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Une journée banale, presque. [Akito Soshi.] |Privée.|

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Sujet: Une journée banale, presque. [Akito Soshi.] |Privée.|

Mar 1 Nov 2011 - 15:44

. : Attention devant ! : .

Petit short noirâtre, bottes hautes comme à son habitude de la même couleur que du prochain vêtement. Une douce et magnifique chemise blanchâtre ainsi que sa fameuse veste d’un couleur bleuâtre. En fait, aujourd’hui était une journée comme les autres. Rien qu’à voir ses vêtements d’un temps n’appartenant nullement au temps du Monde Ninja ne pouvait voir cela. Aujourd’hui, pas de mission de rang : « D. » bien que nous étions un début de semaine. A savoir le Lundi. Un Lundi d’automne ou par conséquent les douces et merveilleuses feuilles orangées voire rougeâtres tombent mollement contre les artères de la ville de Kumo Gakure No Satô. En tout cas, la jeune femme était d’une bonne humeur assez gargantuesque en cette journée où le vent était, comme à son accoutumé bien présent. Mais pas aussi puissant que d’habitude. Nullement besoin d’écharpe ou encore bien de bonnet ainsi que de manteau gargantuesque. Mais aujourd’hui, comme chaque journée ou la douce demoiselle n’avait nullement de mission, cette petite créature était à la bibliothèque, farfouillant encore et encore des informations sur ce fameux collier étant offertes par les Moines du Temple de la Foudre. Elle s’y était rendue, à ce fameux Temple de la Foudre pendant une mission de rang : « D. » Cela fut d’ailleurs sa deuxième mission sur sa cinquième mission de rang : « D. » Aya Yukiochu était d’ailleurs extrêmement fière de sa réussite malgré quelques problèmes pendant quelques missions. D’ailleurs, ces bandages aux niveaux de ses doigts avaient littéralement disparues mais nullement le petit sparadrap beige ce trouvant encore sur sa mignonne et douce joie. Combien de temps cela faisait-il que la jeune femme était à la bibliothèque de Kumo Gakure No Satô ? Peut-être une heure voire deux. Nous devions être à environ une heure de l’après-midi… Voire deux.

Plaçant doucement le médaillon entre ses fins doigts blanchâtre, elle regarda le fameux éclair contenu dans le petit collier d’or. Elle ne connaissait toujours rien. Que cela soit au niveau de leur histoire ou encore bien de l’utilisation de tout cela. Mais la jeune femme n’abandonnait absolument pas. Cela était une chose purement et simplement certaine. Mais bon, l’espoir fait vivre. Cela était une chose certaine dans l’esprit humain. Alors que la jeune Ninja à la crinière blanchâtre lisait encore et encore un paragraphe sur les objets sacrés appartenant aux Moines du Temple de la Foudre. Mais non, nullement une ligne sur ce fameux petit collier. C’était véritablement héritant pour la jeune femme. Cela en devenait presque lassant pour elle. Mais non, la douce ne devait pas perdre espoir sur tout cela. Non, pas encore ! Cela n’était pas possible ! Si elle continuait encore, elle passerait totalement sa journée dans la bibliothèque sinon. Mais bon, il fallait se rendre malheureusement à l’évidence. Cela n’était pas pour aujourd’hui apparemment que la recherche sera finit mais bon. Tant pis, refermant alors l’énorme livre légèrement recouvert de poussière. Apparemment, les personnes de Kumo Gakure No Satô ne prenaient pas vraiment le temps de lire des livres de la bibliothèque parlant de l’histoire de leur village. Cela en était apparemment assez désolant. Mais bon, que cela ne tienne. De toute façon, elle allait le prendre avec elle pour finir sa lecture chez elle, accompagné bien entendu d’autres livres surement aussi gros que le poids de la douce elle-même. Ce fut donc en grognant légèrement suite à ce non découvert assez flagrant et en emportant au passage trois nouveaux livres assez importants qu’elle attrapa et positionna en pile devant elle, en dessous, ses mains pour soutenir ce poids. On aurait pût se croire dans un mauvais stéréotype.

