Vivre ensemble, c'est se meurtrir l'un l'autre -Mission rang S- [Solo/Partie 3]
Satoshi Hateru ¤ Chef de l'Akatsuki ¤ ▌Sanction : Aucune
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18 ans Sujet: Vivre ensemble, c'est se meurtrir l'un l'autre -Mission rang S- [Solo/Partie 3] Mar 23 Aoû 2011 - 12:06 L'infiltration au pays des montagnes
L'aube, essence même du renouveau, symbolique de la vie. Teintes douces et pétillantes à la fois s'y mêle avec une harmonie insoupconné et dérisoire. Une nuance lilas elle même troublé par une pointe de pêche auquel vint se marier dans une exhibition si parfaite, si divine que l'on serait tenter d'en nier l'existance tant cela est accomplis. L'homme devient alors jaloux de ce qu'il ne pourra jamais, ô grand jamais détenir entre ses mains avides de futilités en tout genre. Tout est bon pour cet être en quête constante d'artifice à ajouter puérilement à sa panoplie qu'il exhibe avec une fierté en aucun cas dissimulé et encore moins nier. A vrai dire, l'homme n'était qu'une créature superficielle ne voulant que ce démarquer par des démarches tout aussi inutiles les unes que les autres. C'était à croire qu'il ne pouvait comprendre que la beauté résider en la simplicité, la simplicité du naturel. L'aube en était l'exemple même et propice à la situation. Un équilibre parfait entre les teintes tant tôt superposées, tant tôt entremêlées dans un perfectionisme si séraphique. Le créateur, si créateur il y avait, avait orchestrer là un véritable chef d'oeuvre qui ne pouvait être qu'admirer d'un oeil envieux. Le ciel en sa généralité à bien souvent était maudit à coup sûr mais qui l'a déjà vraiment calomnier ? Avez-vous déjà observer un homme qui n'a jamais observer contemplatif cette vaste étendue aux variantes nombreuses mais constemment céleste. Ajoutons à sa beauté indéniable le simple fait qu'il amenait à la vertue de l'observation, sans oublier de la contemplation. Apaisant les moeurs le ciel est probablement l'une des joies les plus fortuit que l'on a octroyait à l'homme dans sa fortune. Et comme à son habitude tout à fait facheuse d'ailleurs, il l'ignore et vit de façon ingénue en quête d'un bonheur artificiel tout autant que passager alors qu'au dessus de lui réside la clé du plaisir simpliste et quotidien. Un homme comme tous les autres, passait lui aussi utopiquement à coté de cette aube aux vertues ô combien démontrées. Cet homme n'était autre que moi même. Volontairement je me serais posé dans un coin pour mieux dubitatifs louanger ce commencement de journée si encourageant pour la suite mais infortuné que je suis j'avais d'autre chat à fouetter. Inopportunément la contemplation du paysage ne faisait pas partie de mes priorités et comme bien souvent je me voyais passer à coté d'une chose jouissive. Homme de raison plus que de coeur, j'en détournait mon regard pour fixer le sol. A l'horizon les pointes sinueuses des hautes montagnes composant le paysage de Iwa étaient perceptible sans mal. Je ne devais être plus qu'à quelques pas du village à présent. Dans un profond soupire je relevais le visage en observant le chemin sabloneux qui me semblait sans fin. Il aboutissait au pied d'immenses portes principales particulièrement bien gardées. Je lançais alors quelques regards furtifs en tout sens puis fit volte face lentement. Observant que j'étais bel et bien seul, j'admet que je ne savais pas trop où donner de la tête. J'avais bien rencontrer un marchand ittinérand sur ma route qui m'avait parler de sorte de bar de débat mais els chances étaient infime que je trouvent ces trois pro-fujita là bas ce serait bien trop simple. Portant ma main droite à mon menton