à une chose encore plus débectante en l’intérieur. Une chose magnifique en apparence mais s’en valeur certaine une chose que la fine pelle est plantée dans le monstre à la carapace noirâtre. Râpant dans les prémisses de sa fine cage dorée, la créature fit littéralement explosée sa rage en lui. Tout cela n’avait nullement de sens. Plus rien. Tout cela n’était rien d’autre qu’une boucle assez monotone et las. Grognant contre le monde l’entourant cette anneau d’argent et d’or ne connait plus rien de tout ce qu’on lui à apprit. Toutes ses nombreuses capacités, compétences voire intelligence tout simplement supprimé pour un espace maintenant vide. La guerre, la mort, la violence et la colère. Un flot de mot se rapprochant littéralement de l’espèce supérieure vivant sur la Planète Terre. Les êtres humains.
Les scientifiques explosent pour la deuxième fois de la soirée noirâtre de rire. Le passé, ils l’utilisent comme une notion totalement sûre. Mais pourtant, ils ne devraient nullement. Cela est une chose qui n’a nullement lieu d’être en se monde assez maussade voire peut-être légèrement pathétique. Et, inscrit dans ce monde totalement inefficace. Le passé forme de nombreux piliers, soutenant par conséquent le présent ainsi que le futur. Mollement mais surement, les piliers s’effondrent semblable à la cellule de verre transparente gardant en ces lieux l’espèce de pâle créature à la gueule béante. Gagnant avec une certaine lenteur de la puissance, le monarque de métal grogna avec une certaine lenteur envers sa propre cellule. Tout cela allait finalement prendre fin après des jours, des semaines, des mois de combat contre son propre corps. Magnifiquement, la créature ne devient plus rien. Elle retourne à l’antimatière même du grain de sable. Ce dernier ne résultant finalement rien d’autre que de la pauvre coalition de plaines qu’est la Planète Terre. L’enveloppe de cristal se brisa finalement en mille et un morceaux dans une déflagration sonore des plus gargantuesques. Arrachant une violence bestiale, inouïe, nullement humaine le jeune homme à la crinière sanglante avait finalement réussi. Les scientifiques, ces nouveaux monstres à la carapace noirâtre continuent doucement de rire, leurs éclatements francs arrivent avec une ardeur inquisitrice contre les deux gouffres auditifs de l’ange déchu. Maintenant, cela est à son tour de rire. Un rire aussi magnifique que les nombreux éclats de cristaux se retrouvant définitivement sous la voute plantaire de ses pieds blanchâtre. Tout cela n’est rien d’autre que le commencement du passé qui, s’intègrement alors dans le présent. Les deux temps se mélangent avec une fureur tout simplement fanatique. Impossible de suivre correctement tout cela. Pour eux, pour lui, pour le créateur…
Marchant encore et encore, l’ectoplasme arriva dans ce qu’on pouvait littéralement avoir en énumération : « La place centrale du village civil. » Et originalement, en regardant de plus près chaque partie de ce village, nous pouvions remarquer la chose suivante. Toute l’agglomération, qu’importe le moindre coin. Aucune forme de vie n’était présente dans l’immense village ne détenant nullement de militaires. Cela n’était nullement normal et, comme la petite fille prise d’une rage extrêmement conséquente, le merveilleux fantôme aux yeux faussement semblables à des cristaux n’aimait nullement cela. De par déjà, cette métropole était connu pour son bon vivant ainsi que ses habitants extrêmement joyeux, mais qui plus est pour les innombrables fêtes qui se déroulent pendant la période d’hiver. Se mordillant activement la lèvre inférieure, ses pas se perdirent doucement dans la neige conséquente qu’avait apportée le temps, ainsi que le vent. Avoir personne dans un village et encore bien-même seulement sur la place du village tout cela tenait finalement de l’irrationnel nullement faisable. S’avançant vers l’une des nombreuses portes de lui des innombrables et gargantuesques maisons. Toquant avec une certaine douceur mais bien entendu suffisamment fort pour que, - S’il y avait une personne. – que cette personne pouvait entendre son geste. Bien que nullement originalement il n’obtient aucunement de réponse, sa main encore une fois gantée se posa contre la poignée de la porte massive en bois. De son autre, « pince » le monstre au masque à gaz laissa sa longue lame métallique grandir peu à peu dans les prémisses de sa longue et ténébreuse manche. Maintenant que ce pseudo-sabre était – Par sa longueur – plus longue que sa main, la dépassant avec facilité, il tourna lentement la poignée de la massive. Il ouvrit la porte finalement, avec une lenteur totalement particulière. Il devait trouver du monde. Obligatoirement.