Alors qu’elle posa doucement les livres sur la banque de la Directrice, sous les yeux assez ébahit de cette dernière ainsi que des très rares personnes se trouvant dans la bibliothèque, hormis bien entendu les ouvriers devant ranger les livres avec une monotonie assez extrême. Clignant plusieurs fois des paupières, la directrice sourit finalement en remarquant que, derrière cette montagne de livre se trouvé finalement et définitivement un petit être de nom et prénom : « Aya Yukiochu. ». Enregistrant les livres prit sur un bouquin servant de compte, elle hocha par la suite la tête en souhaitant une bonne voire une très bonne journée à la jeune femme et bien entendu, une bonne lecture. Cela va de soi. S’inclinant poliment face à la dame plutôt ancienne, elle reprit ses livres dans un très léger gémissement de plainte suite au poids assez conséquent de ces derniers qu’étaient les livres. Vicieux était les livres, une grande source de connaissance pour un poids des plus grands. Elle sortit donc par conséquent de cette humble demeure bien que très gargantuesque avec les livres contre son faible torse ainsi que sa pauvre poitrine nullement existante. Poussant doucement mais surement la porte de la bibliothèque. Et par conséquent, la jeune femme se retrouva définitivement dans l’une des nombreuses artères de la ville, la jeune femme déposa rapidement ses affaires contre un banc, et par conséquent, elle s’assied sur le banc, à côté donc de ses fameux livres. Lentement mais surement, la jeune femme à la crinière purement mais surement blanchâtre attrapa un fin livre. En fait, le plus petit de la pile pour tout dire. Malgré cela, il était assez gros pour la jeune femme, puisque cela rester quand même une encyclopédie. Lentement mais surement, elle regarda le sommaire… Rien.

Finalement, la jeune femme referma lentement mais surement le livre. Hum, cela n’était pas dans ce livre qu’elle trouvera la réponse envers tout cela. Tant pis. Se grattant doucement sa joie droite par la cause du sparadrap, elle fit ensuite glisser ses fins doigts sur le petit médaillon visible en forme d’éclair. En tout cas, maintenant, elle fallait qu’elle reparte vers la bâtisse de son Clan, à savoir celui du Clan Yukiochu. De toute façon, sa mère ne lui avait pas donné d’heure pour rentrer, elle savait que ce drôle de petit bijou au de la douce intrigué la jeune femme mais même les plus anciens du Clan ne savait quelque chose à propos de tout cela. Bientôt elle reviendrait au Temple de la Foudre. Cela était quelque chose de sure pour la jeune demoiselle à la crinière purement et magnifiquement blanchâtre. Oui, elle en était absolument sûre, pour elle, cela était une certitude très simple. Mais nullement réalisable. Certes, par exemple, aujourd’hui, elle aurait pût venir en ce lieu sacré mais bon, elle voulait trouver un minimum d’information avant tout cela. A chaque fois qu’elle voulait des informations, elles les obtenaient cela était quelque chose de sûr. Mais en tout cas, elle obtenait toujours ses informations. Elle se leva donc, ramassant ses nombreux livres et partie donc, déboulant dans les rues et arrivant par conséquent à l’immense Place Principale, la jeune demoiselle, ne voyant à cause de ses livres très peu, percutant par conséquent un être humain. Tout s’enchaina assez rapidement. Elle tomba, les livres s’étalant rapidement par terre, les pleures de la jeune femme. Oui, elle pleura. Effectivement, de toute façon, la douce jouvencelle était connue pour pleurer extrêmement facilement. C’était donc en pleure, par terre qu’elle se retrouva comme cela, pauvre d’elle, effectivement, cela était une source sûre.

« Bouh… Aie… Aie… »

. : Suite à venir. : .

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Sujet: Re: Une journée banale, presque. [Akito Soshi.] |Privée.|

Mar 1 Nov 2011 - 23:07

Une journée banale, presque.

Le grand méchant loup version remixe

Cette journée est quelque part un immense progrès pour moi mais aussi et sans doute la chose la plus infime pour autrui. Elle mérite d'être marqué d'une pierre blanche ou encore d'apparaître comme jour férié tant elle est à mes yeux spéciale. C'est compliqué d'expliquer cela car j'ai la crainte fondé que pour les autres ce ne soit qu'un devoir à accomplir parmis tellement d'autre dans mon rôle de ninja. Bon je lâche le morceau après bien peu de combat je n'ai aucun mérite et je n'en veux pas, aujourd'hui je me suis entraîné avec une forme dissimulé d'entrain. Je le fait aussi de temps à autre quand l'imagination de me distraire déserte mon âme mais c'est l'une des rares fois où mon entraînement ne 'ma parrut être une corvée de plus, j'y ai trouvé de l'attrait mais pas pour autant de l'intéret. Je ne pousse la folie à ce stade mais déjà c'était un grand pas pour moi et un petit pour l'humanité. Ma fréquence de labeur se mesure à mes ambitions jamais je ne veux me voire à la tête du village alors jamais je ne fait sorte de m'en donner les moyens. Utopique sont les gamins aux rêves si lumineux réalistes sont ceux aux prunelles ternis par la vie. Je ne vois pas ça comme un mal pour moi c'est l'opposé, c'est un bien de n'avoir une ombre d'ignorance sur le visage. On est plus près de la vérité dans un sens à la lumière.