je fermais les yeux un instant, histoire de mettre mes idées au clair. J'allais procéder de manière tout à fait classique, la routine offrait une certaine sécurité que la nouveauté égarer au profit de l'excitation. Relaissant mon bras tomber le long de mon corp je dénouais à l'aide de ma main gauche mon bandeau avant de le fourrer discrétement dans la poche intérieure de ma veste. Un vent glaçait vint faire voler ma chevelure dans un frisson tant dis que mon regard se posait sur les gardes. Deux options s'offriat à moi mettre en scène une fausse alerte en prenant l'apparence de l'un d'entre eux ou faire profil bas en m'incrustant discrétement à la foule. Dans le cas de la prime suggestion il y aurait tout un tas de rumeurs qui circuleraient et les gens se feraient à coup sûr méfiant mais ... c'est dans la prudence que les comportements éronés et ou bien étrange étaient perceptibles. Je fit une série de signe qui se fut courte pour prendre l'apparence d'un garde. Quoi de plus simple ? Une technique des plus basique à vraie dire mais sans doute des plus utiles. Inspirant profondémment je n'allais faire qu'une dérivation de l'alerte. J'allais me contenter de signaler une troupe d'individus louche mais inexistant. Cela me parraissait plus prudent en un sens. A quoi bon répandre un climat de panique alors que je pourrais m'y laisser prendre sans même le vouloir. Trop risqué. Je laissais quelques minutes s'écoulaient pendant lesquelles je me contentais d'entrer dans la peau du personnage. Ayant prit l'apparence d'un homme de petite taille et de corpulence bien ronde il me fallait jouer un personnage empoté et paniqué se montrant rétissant à sa tâche par crainte peut-être ?Oui, j'alalis jouer cette carte ci.Je mit à courir à petites emjambées suivant le chemin sabloneux en direction des portes. Environ à mis chemin je mimais un essoufflement inexistant mon teint rougeoyant à mesure que j'avançais n'était en faite dut qu'au fait que je retenais une fois sur deux mon souffle pour parraitre plus fragile physiquement. Arrivant à une allure moyenne dans la foule je poussais en feignant la panique els gens dans des insultes typique "Gros lard ! fait gaffe où tu marche !" ou encore un classique "Connard" . Ces paroles emplis de bonté bien entendu me faisait sourire et presque pouffer. Que les gens étaient naïfs comme je m'y attendais les gardes vinrent à ma rencontre et me stoppant alors dans l'immédiat je replié sur moi même en posant mes mains sur mes genoux et respirant grossièrement. Dans une fausse épouvante je balbituais alors maladroitement : " Un groupe ...un groupe d'individus suspect !" Je me tut un instant pour reprendre mon souffle puis posant un main sur mon coeur je me relevais lentement en poursuivant : " Au S-sud Est des portes mon équipiers est rester sur les lieux" Toussant allégremment je mettais ma main devant ma bouche grasse surmontée d'une piètre moustache en m'étouffant de plus bel. Un des trois hommes face à moi fit un signe vers l'avant et les deux autres partirent à toute vitesse. J'ajoutais alors dans une voix tremblante d'un homme qui se sacrifier : "Vas toi aussi je m'occupe des portes" . Il aquiessait à son tour en repartant. J'attendais alors qu'ils s'éloignèrent pour finalement me poster un instant sur le bas coté en observant cette agitation d'un air penaud. Me satisfaisant de mon jeu de scène je pénétrais dans le village d'Iwa, enfin.
Satoshi Hateru ¤ Chef de l'Akatsuki ¤ ▌Sanction : Aucune
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18 ans Sujet: Re: Vivre ensemble, c'est se meurtrir l'un l'autre -Mission rang S- [Solo/Partie 3] Mar 23 Aoû 2011 - 16:46 Dupe ...