Refermant la porte derrière lui, l’ectoplasme se dirigea rapidement envers le salon, pièce surement centrale de l’immense maison. Laissant sa lame effleurée l’un des meubles en bois du morceau de cette bâtisse. Les nombreux et innombrables capots de bois tombèrent nonchalamment contre le tapis rougeâtre de la pièce. Rien, tout simplement rien n’exporte dans cet appartement. Nullement de présence chaude. Rien de tout ne cela pour l’instant et, par conséquent cela n’étonnait aucunement l’espèce d’ectoplasme à la brume vivante. Stoppant finalement ses mouvements avec une certaine monotonie, il laissa son regard faussement azur parcourir la scène qui s’offrait à lui par-delà la fenêtre. La neige tombait maintenant à flot, tout cela s’était passé extrêmement vite. Laissant finalement sa lame se rétracté doucement mais surement dans sa manche, il s’assied contre l’un des accoudoirs du canapé au ton rougeâtre, soulevant sa manche, il la regarda. Cette lame qu’il avait avec sa tenue depuis des lustres. A combien de sang différent avait-elle goûtée depuis sa formation dans les meilleurs forgeries ? Surement pas assez. Cela était une certitude pour le jeune homme à la crinière sanglante. Laissa un soupir au travers du filtre, ce dernier engendra une forte consonance dans la maison. Tout de fois, il n’y avait tout simplement personne alors le bruit n’allait nullement être un problème. Se levant finalement dans une certaine l’entente, son regard se perdit pour une nouvelle fois contre la fenêtre. Dehors, il allait devoir bien entendu continuer sa mission et par conséquent trouver la cause de l’agitation dans l’immense agglomération civile. Ce concentrant contre la neige tombante, une vive tâche noirâtre perça sa vue. Elle était dehors. Sursautant légèrement, il manqua de tomber en arrière. Venant secouer rapidement la tête, sa lame ressortit avec rapidité comme son propriétaire qui arriva dehors. Il la vue. La tâche…
Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : Rang A ; Level 23 | Points Naruto Ninja RPG | : (1377/2000) | Âge du personnage | : Inconnu.
Sujet: Re: Vent d'hiver à travers les siècles. [Mission de rang A] |Solo| Sam 16 Juil 2011 - 19:06
. : Magnifiquement, doucement cela est la fin. : .
Toutes personnes aussi avides de pouvoir soit-elles connait littéralement l’ivresse du pouvoir à son apogée la plus puissance. Grandissant avec une certaine monotonie, ils retombent généralement avec une certaine ardeur et violence. Jouer avec la nature est quelque chose d’absolument banal, normal pour une personne étant l’une de ses personnes que nous appelons tout simplement : « Scientifiques. » Ces choses se pensant être tout simplement être un Titan à la crinière d’argent. Pourtant, ils le savent depuis toujours. Ils ne résultent que d’une masse visqueuse. Mais, dans cette masse assez molle, les méthodiques y arrivent pourtant. Impossible de savoir comment avec précision. Que cela soit par simple coup de la chance, ou alors, par l’expérience de leurs nombreuses études. Pourtant, le monstre et pourtant bien présent après d’innombrables recherches. Mais cela n’est pas le point culminant, le sujet de cette thèse présente. Augmentant leurs puissances à chaque nouvelle expérience, ces hommes et femmes continuent avec une frénésie assez conséquente. Leur vie n’est qu’une pauvre expérience et par conséquence ils veulent la rendre beaucoup, extrêmement plus plaisante dans leur cœur. Ces personnages tombant dans le domaine scientifiques veulent encore et encore faire de la Planète Terre qui sera sienne. L’avidité du pouvoir et quelque chose que chaque personne – quel que soit son niveau social. Faible contre gargantuesque. – connait depuis sa propre naissance. Et pourtant que quelques peu élus peuvent malheureusement à ce pouvoir tout simplement gargantuesque, magnifique, d’une beauté somptueusement olympienne. Mais eux seulement y arrive. Ces personnes jouant avec la création elle-même, utilisant leurs semblables comme la matière première de leur acte. Gagnant toujours plus en puissance, cela est le but de ces personnes étant des maitres de la science qu’est la leur. Cette chimie, cette alchimie. Grandissant dans leur cœur comme un premier amour, cela est merveilleux, simplement.