Je quitte les terrains d'entraînement comme d'habitude je suis moue dans mes movuements j'ai la flemmardise de marcher vite alors j'ai une démarche nonchalente maisc'est pas trop grave. Qui se soucis d'un genin de treize ans ? Personne ! Alors je préfère faire comme je veux c'est bien mieux. J'ai une sensation de liberté quasi inexistante comme ça c'est tout aussi fun que si je l'avais vraiment, fun ! Je lance un regard en biais aux alentours, il n'y a pas de stand pour grignoter c'est bien triste mais c'est pas existenciel. Un grondement sonore se fit ouïr, ce n'est pas l'orage c'est mon estomac. Je porte ma main sur ce dernier pour le calmer. C'est une habitude stupide je sais bien on ne peut point calmer un estomac ça parrait évident ça l'est à vrai dire. J'avance donc avec une certaine lenteur vers le centre ville car j'ai décidé de me restaurer pour metrre un terme à ces grondements et aux crampes dût à la faim. C'est logique manger pour cesser la faim enfin ça l'est à mes yeux et je suis le seul maître de mon âme et de mon corp et j'agis en conséquence. Je me surprit à préssé ma marche ma paresse mise de coté je redeviens le garçon énergique et rieur de mes beaux jours. J'ai la tendance de toujours cacher ce que je suis vraiment mais comme je le pense, du moment que je sais qui je suis les autres ne sont pas obligés de le savoir. J'arrive au devant d'une grande rue d'où un brouhaha gigantesque se forme. Les discussions vont de bon flots ! J'avance au milieu de la foule qui ne prête aps attention à moi je me glisse entre les passants puis m'arrête devant un petit stand que je connais bien. < Comme d'habitude Shiro ! S'il te plaît !> Je m'incline souriant pour lui dire bonjour et le serveur me donne ma friandise de d'habitude. < Voilà pour toi mon grand! > Je le remerci d'un signe de tête et dépose les ryos au creux de sa main puis je repart. Je porte à ma bouche content de mon achat ma première friandise qui se compose de trois petites boules fries embrochés. Je fus coupé dans mon élan, je viens de percuter quelqu'un ou quelque chose. Mon regard tombe vers le bas pour voir une demoiselle au sol en sanglot des livres éparpillés. Confus je rougis gêné de la situation. « Bouh… Aie… Aie… » Je me gratte le derrière de la tête
, je ne sais pas quoi faire. Elle c'est surement fait mal. Je m'incline pour la saluer et lui tend ma main un sourire aux lèvres. < Je suis vraiment désolé ! Je n'ai vraiment pas fait attention !> Ma mine sympathique j'espère qu'elle s'en remmettra vite, ce 'nest pas voulue venant de moi de toute façon.. < tu t'es fait fait mal ?> Je fait une courte pause et me racle la gorge. < Moi, c'est Akiro Soshi ! Enchanté même si .. Mon approche fut un peu brusque Hinhin !>

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Sujet: Re: Une journée banale, presque. [Akito Soshi.] |Privée.|

Mer 2 Nov 2011 - 11:51

. : Une rencontre, physique. : .

La douleur. Elle fait mal. Cela est une vérité très simple et que n’importe quel être humain peut comprendre dans un bas-âge, aussi petit et fin soit-il. En tout cas, cela fut la situation de la jeune femme à la crinière purement et simplement blanchâtre, une masse de cheveux parfaitement coiffé, lissé, bien que maintenant plutôt en bataille. Une très longue chevelure lui arrivant par conséquent jusqu’au bas du dos. Mais ici, dans cette situation, sa crinière argentée se retrouve contre le sol en pierre de la Place Principale. Pauvre d’elle, cette jeune pousse qui n’avait absolument rien voulue hormis avoir une source de connaissance assez importante dépassant plutôt, pour son âge la source de connaissance. Après tout, les enfants effectuant tous les jours de nombreuses recherches sur un objet ou quelque chose dans le genre était véritablement peu nombreux. Voire, finalement peu, nullement existant. Mais bon, après tout. Elle était considérée comme un véritablement petit génie par ses professeurs ainsi que ses proches. Cela était quelque chose de bien sure pour tout le monde. Et d’ailleurs, son nouveau commandant ou alors bien son futur : « Sensei. ». Son futur professeur devrait surement le savoir. Mais, bien qu’elle fût assignée à une équipe, la beauté sauvage ne connaissait nullement encore cette grande personne qui leur apprendra énormément de savoir à travers les années ainsi que les nombreux entrainements qui se passeront entre eux. D’ailleurs, en parlant de cela, elle ne connaissait même pas encore son équipe. Cela était vraiment assez étonnant. Pourquoi le Raikage : « Haine Mizuraki. » n’avait pas encore fait effectuer la rencontre ? Impossible du savoir mais bon. Revenons plutôt au moment présent, à savoir cette fameuse collision assez importante entre finalement, deux petites personnes de bas-âge. Une personne qui pleure, et l’autre qui finalement, à l’air plus en forme.