Avançant d'un pas lent et lourd correspondant à merveille à mon nouveau corp bien que temporelle je foulais les rues d'Iwa. J'avais connaissance de la puissance militaire du pays et j'avoue que j'imaginais bien chaque recoin du territoire truffé de gardes, ou bien d'escorte. Je voayis à merveille en ma tête les rondes incessantes si bien nocturne qu'en journée d'une multitude d'équipe redoutable. A tort ou à raison ? Je n'en savais tout bonnement rien, pour l'instant. M'engageant sur une passerelle reliant deux passerelles je cherchais des yeux le moindre indice ou bien le moindre visage que j'aurais put avoir déjà croiser à Konoha. On ne savait jamais, les trois pro-fujita pouvaient très bien être là dans les passants avec une peu de chance... un peu beaucoup tout de même. Sans rien connaitre de la composition de ce village j'avançais lentement mais sûrement sous les regard naïfs des qeulques inconnus qui me saluaient pensant que j'étais ce que je voulais leurs montrer. Retenant un rire sarcastique en mettant ma main devant ma bouche je me demandais comment j'allais bien pouvoir me débrouiller pour les trouver. Arpenter les bars étaient une bonne idée et ce que je faisais d'habitude et jusque là ça avait toujours était plus que bénéfique. Mais j'avais bien envie de tester une nouvelle approche. Les gens buvaient littéralement cette image de moi et j'étais tenté de leurs demander directement. Je me sentais tellement puissant, je pensais avoir une emprise certaine sur eux. *Une bande de brebis naïves * pensais-je. Dans un grondement plus que familier, j'ouïe mon estomac criait famine comme souvent ces derniers temps. Dans une large grimace je repensais à ce maudit écureuil. Dans un petit bruit de surprise je me demandais alors où il était passé, c'est vrai j'étais partit avec sa frimousse en main. D'un air confus je regardait une à une mes mains mon regard émeraude de petit gros vascillant. Lachant finalement un long soupire je me dirigeais vers ce qui semblait être un petit restaurant en passant ma main grassouillette dans un amas de cheveux brun nullement coiffés. Le restaurateur me salua naturellement dans un sourir tendant à la sympathie. Je lui répondis par un signe de tête en engageant la conversation quasi immédiatemment. "Alors mon grand ! Seriez vous d'humeur à aider un valereux ninja à accomplir sa mission ?" Je laissais un court silence s'installé dans lequel je lui adressait u nsourire décidé et en lui tapotant l'épaule je reprit d'une voix plus autoritaire : "Je vois que oui !Bien je vous dit ça mais que ça reste entre nous, rroooh je vous fait confiance." Je me posais sur une chaise puis lui fit signe de prendre place. Le jeune homme suivit mes instructions d'un air grave puis une fois assit se pencha vers moi en tendant l'oreille. Faisant de même je lui murmurais alors d'une voix des plus sérieuses : "Trois hommes aux allures suspectes se sont introduit dans le village et..et nous les cherchions des rumeurs diraient qu'ils font des débats régulièrement dans un bar du centre ville " Mon regard fixait l'homme qui acquiessait en bredouillant des paroles de confirmations. Un sourire fin s'étendit le long de mes lèvres sans même que je m'en rende compte. A la manière d'un vielle homme satisfait je me tapotais mon ventre prohéminant en y jetant un regard dégouté. L'homme repartit dans les secondes qui suivèrent aussi rapidement qu'il était venut. Dans un rire bonhomme je reposais mes mains sur la table que je scrutais pensif. Cette récolte d'informations avaient été plus que fructueuse. L'homme ne se fier vraiment qu'au visuel et quand l'on était l'auteur d'une farce si amère on ne pouvait que trouver les gens irréfléchits et follement ridicul dans leurs quotidien. Mais n'était-ce pas l'essence de la nature humaine ? Si croire perpétuellement à des chimères, à des mythes, allant même jusqu'à croire qu'il est l'aboutissement de l'évolution...L'homme est une créature profondément burlesque. Relevant le regard je vis s'approcher l'homme de tout à l'heure un assortiment de sushis reposant dans une assiette qu'il tenait entre ses mains. Déposant l'assiette sous mes yeux il dit alors d'une voix distincte : "Un homme tel que vous mérite bien ça" Je le saluais d'un mouvement de tête amical puis il repartit tout jouyeux d'avoir fait sa bonne action. Interloqué par un tel emportement je prit entre mes mains les baguettes en dévorant un à un les sushis. Je ne prenais même pas le temps de macher à vraie dire je voulais juste comblé mon estomac. Les secondes passaient et mon assiette se vidait une fois sa contenance réduit à zéro je ne put m'empêcher de porter ma serviette à mes lèvres puis la reposant je mit une main dans ma poche de droite en sortant une dizaine de ryos ou peut-être un peu plus. Je les déposais près de l'assiette. Ce n'était pas vraiment pour sushis que ej 'navais pas déguster pour deux sous mais plus pour les inforlations. Je m'en voulais d'avoir duper un tel garçon.