Mais pourtant, tout cela n’est rien d’autre qu’une apparence de première catégorie que nous pouvons voir dans cette thèse décrite simplement plus haut. Tout cela n’est, effectivement qu’une pauvre et pâle apparence qu’ils se donnent pour paraitre comme lapin dans la forêt, en parfaite harmonie avec l’entourage. Que cela soit la nature si mélodieuse ou encore bien la population environnante qui, elle, en contre parti détient des réticences contre certains actes. Comme l’hydre maussadement antique, ses nombreuses et gargantuesque têtes grandissent avec une nonchalance monotone mais pourtant bien présente. Une chose tout simplement nullement battante. Qu’importe les moyens mis en œuvre, elle trouvera toujours une source de puissance dans un autre domaine pour connaitre l’apogée de la puissance encore plus violente que la dernière. Les personnes que sont les innombrables scientifiques sont comme cela. Blessé par la plus pure des épées d’ambre, ils se relèveront comme un seul homme, la ferveur au travail n’étant rien d’autre que le moteur même. Cette magnifique machinerie d’or, fonctionnant comme le cœur. Eux le savent et par conséquent, les scientifiques cachent leurs expériences avec une frénésie colérique. Comme le ferait l’hydre essayant de protéger ses nombreuses têtes pour n’importe quel moment. Certitude monotone au grès du temps. Ces monstres veulent connaitre la puissance dans cette antithèse mais pourtant, ils ne la touche que de deux doigts approchant eux-mêmes de l’albinisme la plus complète. Personne ne peut véritablement connaitre ou encore bien définir ce que veut dire le merveilleux mot de la puissance. Cela est-il avoir un contrôle complet sur une tierce personne ? Ou avoir le contrôle partiel sur une patrie dont les hommes tomberont sur le joule d’un autre commandant à l’envergure similaire au géniteur religieux de toute chose. Pourtant, personne ne peut égaler tout cela, car, une perle d’antimatière se glisse, doucement.
Et, avec une certaine, selon la thèse ainsi que l’antithèse, certaines personnes pourraient dire la chose suivante : « La puissance ce retrouve, que cela soit pour un être humain assez lambda ou encore, pour un scientifique au plus profond de notre cœur et par conséquent, au milieu. » Une longue phrase que peu de personnes peuvent comprendre après une simple première lecture assez lassante. Mais, pour comprendre son véritable pouvoir. Son véritable sens, il faut prendre le temps de faire l’analyse de chaque mot, les définir selon un ordre extrêmement précis. Et, pourtant, cette phrase est au cœur de tout. Simplement. Mais pourtant, quand cette pseudo-apogée véritablement fausse arrive finalement pour les scientifiques, il se peut, que leur création la plus magnifique s’échappe avec une facilité déconcertante. Que cela soit par la force ou alors, au contraire par l’utilisation de qu’on appelle littéralement la discrétion. Une œuvre magnifique mais seulement valable pour une catégorie bien précise de personne. Et nullement pour l’espèce de créature ayant acquis des pouvoirs assez gargantuesque en s’échappant des mains de ses propres géniteurs. Car oui, cette tâche noirâtre qu’a pu apercevoir le jeune militaire résulte de tout cela. Elle cherche activement, cela est une certitude véridique. Tout cela n’as a pas de sens pour eux. Pour ces choses étant tout simplement des humains se complaisant dans la luxure ainsi que la gourmandise. Non, seulement pour elle qui recherche à survivre. Elle n’a nullement peur comme ses semblables. Elle a faim. Simplement. Elle ne recherche nullement le pouvoir, la domination, non. La simplicité de ses nombreux gestes, tout cela n’est nullement compréhensible pour les êtres humains cherchant tout simplement trop compliqué. Ils ne veulent nullement connaitre la vérité. Elle hurle, elle cherche encore et encore. Pourquoi, comment, et surtout quelle seront les conséquences sur cela…