Des yeux embués de larmes, encore et encore. Presque comme toujours. De toute façon, la jeune fille avait l’habitude de tout cela. Mais cela n’était pas pour autant qu’elle s’arrêterait. En fait, comme toute personne, Aya Yukiochu ne pouvait contrôler ses pulsions, et ainsi, ses glandes lacrymales étaient presque voire totalement en route chaque journée. Mais bon, la douce était créée comme cela et par conséquent, elle ne changerait pas d’aussitôt de position envers cela. Certes, la jeune femme n’aimait pas pleurer, cela était une chose véritablement sure et certaine mais bon, elle faisait avec et par conséquent l’acceptait complètement. Pour la jeune femme, elle devait accepter ses faiblesses pour ensuite les éliminés avec un fanatisme des plus conséquent. Et elle seule pouvait réussir cet exploit assez conséquent, pas une autre personne. Certes, une aide extérieure pouvait être présente, cela était une chose bien entendu normale après tout, mais le plus gros du travail était à faire par elle. Et nullement par les autres. En tout cas, la douce était toujours par terre, étalé contre le sol, les fesses sur le parterre et son dos perpendiculaire à ce fameux sol en pierre. Ses mains, elles, contre son visage, cachant bien entendu son visage légèrement rougit voire assez rougit par les glandes lacrymales. Alors que ces dernières coulaient encore et encore sur son visage, une très légère voix passa dans ses cavités auditives. Hum ? Allons bon, apparemment, la personne l’ayant percutée de toute ses forces ou presque était encore présente. Au moins, elle avait un peu de bon sens. Cela était déjà cela de prit. L’écoutant malgré ses pleurs, apparemment, cela était un jeune homme, un jeune homme désolé. Au moins, il s’excusait, c’était une chose : « assez bien et pas trop mal. » selon elle. Mais bon, apparemment, ce jeune homme n’avait pas véritablement l’air méchant, après tout, il fallait connaitre les gens avant de pouvoir en juger la sympathie et la compagnie.

S’essuyant doucement mais surement ses yeux rougit, la petite créature blanchâtre releva doucement la tête, apparemment, le jeune homme avait beau s’être excusé et avoir un teint de peau aussi rougeâtre que de l’hémoglobine, ce drôle de personnage n’était pas disposé à l’aidé à ramassé ses livres. Malgré cela, la douce beauté sauvage prit comme d’habitude, sur elle et afficha seulement un petit sourire en signe de réciprocité à cela. Finalement, elle découvrit rapidement son nom ainsi que son prénom : « Akiro Soshi. » Que cela ne tienne. Restant comme toujours à terre, ses mains par contre glissèrent lentement mais surement contre le sol froid et glacial de la Place Principale. Cette pierre qu’elle avait tellement de fois foulée en douze années de sa pauvre existence. Et cela était toujours avec autant de sympathie qu’elle allait en ville mais apparemment, en cette journée où le vent était entre le calme ainsi que dit le : « Médium. ». Mais en tout cas, la jeune femme ne répondit pas immédiatement à sa phrase. Pourquoi ? Eh bien, déjà car elle avait assez mal aux niveaux de ses fessiers et aussi qu’elle devait récupérer ses quatre gargantuesques livres puisque le jeune homme ne voulait apparemment pas l’aider. En profitant d’ailleurs pour le détaillé, les yeux rougeâtres de la douce se posèrent sur le visage ainsi que le corps de ce drôle personnage. D’une apparence légère, mince, peut-être presque féminine selon la jeune femme. Une chevelure aussi blanchâtre que celle de la demoiselle, chose qui la frappa finalement assez, mais pourtant, il n’eut nullement des yeux rougeâtres, ensanglantée. Au contraire, ses yeux étaient assez en amande, certaines personnes pouvaient aimer cela, et d’autre non. Mais cela n’était pas le cas pour la jeune femme. Finalement, elle remarqua sa peau légèrement bronzé ainsi que ses vêtements plutôt d’apparence noble. Que cela ne tienne. Cela était aussi le cas de la jeune jouvencelle de toute façon.