Satoshi Hateru ¤ Chef de l'Akatsuki ¤ ▌Sanction : Aucune
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18 ans Sujet: Re: Vivre ensemble, c'est se meurtrir l'un l'autre -Mission rang S- [Solo/Partie 3] Mar 23 Aoû 2011 - 17:56 ... et frippon
Je sortais du lieux où je m'étais restaurer satisfait de cette journée. Nous arrivions vers la fin de journée, je relevais ma manche en observant le cadran indiquant les dix-neuf heures. Le ciel était encore clair et cela était plus qu'agréable. Je à présent mon regard sur ce qui semblait être le passage vers le centre ville. J'aurais sincérement préférer emprunter les petites ruelles mais à défaut de connaitre le coin, il fallait faire des concessions. Cependant je décidais de faire vite. Selon la description du marchand dont j(avais fait la rencontre le bar se distinguait des autres par son état délabré. Anvançant parmis la foule, je découvrais les joies d'avoir un corp corpulent pour mon plus grand plaisir. Je me morfondais en excuses en accélérant le pas traversant de nombreuses passerelles reliant les tours entre elles. J'arrivais rapidement devant un amas de batîments de tous genre, passant du fleuriste au vendeur de carte postale j'en déduisis sans trop de perspicacité que cela était probablement le centre ville. Mon regard s'accrochait à chacun des batîments ralentissant mes pas lourds de petit enrobé je raser les murs discrétement en saluant quelques passants. Les mains croiser dans mon dos me donner l'air d'un garde faisant sa ronde et cela était tout à fait ce que je voulais. Toujours sous l'apparence du garde petit et enrobé que j'avais adopté depuis mon entrée dans Iwa je n'avais qu'un souhait retrouver mon corp. Repensant alors à mon ordre de mission il fallait que je ramène les têtes des trois ninjas. Du regard je décidais alors d'investir dans un sac, un sac banale de toile au moins. Il y avait de nombreux stand vendant de tout et de rien. Les balayants un à un du regard en restant dans mon coin je vit un vendeur de ce que l'on pouvait nommer panier d'osier. Me trimballer un panier n'était pas très discret .. En revanche kes gens reparter avec des sac et cela ferai l'affaire. Je 'manvançais donc vers le stand en lui indiquant de mon doigt rondelé une sorte de vasque d'osier. Le prix qu'indiquaiat la petite étiquette au dessous me semblait abordable et quasi aussitôt je lui donnait les ryos necessaire. Au final j'avais bien mon sac grand et ila vaait l'air résistant. Peut fière de mon achat inutil je laissait tomber l'objet en rangeant mon sac dans celui que j"'avais sur le dos. Je me stoppais brutalement devant un bar d'apparence miteux. La façade serait à refaire sans aucun doute, les fenêtres à remplacer et la porte rétro à remettre à jour. D'un pas décider je traversais le centre de la rue en valsant inévitablement entre les passants exercice rendu hardu avec ce ventre prohéminent. A la manière d'un toreador j'esquivait les loupiots et distribuant des signes de tête par-ci par-là je m'excusais du mieux que je pouvais. Une fois devant la batisse je vit un écritau indiqant les heures d'ouverture et de fermeture. Il ouvrait donc à vingt heures. Je n'allais pas attendre si longtemps surtout que des vois s'échapper de la vielle porte. Je fit le tour de la biquoque d'un pas lent et penaud m'engageant dans une petite ruelle je me retrouvais à l'arrière du batîment où