Activant une rapide technique, une voile d’électricité recouvrit son corps. Laissant seulement ses pieds nullement recouvert d’électricité, cela allait être un combat assez intéressant pour le jeune homme. Un adversaire ne ressemblant nullement à un humain. Peut-être légèrement dans sa physiologie faciale mais ses innombrables dents pointues semblable à celles de ses anciens monstres de puissances qu’étaient les dinosaures. Observant un peu plus l’espèce d’hydre antique, sa peau magnifiquement rougeâtre sombre semblait être facilement frêle, peut-être même un peu plus que la peau d’un humain lambda. Et en contrepartie, ses nombreuses griffes extrêmement longue ne devait nullement être sous existé. Secouant rapidement la tête, il ne laissa nullement sa vue devenir langoureuse envers cette créature assez ignoble. Elle fonça finalement avec une fureur bestiale contre l’ancien ninja qu’il était. Haussant doucement un sourcil vers le haut, le militaire au masque de métal ne bougea pas pour l’instant. Nullement pas pour l’instant. Elle se rapprochait, encore, encore. Toujours vite et plus bestiale qu’elle ne paraissait, l’une de ses mains gargantuesque levé vers le haut, son index gargantuesque était littéralement disloquée vers l’arrière et par conséquent, l’une de ses griffes se courbait vers le bas, donnant une position au monstre assez comique. Alors que la créature était seulement à quelques centimètres, il effectua une rotation sur la gauche, son bras accompagnant la lame, elle trancha littéralement le corps de la bête en deux. Son sang maussade se répandant allègrement derrière le dos du jeune homme ainsi que sur la pure neige du sol, la souillant de sa présence. Alors que ses jambes effectuées encore quelques pas, elles s’effondrèrent finalement dans la plus lente des mélodies magnifique. Alors que le corps supérieur, lui s’était déjà effondré sans vie depuis un bout de temps, le jeune homme à la crinière d’argent, sourit. Simplement, facilement.
Alors qu’il portait sa main libre vers son masque, allant découvrir son visage, une chose agrippant une violence sans pareille sa jambe. Faisant alors par conséquent tomber le militaire qui grimaça de douleur. Les attaches de son masque nullement enlevé il le garda par définition. Secouant rapidement sa jambe prise d’assaut par une force inconnue, son enveloppe corporelle désactiva le grillage électrique qui avait recouvert son corps, la neige fondu ainsi que l’électricité ne faisant nullement bon ménage, le jeune homme se retourna alors par la suite. Une vision d’horreur le frappa allègrement comme la passion des scientifiques pour leur propre créature. Le corps supérieur s’était réanimait de lui-même sans aucune raison et, sa colonne vertébrale était devenue inexplicablement une queue d’os ainsi que de chair, en son plus haut point, une pointe. Fine, mortel. Cela était une certitude. L’homme gesticula. Encore et encore mais rien n’arriva. Alors que son attention disparut pour la longue colonne vertébrale du monstre, elle se reporta vers la main le tenant ainsi que du la face du monstre ouvra sa gueule comme le requin allant se nourrir de sa meilleure proie. Grimaçant encore une fois, mais largement plus cette fois-ci, d’un geste vif il répéta l’opération, sa lame tranchante coupa littéralement le bras de la chose alors qu’en même temps, son autre pied libre venait s’écraser avec une violence inouïe contre sa façade rougeâtre. Dans un craquement, la mâchoire se disloqua sous la botte renforcée du jeune guerrier. Prenant doucement appuie sur ses coudes alors que le méphistophélique hurlait de douleur, une chose arracha sa vue. L’un de ses verres était à briser. Mais son œil nullement touché, de peu. Certes. Arrachant son masque, l’homme recula prit d’une sueur froide conséquente. Il venait de frôler de finir borgne. Se relevant finalement avec une rapidité à toute épreuve, son corps évita l’épée qu’était la colonne vertébrale. Venant planté dans un cri sa lame dans sa boite crânienne, une énorme gerbe de sang arriva contre son visage, tâchant son visage parfaitement blanchâtre ainsi que ses magnifiques cheveux rougeâtres.
« Je hais… Les animaux… »
. : Fin. : .
Juka Kiyomizu ღ San'Bou ஃ Descendante de Narcisse ღ
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Mar 5 Juil 2011 - 21:52