Lentement mais surement, la jeune femme au sparadrap beige contre sa joue blanchâtre se releva par conséquent, ramassant peu à peu ses livres. Le premier fut le plus gros livre, d’une couverture rougeâtre frappé d’un sceau immense dont l’intérieur formé un éclair. Ressemblant en fait à son collier. Légèrement mais soit. Le deuxième, lourdement un peu plus léger que le premier, et cela continua jusqu’au quatrième livre. Ce dernier étant l’encyclopédie miniature qu’elle avait ouverte sur le banc avant de finalement partir dans les nombreuses et dantesques artères de l’immense métropole qu’était définitivement Kumo Gakure No Satô. Prenant les livres dans ses bras, la délicate petite fleur du pays des nuages effectua quelques pas, s’avançant donc par conséquent envers un banc grisâtre, déposant alors par conséquent le poids plus que conséquent de ces nombreux volumes de connaissance. Finalement, elle retourna voir ce fameux personnage dont la tranche d’année ne devait pas être au-dessus de quinze et s’inclina alors très poliment face à lui. Malgré qu’une collision fut créée par une certaine advertance de la part des deux petits-enfants, cela n’était pas pour autant qu’il fallait être grossier entre eux. Et puis, de toute façon, la petite génie était bien trop respectueuse pour se mettre une personne à dos. Déjà que, les personnes dites de : « amis ou alors d’amies. » n’étaient véritablement pas nombreux. Voire pas du tout. Mais bon, elle en avait l’habitude après tout cela… Se redressant alors par la suite, elle afficha un franc sourire malgré le fait que ses yeux furent encore plus rouge que d’habitude, suite aux larmes.

« Je me nomme Aya Yukiochu, Akiro-Sama. Aie... Je suis honoré de notre rencontre et… Hum… Aie. De votre présence. Ne vous inquiétez pas pour mon corps… J’ai… L’habitude dirons-nous… Hum… Ouille... »

. : Suite à venir. : .

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Sujet: Re: Une journée banale, presque. [Akito Soshi.] |Privée.|

Jeu 3 Nov 2011 - 15:44

Une journée banale, presque.

Le grand méchant loup version remixe

J'observe le petit corp fragile de cette fille, j'ai trouvé quelqu'un de plus pleurnichard que moi c'est drôle je trouve. J'ai toujours pensé que personne n'égalait mon talent à toujours en rajouter une couche mais là je tombe sur le cul pour ainsi dire. J'ai trouvé mon maitre et sous une impression de stupeur je l'observe essuyer ses larmes d'un revers de manche. Je crois poin tqu'elle se soit fait si mal que ça enfin j'espère pas et je préfère encore la technique qui consiste à nier la vérité que de me dire que je suis un agresseur en puissance. C'est risible et puéril de dire que je suis un grand méchant loup car elle est aussi coupable que moi. Conclusion, si je suis coupable de m'être plus préocupé de mes friandises que de la où je marchais, cette fille est aussi coupable de justment s'être plus préocupée de ses bouqins que de son sillon. Thèse qui à pour déssein de prouver mon innocance puisqu'au en faite je le suis. Me culpabiliser n'est donc pas utile. Je reste encore quelques secondes la main tendue vers elle puis finit par la retirée elle ne veux pas de mon aide alors qu'elle ne vienne pleurer. Elle ramasse ces livres sous mes prunelles, que fait-elle avaec tant de livre pensai-je un instant avant de me dire qu'en faite cela ne regarde qu'elle. Je gratte discrétement le front avant de la suivre du regard uniquement, elle va vers un banc ou elle pose ses énormes bouquins. Elle s'incline avec un respect indéniable comme moi il y a de ça quelques minutes. Elle se redresse et sourit. La preuve est sous mes yeux elle n'a pas vraiment eut mal ou alors elle masque fort bien sa douleure. J'ai beau me dire que ce n'est point ma faute je 'narrive à m'en convaincre, c'est ce que je nomme l'insupportable regret de l'instant. C'est là ou dans notre tête de piaf on se dit que si on avait fait ça au profit de ci on aurait évité cet incident. En gros moment sans but et inutile auquel j'accorde une minime importance. Je ne sais point pourquoi mais ça ne m'étonne pas qu'elle soit habitué à pleurer si c'est de cela qu'elle parle. Mais elle semble avoir encore mal ... Je sais pas trop quoi faire dans l'immédiat. J'ai aucun germe d'idée en tête et je suis pas fort pour réconforter. Je n'ai pas trop prêté attention au prime abord mais elle m'a nommé Akiro-sama. Elle est étrange cette fille. < Heu je suis confus .. hummm euh A quoi vous-serve tous c'est livres ? heu sans indiscrétion hiin.> Trop curieux éventuellement mais je sais pas quoi dire alors bon vive l'improvisation. Je la vouvoie évidemment puisqu'elle semble très à cheval sur ces usages. Je regarde ma baguette et me demande si elle verrait ça comme impolit de les mangés, elles doivent être froide alors je peux patienter dans le pire des cas.