s'étendait devant mes yeux un grand mur jaunit par l'âge et la crasse. Il n'y avait aucune fenêtre à l'arrière donc...Dans un nuage de fumée blanche je reprenais mon apparence normal qui m'avait tellement manqué en si peu de temps. J'étais de nouveau ce garçon de grande taille et musclé, avec une crinière noir et des yeux bleus. Dans un sentiment de joie je mit ma main sur ma tempe gauche en laissant glisser el long de mon facièes. Comment allais-je m'y prendre. Le mieux était de les prendre par surprise. En admettant que les informations du serveur soient plausible ce qu'il fallait que je vérifie. Je fit quelques mundras et en refermant mes paupières je sentis mon chakra se concentrait dans mes pieds. Dans un petit soupir je posais le pied droit sur la façade puis le second en accélérant le pas pour arriver le plus rapidement possible sur le toit de cette vielle biquoque. Je m'accroupis en posant mes mains sur les tuiles parsemé de mousse verte. La batîment étant sphérique mes pieds étaient sur la gouttière afin d'éviter toute chute et mes main demeuraient à plat sur les tuiles. Il falalit que je trouve un moyen de faire sortir ces personnes de leurs "planque". Mais comment ? Il n'y avait rien aux alentours pour créer une émeute digne de ce nom. Il fallait quelque chose de discret et d'inoffenssif pour en pas blesser un civil. Dans un léger nuage de fumée suite à quelques signe deux de mes clones me rejoignèrent. Me retournant et posant mon fessier contre les briques je leurs expliquèrent à voix basse : "Bon, il faut être discret et surtout ne blesser aucun civil. Vous allez vous disperçez, l'un ira sur le toit du fleuriste à l'entrée de la rue le second en bout sur le toit de la batisse là bas" Je fit une pause durant laquelle j'indiquais d'un geste vif un toit un peu plus haut que les autres où reposer une jirouette en forme de chat. Je repirt alors : "Ce ne sera pas bien compliqué vous allez tout bonnement vous jeter dans le vide ainsi dans un nuage de fumée vous déclencherez un mouvement de foule on est ok ?" Ils me répondirent d'un mouvement de tête approbatif et tous deux se séparèrent en se dirigeant chacun vers leurs batîment. Posant mon sac à dos en cuir usé sur les ances je mit ma main en lui afin d'en sortir quelques secondes plus tard un objet rond couvert de poils gris. Mes sourcils se fronçèrent. *je verrais ça plus tard* pensais-je en observant l'objet au creux de ma main. C'était une bombe fumigène j'en prit une deuxième que je calais entre mon index et mon pouce de la main gauche.. Gardant un oeil sur mes clones je les vit sauter dans le vide comme je leurs avaient indiqué. Deux épais nuage de fumée blanche se crérent dans un hurlement collectif. Comme je l'espérais plusieurs portes s'ouvrèrent et sans surprise et je dirais même avec joie la porte de ce vieux bar s'ouvrit je laissais alors tomber la fumigène. En sautant au sol dans un bruit sourd. Le nuage était tellement dense que même moi j'avais perdu mes repères l'espace d'un instant .Je vis une silhouette assez massive rejoindre la précédente qui était au milieu de la foule qui courait en tous sens. Plissant les yeux je me glissais dans l'encadrement de la porte en frolant les murs pour ydécouvrir un homme à l'une des fenêtres. Composé d'une seule et grande salle dans laquelle reposée table et chaise ainsi qu'une estrade il me remarqua de suite évidemment.