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Sujet: Re: Une journée banale, presque. [Akito Soshi.] |Privée.|

Sam 12 Nov 2011 - 15:34

. : Un être, peut-être pas si méchant. : .

Cette personne était un drôle de personnage. Cela était une chose véritablement certaine. Comme quoi, le village de Kumo Gakure No Satô, le village de la Foudre et de l’Eclair, le village subissant une renaissance gargantuesque et utopique. Oui, tout cela, cette fameuse métropole conservait de nombreux mystères et des personnes assez spéciales. Et, apparemment, Akiro Soshi en faisait partie. Comme quoi. Impossible de connaitre sa position envers le village. Mais que cela ne tienne. En tout cas, cela n’était pas la chose la plus importante pour l’instant. Bien que, s’il était aussi maladroit pour émettre son force physique envers une aussi délicate jeune femme. Sa capacité envers un combat ne devrait nullement être d’une grande aide. Du moins, cela était seulement le point de vue de la jeune femme à la crinière purement et simplement argentée. Et puis, il n’était peut-être pas Ninja de Kumo Gakure No Satô. Après, le reste était autre chose. Cela était une chose bien entendu évidente. Mais en tout cas, pour l’instant, la délicate et simple jeune demoiselle avait une image plutôt négative de l’espèce de grossier personnage se trouvant définitivement devant son enveloppe corporelle. Mais cela n’était pas pour autant qu’elle laissait –Pour l’instant.- ne pas apparaitre sur sa façade ainsi que dans son comportement. Cela était une chose sûre. Cela faisait combien de temps que la jeune femme aux habits étant d’un temps nullement connu dans le Monde Ninja qu’elle connaissait cet inconnu ? Oh, nullement de temps. Cela était quelque chose de bien certain. Mais déjà, la mauvaise impression était inscrite dans sa pensée la plus simple. Enfin, peut-être qu’en connaissait un peu mieux cet espèce de personnage à la chevelure aussi blanchâtre que la jouvencelle du Clan Yukiochu. D’ailleurs, cela était assez bizarre. D’habitude, les êtres humains possédant des cheveux d’une telle intensité n’existe que très peu, et cela était assez original… Comme quoi.

Aya Yukiochu se trouvait maintenant face à Lui. Lui, ce drôle de personnage comme déjà dit. Cette personne qui, apparemment, en regardant simplement ses vêtements nous pourrions dire qu’une fortune assez conséquente devrait être attaché à sa personne. Que cela ne tienne. Cela était aussi quelque peu le cas de la jeune femme. Bien que, suite à son âge, elle n’avait pas le droit de toucher à l’argent de sa mère ainsi que celui de Clan Yukiochu. Cela était une chose normale après tout. Et de toute façon, que faire avec autant d’argent ? L’argent ne l’intéressait pas. Ou alors bien, très peu. Certes, l’argent apporte le luxe et le luxe est plaisant. Cela est une chose certaine. Mais le luxe ne fait pas tout. Enfin, au niveau du confort cela apporte beaucoup de chose. Cela est bien entendu une évidence toute simple. Emettre autant d’hypothèse en ne regardant seulement que ses habits était certes aussi dramatique mais un nouveau germe d’idée se forma envers l’esprit quelque peu malsain – Aujourd’hui, seulement. – de la jeune femme. Une personne arrogante, dans ses mouvements bien entendu malgré le fait qu’il eut émis sa main pour que la jeune demoiselle puisse pouvoir revenir sur la terre ferme dans des meilleures conditions et avec plus de facilité. Peut-être que cela fut à cause de sa richesse ? Impossible de le savoir. Secouant rapidement la tête de gauche à droite, elle allait surement trop loin dans son hypothèse. Après tout, la jeune femme aussi avait une richesse assez importante. Et cela n’était pas pour autant qu’elle était une vipère née. La douce femme allait trop loin. Cela était une chose certaine après tout. Mais, elle devait se reconcentrer envers le jeune homme à la crinière aussi semblable à la sienne. Une chevelure d’ailleurs qui, elle devait l’avouer était assez charmante. Après tout, elle avait la même !

Apparemment, l’espèce de drôle de créature possédant ses espèces de morceaux de viandes étant accrochée sur des bouts de bois s’intéressa alors à sa pile de livres. Intéressant d’ailleurs, serait-il curieux d’émettre des recherches avec elle ? Finalement, le jeune homme appartenant à une famille riche ne serait pas aussi bête et borné qu’il semble. Que cela ne tienne. Comme quoi. Alors que finalement, un fin et unique sourcil aussi blanchâtre qu’une peau d’une personne étant atteinte de la maladie de l’albinisme se leva. Elle avait arqué un sourcil. Cette personne était finalement encore plus étonnante qu’elle croyait. Penchant alors par la suite sa boite crânienne sur le côté gauche, la douce et magnifique chevelure semblable à un voile blanc suivit le mouvement de sa tête de sa boite crânienne. Cela était normal après tout. Alors qu’un léger vent se leva, influençant par la conséquence cette même chevelure qui avait suivi le mouvement de tête. Mais en tout cas, la jeune femme se ressaisit bien vite et par conséquent, la jeune femme revint envers une face moins étonnée et par conséquent, sa tête ne fut nullement penchée. Alors que sa main droite venait contre son collier, la demoiselle Yukiochu montra alors le fameux médaillon en forme d’éclair d’une douce et somptueuse couleur d’or. Pour être vraiment réaliste, la petite femme savait qu’il ne donnerait surement aucune information sur ce fameux médaillon. Impossible. Pourquoi ? Car aucune personne, surement bien plus développé au niveau de l’intelligence ainsi que du savoir n’avait de source ou alors bien d’information sur ce petit truc d’or. Car oui, au moins, Aya Yukiochu trouva les matériaux servant à la conception de cela. Et c’était de l’or. Pur.

« Eh bien… Cela me permettra, je l’espère à obtenir des informations sur ce petit médaillon. Il me fut remis par les Moines du Temple de la Foudre. Comme récompense pour les avoir aidé lors d’une mission de rang D. Et depuis, je cherche sa signification, mais en vain. Pour l’instant. J’espère véritablement que je trouverai quelque chose dans ses ouvrages… Hum… »

Elle en avait peut-être trop dit ? Après tout, il devait surement dire cela par la simple politesse. Surement. Ou alors bien, le jeune guerrier était curieux. Impossible de le savoir. La douce et délicate petite fleur ne connaissait pas assez cet homme à la crinière assez semblable à celle de la personne au sexe féminin. D’ailleurs, elle remarqua que, ne pendant son petit dialogue, aucun petit bruit contre son problème de mal-être au niveau de son corps fut de mise. Pourquoi ? Impossible de le savoir. Surement plus de peur que de mal. La douleur était d’ailleurs beaucoup moins présente. Comme quoi. Tripatouillant par la suite son petit médaillon en or, la boite crânienne penchée vers le bas, ses deux pupilles incandescentes regardant alors le fameux objet que ses occupations, la petite fille resta comme cela pendant un petit moment. Finalement assez timide la petite créature résultant simplement du Septième Cercle de l’Enfer. Mais que dire ? Mais que faire ? Peut-être mettre fin à la discussion ou alors, simplement attendre la réponse de l’interlocuteur si réponse il y avait après tout. Relevant finalement la tête, et lâchant par la même occasion son petit médaillon en forme d’éclair finement recouvert d’or, la demoiselle plongea sans véritablement le savoir ses yeux dans ceux de l’inconnu. Ils étaient assez différents finalement. Du moins, dû peu que la jeune femme connaissait de lui, cela lui semblait évident. Mais après tout, elle se trompait peut-être. Ou peut-être pas.

« Eh bien… Akiro-Sama… Voilà… »

. : Suite à venir. : .

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Sujet: Re: Une journée banale, presque. [Akito Soshi.] |Privée.|

Sam 19 Nov 2011 - 13:31

Une journée banale, presque.