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18 ans Sujet: Re: Vivre ensemble, c'est se meurtrir l'un l'autre -Mission rang S- [Solo/Partie 3] Mar 23 Aoû 2011 - 20:52 Quand on a pas d'autre choix
Son regard prit des abbords de paniqué sur l'instant. Il fallai tréagir vite autrement dit je lançais ma seconde bombe à fumigène libérant une fumée plus qu'épaisse et enchainait quasi immédiatemment des signes. Une série de boules de boue se jettèrent à l'assault de l'homme. Il en esquivait une partie fort habillement du moins c'est que j'en avait déduit en entendant des bruits de pas. Aussitôt je répétais la technique sur l'encardement de la porte ainsi quela clanche. A peine avais-je finit qu'un violent coup dans le bas du dos me fit grimacer. En prenant une profonde inspiration je fit volte face et adoptant une position de défense je parais un un coup de poing pour lui empoigner le bras. Le tirant brusquement vers moi etmettant le plus de force possible dans mon mouvement je lui fit comprendre que 'javais la tête dur et visiblement il le sentit. Le relachant c'est dans un crie plus qu'audible qu'il se tenait fermement le nez d'où s'échapper d'épaisse coulure de sang. L'instant était propice enchainant mundras brèves, je répétais le fameux Doton Doro Houshi, si basique mais si util. Cette fois c'était de plein fouet. Les petites boules sphérique lancée à bonne puissance le propulsèrent au sol. Tambourinant à la porte qui n'allait surement plus durée longtemps j'allais couper la première tête. Dans une grimace de pré-dégoût je sortais mon sabre de son étui en m'approchant de l'homme le visage en sang et "coller" au sol. "Qu'est-ce que ? Mais putain de merde ouvre toi !" grogna une voix. Mon regard glissait une dernière fois sur la lame si pure de mon arme avant de l'abattre dans un mouvement bruque sur le coup de l'homme dans une émulsion de sang. Le liquide rouge se déversait comme une fontaine formant une dense flaque de sang sur le parquet. Je fit un signe de croix en levant les yeux au ciel avant de m'accroupir auprès de l'homme, de prendre délicatement sa tête entre mes doigts puis de chercher du regard de toute urgence une "cachette" Désaprouvant cette idée je me mit sous l'une des tables du fond de la salle sur la droite de la porte. La tête envellopper dans ma veste, je sentais et voyait le tissu devenir chaud et humide. Une fine grimace aux lèvres j'attendais. Il n'en restait plus que deux. Devant mes yeux le corp étendue sans tête... Je ne pouvais nier l'évidence du goût prononcer de notre nouvel Hokage pour le sadisme. Il falalit tout de même observer et imaginer la jouissance, la satisfaction que notre Hokage allait ressentir à la vue des têtes. Chassant cette idée d'un geste désapprobateur de la tête, je serrais de plus bel ce qui restait de l'homme contre moi. "Bon on passe par les fenêtres!" dit une voix plus féminine. Un bruit de verre brisé retentit et en quelques secondes deux silhouettes apparurent dans la pièce. Vue la facilité avec laquelle je m'étais débarrasser de l'homme cela devait être un rang B, il me restait donc un rangs S et B. "M-Merde ...Comment..c'est pas possible." lacha l'homme d'un ton désué. Un lourd silence s'imposa, l'atmosphère tendu et l'odeur du sang se faisait sentir. La femme s'approchait du corp en s'accroupissant comme je l'avais fait précédemment. Elle se relevait avec les mains devant elle, sa tête fit quelques mouvements en tous sens. Mettant sa main sur le front à la manière du penseur elle semblait observer le sol. Une large grimace se dessinait sur mes lèvres, dans un silence parfait je reposais la tête, mes mains pleinne de sang je les essuyaient sur mon pantalon en la regardant. Elle retraçait mon parcours, elle se mettait à ma place. Elle fit quelques pas en avant en plein dans la flaque de sang. " Il n'a pas laissé de trace ." dit-elle. Elle murmura quelque chose sans que je sache ce que cela était et elle fit volte face. Elle 'mavait entendue, non impossible. Je sentais une sensation d'étouffement monter en moi, je serrais alors mes poings pour faire fuir le stress. Je me devais de demeurer calme et posé en dépit de la situation. Elle semblait cependant me fixer sans me voir et j'avoue que cela m'inquiétait au plus haut point elle m'avait vue certain. D'ailleurs le reagrd complice qu'elle avait lancé à son allié voulait tout dire dire. Dans une vision d'agacement elle débutait une série de signe je fit de même. Concentrant mon chakra que ej sentais brûlais en moi dans ma bouche je la vit littéralement me cracher au visage ses boules d'eau. Technique basique du Suiton mais redoutable. Je libérais un fin filet de boue d'un mouvement horizontale de la tête. Je jettais un coup d'oeil à la tête en sortant de sous la table. Dieu merci la rempart de terre avait jouer son rôle à merveille. Sortant de ma planque je vit l'homme d'lalure massive se jeter sur moi accompagné de clone. Me mettant en position de défense je n'avais eu aucun mal à esquiver les deux clones dans une épaisse fumée. Plissant les yeux et gardant mes bras devant mon visage formant un "X". La femme ajoutait "Hateru...Tu es réputé. Dis moi comment un membre d'un des clans les plsu prestigieux de Konoha à put faire cela" Aucune réponse de ma part, la provocation n'avait d'effet sur moi. Soudain un craquement se fit entendre, il fonçait sur moi. Dans une profonde inspiration son poing vint percuter ma main que je repoussais dans un mouvement vif et rapide qui consistait à lui assenir un coup de pied dans les côtes. Un bruit sourd se fit entendre et alors en l'espace d'un instant mes pieds décollèrent du sol. "PUTAIN !" Un rire cristallin se fit ouïre suivit "Fuuton - Kami no Iki " Une voix déformée par le sadisme me fit tressaillir tant dis que mon corp percutait le mur du fond de la batisse en retombant sur l'estrade. C'était une véritable bourrasque qu'elle m'avait jeter au visage. Une profonde douleur dans mon dos me fit émettre un son de hargne tant dis qu'elle relevait son co-équipier.Prenant apppuit sur le sol je la fixais c'était le rang S. Dans un rictus déformé par l'excitation que cette mission me produisait j'enchainais brutalement des signes en concentrant mon chakra dans mon orifice bucal. A son tour elle enchainait dds signes. *Saleté je t'aurais* pensais-je. Son co-équipier c'était relevé et s'amuser à nous imiter. Rageant et redoutant son attaque j'articulais le nom ma technqiue mais rapidement ma voix fut engloutis sous le bruit grondant d'aiguilles en quantité plus que convenable fendant l'air. Mon index et mon pouce formant un cercle autour de la base dur ayon circulaire des aiguilles ma seconde main restait en arrière. Je me concentrais essentiellement sur la fille qui fit jaillir une lance constituait de foudre fonçant sur moi à toute vitesse. Je venais à peine de la voire que la lance m'avait déjà heurtait malgrès les aiguille qui l'avait percutait. dans un cri qui sonna double je sentais la lance s'être planter en ma cuisse. Serrant les dents les yeux exorbités, mon sang coulait dans une vague d'un liquide chaud. Dans un effort me parraissant sur-humain mon regard se posait sur l'équipié transperçé en partie par mes aiguilles au niveau des avants bras. Surement que quand la lance m'avait percuté mon attaque avait dévié. Peu à peu la alnce disparraissait dans un soulagement indescriptible. Déchirant une partie d'une de mes manches je me faisait un pansement de fortune pour que le sang cesse de couler. Serrant les poings s'était l'instant où jamais. Tous deux occupés. Réunissant mes forces qui se faisait mince maintenant je fit une série de mundras, une petite boule tournoyante apparut entre mes main peu peu à peugrossissante une foisà taille moyenne je la libérais en la jetant vers mes adversaires. Je la suivie du regard et dans une explosion sourde un onde de choc de taille moyenne arracha un crie strident à l'homme tan tdis que les têtes chercheuses foncèrent sur la femme. Dans une large grimace et dans douleur à peinne soutenable je fit quelques pas lourd vers les deux individue se tordant au sol. Une fois à la hauteur de l'homme épinglé je prit mon sabre et dans un ultime sourire triomphant mon sabre s'abbatait sur sa nuque dans la même émulsion de sang. "Je suis les ordres...et tu me voit profondément accablé par la situation." Lachais-je avec détachement dans un rictus faussement désolé. Dans u n geste se voulant plus cruel je laissais s'abattre ma lame contre son cou. Refermant mes paupières, je fit une forte pression sur ma plaie. La mission était accomplit.