Le grand méchant loup version remixe

Je lorgne du regard ma brochette, j'imagine si bien le goût savoureux des morceaux de viandes en ma bouche que si cette politesse factice au fond de moi me ramené point à l'ordre je n'aurai aucun scrupul à les dévorés de la façon la plus délicieuse, c'est à dire de façon vorace. Je reporte mes prunelles sur la demoiselle à la chevelure blanche tout autant que moi même pour avoir le constat présent que l'un de ces sourcils soulignés un étonnement. Peut-être bien minime mais je ne laisse pas les gens indifférents j'ai l'habitude de constater que l'on me prends plus pour une bête furieuse que pour un être humain. Suis-je trop énergique en façade, bin éventuellement mais cela je m'en fiche. Je sais à peu près qui je suis et c'est bien asser pour moi. Je comprend pas la raison pour laquelle je dois parraître au profit d'être. Enfin pas parraître j'entends faire mes preuves. Avec toute la sincérité dont je peux faire preuve cela me passe bien au dessus de la tête. La fille se resaisit rapidement, l'effet de surprise c'est dissipé je me sens moins important soudainement. J'esquisse un sourire amusé sans réel raison, sourire pour sourire voilà tout. Elle prends entre deux de ces doigts le médaillon et me l'éxhibe de façon mesuré, je le regarde curieux de cet objet. Une éclair qui brille, étincelante comme faite d'or. < Eh bien… Cela me permettra, je l’espère à obtenir des informations sur ce petit médaillon. Il me fut remis par les Moines du Temple de la Foudre. Comme récompense pour les avoir aidé lors d’une mission de rang D. Et depuis, je cherche sa signification, mais en vain. Pour l’instant. J’espère véritablement que je trouverai quelque chose dans ses ouvrages… Hum… > C'est suspicieux que des moines aient donné en guise de remerciement un si bel objet. Je ne dis pas qu'ils sont radins et vieux, moches et grincheux mais cela reste étrange. Je me demande pourquoi elle cherche une signification, pourquoi un objet pareil en aurait une ? Déjà que notre existence n'a pas de signification alors celle d'un médaillon offert suite à une mission de rang D cela m'étonne. Je passa ma main derrière mon cou, il ne m'est point douloureux mais cela exprime ma gêne car de ce que je peux voir elle et moi sommes aux anthipodes si ce n'est que nous venons de clan réputés et riches. Je ne suis pas le genre à chercher la casue de toutes choses mais je comprends la curiosité à l'égard d'une offrande pour le dire ainsi. Elle penche la tête vers mon médaillon en le triffouillant, je trouve que ce geste traduit un certain stress ou une aphrésension perceptible. Je ne comprends pas vraiment pourquoi car j'avoue ne pas être enclin au stresse. Elle relvèle la tête et sans que j'y prête véritable attention elle me fixe, bin du coup je l'imite. J'aime bien ces yeux ils sont vachement beau pensais-je. < Eh bien… Akiro-Sama… Voilà… > Un sourire sympathique s'étend sur mes lips, elle m'est sympathique malgrès nos grandes différences de caractère. < D'accord. C'est un travail fastidieux que t-vous vous imposez !> J'ai faillis la tutoiyer qu'elle poisse toutes ces habitudes ! < Mais hmm .. Pourquoi aurait-il forcément une signification ? Nous même nous en avons point.> Des paroles insoupçonées pour toutes personnes ne me connaissant point. J'ai le mérite d'être franc puisque je lui fait part de mon idée eut quelques secondes plus tôt. Je jette un coup d'oeil à la pile de livre pensif. Qu'elle folie ! La vie est trop courte pour s'occuper d'un médaillon comme ça. Je me racle la gorge avant de dire peut-être mes dernières paroles à son égard. < Enfin c'est que mon point de vue et je me trompe surement, je n'ai pas les épaules à la philosophie > Dubitatif, penseur je n'ai pas grand chose d'autre à lui dévoiler vue que ce médaillon n''est pour moi qu'un médaillon parmit tant d'autre.

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Kakuzô Hidemi ♔ Godaime Raikage ; Le Sage à l'Oeil Blanc ♔

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Une journée banale, presque. [Akito Soshi.] |Privée.| Empty_bar_bleue

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Sujet: Re: Une journée banale, presque. [Akito Soshi.] \|Privée.\| Jeu 21 Juin 2012 - 18:33

Topic envoyé à la Corbeille. Bien à vous, Kakuzô Hidemi

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Une journée banale, presque. [Akito Soshi.] |Privée.|

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