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18 ans Sujet: Re: Vivre ensemble, c'est se meurtrir l'un l'autre -Mission rang S- [Solo/Partie 3] Mar 23 Aoû 2011 - 21:11 A la prochaine
"Bon sang que ça fait du bien" m'exclamais-je en m'étirant. Aujourd'hui était mon neuvième est dernier jours dans les territoires d'Iwa. C'était la fin, ma mission accomplit les preuve en main je n'avais plus qu'à fuir ces terres le plus rapidement possible. La blessure de ma cuisse gauche s'était considérablement améllioré grâce au très bon médecin ninja de l'hospital. Chacun pour soi et DDieu pour tous en pensais-je tout sourire. J'avais reprit mon apparence de petit gros, histoire d'éviter les questions indiscrètes des médecins ou autre membre du domaine médical. En l'instant présent j'allais passer entre les deux portes garguantuesque de Iwa, pays de la roche pour la dernière fois. Un fin sourire aux lèvres mes sacs en main j'allais sortir aussi penaud que j'y était entré. La seule différence était le fait que maintenant j'avais une sorte de béquille pour mon plus grand malheur. Cela allait ralentir mon rythme et me rendrait vulnérable et cela je ne pouvais me le permettre dans mon état. Rien d'extrêmement grave en soi mais malgrés la compétence de l'irou jutsu ma plaie rester encore fragile. Balayant du regard l'agitation matinale, j'allais une novuelle fois devoir duper pour m'en sortir je commençais à être habitué. J'eu un blocage sur ce que l'on pouvait nommer une charrue, de boeufs et un homme. C'était l'idéal, il transportait de la paille en grande quantité quoi de mieux pour cacher mon sac sans soucis. En observant les alentours je m'engageais dans une marche titubante dut à ma béquille. Je fit de grand geste à l'homme qui eu la bonté d'attendre que j'arrive à son niveau. Après tout il aurait put partir n'est-ce pas. S'accoudant sur sa banquette de bois usé, l'homme barbue aux traits tirés me dit d'une voix emplis d'une pitié dont je me serais passé : " Que puis-je pour vous ?" Portant ma main à mes cheveux en les remettant en ordre je lui souris bêtement. La pitié qu'il ressentait pour moi aller devenir mon atout en ce jeu futile. Je lui répondais alors d'une voix feindant le gêne " Eh, eh bien où vous rendez-vous ?" Laissant retomber mon bras je remontais les bretelles de mon sac à dos d'une main l'autre tenant le fameux sac. Dans un sourir amusé l'homme réajusta son chapeau en se redressant puis en me faisant signe de le rejoindre. "Je vais à Suna mon grand" répondit-il d'un air fraternel. D'un geste véloce je balançait mon sac dans la paille puis prenant appuit sur ma béquille levait la jambe pour prendre appuit et m'asseoir à ces cotés. "C'est parfait ! Merci vraiment" lui dis-je alors d'un ton des plsu reconnaissant. Il prit les rênes en main en fouettant doucement ces bêtes qui se mirent au pas. J'avais mon ticket de sortie.
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Vivre ensemble, c'est se meurtrir l'un l'autre -Mission rang S- [Solo/Partie 3]
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